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Alimentation de proximité et durabilité des systèmes alimentaires. Mise en valeur des produits locaux dans les enseignes de la grande distribution, développement des circuits courts et de proximité, marques territoriales… Depuis de nombreuses années, des initiatives faisant le lien entre l’alimentation et le territoire qui l’a vue naître voient le jour, en France comme à l’international.

Alimentation de proximité et durabilité des systèmes alimentaires

Portée par une multitude d’acteurs - agriculteurs, entrepreneurs, acteurs publics, acteurs associatifs, consommateurs, citoyens … - cette reterritorialisation de l’alimentation bénéficie également du soutien des collectivités, depuis la mise en place des projets alimentaires territoriaux inscrits dans la loi d’avenir agricole (2014) en particulier. L’alimentation en territoires, autonomie versus subsidiarité La localisation des activités agro-alimentaires n’est pas le fruit du hasard.

Progrès techniques puis révolution industrielle verront la demande alimentaire se concentrer et l’offre se disperser. Innovation Fast Food: une délicieuse expérience. La malbouffe s'invite à table - « Bon appétit, bonne chance » Obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, cancers... nombreuses sont les maladies causées par le contenu de notre assiette.

La malbouffe s'invite à table - « Bon appétit, bonne chance »

En 2019, l’alimentation est la première cause de mortalité au monde. Pour cette raison mais aussi pour des raisons sociales, culturelles ou encore écologiques, les scandales alimentaires foisonnent dans l’actualité de ces dernières années. L’homme moderne, qui cherche à être en bonne santé, s’interroge de plus en plus sur son alimentation. La « malbouffe », qui a vu le jour sous la plume du biologiste Joël de Rosnay en 1979, est aujourd’hui pointée du doigt. Elle désigne la nourriture trop grasse, trop salée, trop sucrée, incarnée par les services de restauration rapide tels que McDonald’s, pourtant innovation majeure révolutionnant le quotidien des ménages dans les années 1950.

Alimentation : la révolution des circuits courts. Les pommes et les fraises viennent de chez Bruno Renou, dans le Tarn-et-Garonne, les œufs sont fournis par Clémentine Révolu, de l’Ariège, la viande bovine est issue de la ferme d’Eric Amadieu, dans le Lot… A Portet-sur-Garonne, près de Toulouse, le magasin Frais d’ici n’affiche pas des promotions tapageuses sur ses façades, mais la photo de ses fournisseurs, des producteurs à 70% installés dans la région.

Alimentation : la révolution des circuits courts

Pour autant, les prix de ce petit marché spécialisé dans le frais n’ont rien à envier au Carrefour du coin. Ici, la pomme fuji est à 1,20 euro le kilo, contre 1,24 euro la gala chez Carrefour. Les kiwis qui n’ont parcouru que 30 kilomètres sont à 38 centimes pièce, contre 40 centimes le kiwi de Nouvelle-Zélande de la grande surface. Coronavirus : le succès des magasins de producteurs. Un samedi matin, à Biviers.

Coronavirus : le succès des magasins de producteurs

Il y a ceux qui vont faire leurs courses au supermarché et d'autres qui lui préfèrent le magasin de producteurs, situé juste à côté et baptisé : le Comptoir de nos fermes. Créé il y a plusieurs années, il propose fruits, légumes, farine, pain, œufs, fromage, laitage, charcuterie, viande, miel, confitures, vins et j'en passe. Autant de productions locales que les agriculteurs et maraîchers du secteur peuvent ainsi écouler localement. Mesures drastiques en période de coronavirus. La malbouffe, qu'est-ce que c'est ? / DocteurBonneBouffe.com. Près d’un décès sur cinq dans le monde serait lié à la malbouffe (1).

La malbouffe, qu'est-ce que c'est ? / DocteurBonneBouffe.com

Si on sait que cette dernière est nocive pour notre organisme et que ses conséquences sur notre santé sont désastreuses, définir les produits considérés comme “malbouffe” est plus complexe que ça. Alors, qu’est-ce que la malbouffe concrètement ? Quels aliments entrent dans cette catégorie ? "Vivre bien, bio et local": une coopérative rurale relève le défi en Lozère - Geo.fr. Faire revivre un village en mettant en oeuvre des solutions pour consommer bio et local: c'est le pari que s'est fixé la coopérative d'habitants qui dynamise depuis 2012 Pied-de-Borne (Lozère) à travers une épicerie participative, en attendant des jardins partagés et une auberge.

"Vivre bien, bio et local": une coopérative rurale relève le défi en Lozère - Geo.fr

"Je conseillais de grosses collectivités dans le domaine du développement durable, il y avait beaucoup de recommandations dans les documents mais rien n'en sortait dans la réalité. Ici, j'ai voulu appliquer concrètement une sorte de +développement local durable+ à l'échelle d'un village", explique à l'AFP Cyrille Souche, 49 ans, l'un des coopérateurs à l'origine de "Ma Coop - La Vie au Vert", lancée en 2012. "L'idée est que les gens se réapproprient localement des enjeux forts comme l'alimentation, le fait de consommer local, d'être solidaires les uns des autres, de recréer du lien social. Déconsommation : les Français préfèrent le bio, le local et l'innovation, Marketing et Vente. «Les néo-ruraux ont oublié que la campagne n’est pas une nature aseptisée»

L’exode urbain, retour au vert? - Blog de l'ISIGE - MINES ParisTech. Par Alice Couillaux (RSEDD 2018) Depuis les années soixante, on observe en France un phénomène migratoire baptisé « exode urbain ».

L’exode urbain, retour au vert? - Blog de l'ISIGE - MINES ParisTech

Une première vague a eu lieu avec l’émergence du mouvement hippie, sensible à l’écologie et rejetant la société de consommation. La seconde s’est enclenchée dans les années 1990, avec un nouveau profil de « migrants » : une prédominance de jeunes adultes (entre 30 et 45 ans) accompagnés d’enfants en bas âges, quittent les grandes métropoles et leurs zones péri-urbaines pour s’installer à la campagne. Ces mouvements de population ont cependant évolué sur ces 50 dernières années. Entre les années soixante et quatre-vingts, la polarisation urbaine s’est transformée en périurbanisation avec la formation des banlieues. Exode urbain. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Exode urbain

L’exode urbain désigne le déplacement durable de populations quittant les zones urbaines pour aller s'implanter dans des zones rurales, par opposition à l’exode rural. Ce phénomène, qui aurait débuté dès les années 1970 dans certains pays, mais plus récemment dans d'autres pays est le résultat au fils des décennies d'une forte urbanisation des villes. Cela a engendré ainsi une explosion démographiques des grandes zones urbaines, une augmentation de l'activité économique et de ses effets tels que une forte urbanisation, une augmentation du coût du logement et de la vie, la saturation des transport et l'augmentation de la violence. Pourquoi manger bio ? 1- C’est meilleur pour notre santé et celle des agriculteurs Quelles sont les différentes voies d’exposition aux pesticides ?

Pourquoi manger bio ?

En général, la population est exposée à une multitude de pesticides via les produits alimentaires qu’elle consomme au quotidien. Dans les régions agricoles, où les pesticides sont utilisés, ces substances se retrouvent en suspension dans l’air, polluent les sols et les cours d’eau et peuvent être systématiquement absorbées par certaines espèces de plantes non ciblées. De nombreuses études publiées entre 2007 et 2014 suggèrent que les légumes, notamment les légumes à feuilles vertes, et les fruits, tels que les pommes et les raisins, sont généralement les aliments qui contiennent les niveaux de résidus de pesticides les plus élevés . Quelles sont les personnes les plus touchées par les pesticides ? □ Agriculture urbaine - Limites et difficultés. Limites et difficultés Les principales contraintes et difficultés sont : le coût du foncier, ou le manque de foncier disponible ; la pression de l'urbanisation, et de la périurbanisation ; la dégradation (dérangement, artificialisation, surfréquentation, pollution) que la ville (Une ville est une unité urbaine (un « établissement humain » pour...) peut occasionner aux milieux fragiles qu'elle jouxte ou entoure (sols, zones humides utilisées pour le maraîchage et hortillonnages, agrosylviculture, forêts de protection, forêts urbaines ; les pollutions qui affectent souvent les sols urbains et périurbains encore disponibles pour l'agriculture urbaine ; l'accès à l'eau (L’eau est un composé chimique ubiquitaire sur la Terre, essentiel pour tous les...)

□ Agriculture urbaine - Limites et difficultés

Inconvénients, difficultés. Fermes urbaines : définition – AgriUrbain. Comme directeurs du Laboratoire sur l’agriculture urbaine et plus récemment du Carrefour de recherche, d’expertise et de transfert en agriculture urbaine (CRETAU), nous nous intéressons depuis plus de dix ans à définir le champ de recherche et d’intervention de l’agriculture urbaine. Dans la littérature scientifique on retrouve une grande diversité de définitions de l’agriculture urbaine. Il en va de même lorsqu’il est question de la notion de « ferme urbaine » ou d’ « exploitation agricole urbaine », qui sont souvent aussi considérées comme des micro-fermes. L’exercice de définition pour les fermes urbain soumis ici est exploratoire, il se veut une base de discussion afin d‘affiner les concepts. Allenvi : Recherche & Innovation pour l’environnement.

Innovations pour une agriculture urbaine durable 15 septembre 2018 L’effervescence des projets d’agriculture urbaine depuis 2012 (en France) se traduit par une mobilisation de nombreuses collectivités qui ont introduit ce terme dans leur Projet Alimentaire Territorial (PAT) : Paris, Albi, Mulhouse, Dijon, Romainville, Roubaix, Saint-Denis, Lyon… On voit ainsi l’émergence de nombreuses formes d’agriculture urbaine poursuivant des objectifs variés : leur point commun devrait être de mieux répondre aux enjeux du développement durable.

L'agriculture urbaine pourra-t-elle nourrir les habitants des villes? Sur les toits, au pied des immeubles ou dans les sous-sols, l'agriculture s'invite en ville. Alors que le monde de demain sera urbain, est-ce un pas de plus vers l'autosuffisance alimentaire? Des champignons cultivés dans un parking souterrain désaffecté, des fraises qui poussent en containers ou un potager au sommet de l'Opéra Bastille à Paris. L'agriculture urbaine - qui vise à cultiver des plantes et élever des animaux en ville ou dans sa périphérie - essaime avec succès. Et la tendance ne cesse de prendre de l'ampleur bien qu'il ne soit pas aisé de l'estimer précisément. "Un véritable engouement"

L"agriculture urbaine : une solution durable? - News/Actualités. Nourrir le monde est l’enjeu primordial du XXIème siècle. Tandis que l’agriculture rurale conventionnelle semble atteindre ses limites (difficultés de production, sécurité alimentaire non assurée…), et que de nouvelles préoccupations apparaissent (l’agriculture biologique, la production locale, …), celle-ci va devoir se réinventer, et diversifier ses pratiques. Un peu partout dans les villes fleurissent des toits végétalisés ou encore des potagers communaux. Paris voit même s’enraciner la plus grande ferme urbaine européenne, Le Perchoir, sur le toit du Parc des Expositions. Introduction : Innovations et agricultures urbaines durables. 1Certains auteurs parlent d’une nouvelle frontière agraire pour qualifier l’enjeu que représente, pour l’alimentation et la santé des populations urbaines de la planète, la reconquête des liens de proximité entre les villes, la nature et l’agriculture (prospective Agrimonde : Paillard et al., 2009).

Le concept d’agriculture urbaine résume bien cette idée. Et l’adosser à celui d’innovation n’est pas une surprise car il s’agit a priori d’un oxymore. En effet, penser l’agriculture en ville, ou à partir de la ville, suppose de réviser les conceptions mêmes du fait agricole. La référence aux modèles agricoles généraux, qu’ils soient dominants, tels ceux d’agricultures familiales ou agro-industrielles, ou alternatifs, comme l’agriculture biologique, ne permet pas d’éclairer ce qui se joue dans le renouvellement des liens agricultures-villes. 1 Cf.