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Apprendre

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Quelques éléments de la psychologie cognitive pour aider les professionnels à concevoir des situations d'apprentissages. Cette captation vidéo a été réalisée le 3 juin 2015 lors d'une journée de formation intitulée : Les dispositifs, la classe, l’établissement ; quels soutiens à l’engagement des élèves ? Cette journée a été l’occasion de réfléchir aux enjeux d’une aide apportée de manière cohérente et ajustée aux besoins des élèves, dans un contexte marqué par la controverse autour de l’insuffisante efficacité des dispositifs d’accompagnement des élèves.

Quels pas de côté ces dispositifs font-ils faire aux enseignants, aux praticiens, afin de mieux comprendre la nature des difficultés des élèves ? La réflexion s'est appuyée notamment sur le travail d’une équipe de recherche qui a étudié durant deux années les formes de soutien proposées aux élèves en difficulté dans des configurations locales très différentes. Écouter les enregistrements de la journée Une approche en quatre niveaux pour aider les professionnels à concevoir des situations d'apprentissage. player1 Le processus attentionnel (De 4min24 à 7min) Enseignants. L’apprentissage par la lecture est : « [u]ne situation et un processus par lesquels le lecteur/apprenant acquiert des connaissances par la lecture de textes informatifs, et ce, en gérant cette situation et son environnement de travail, tout en étant motivé à le faire » (Cartier, 2006, p. 439).

Il faut donc lire, apprendre, être autonome pour ce faire. Le site Apprendre par la lecture est structuré pour répondre au besoin de l’apprenant, de l’enseignant et de l’orthopédagogue ainsi que du conseiller pédagogique et de la direction scolaire. La section Apprenant donne de l’information (texte et vidéo) sur ce qu’est le processus d’APL pour toute personne qui apprend dans ce contexte, allant des enfants du préscolaire, des élèves du primaire et du secondaire jusqu’aux étudiants du supérieur et aux adultes tout au long de leur vie. Une démarche d’évaluation de ce processus d’APL est aussi offerte.

WikiDeNovantura:Apprenant. 1. Définition D'origine Québécoise, il désigne toute personne en situation d'apprentissage. Néologisme crée sur "apprehendere" issu du latin classique : prendre, saisir. L'apprenant s'intègre dans un processus de formation dans lequel il est en interaction avec des savoirs et un médiateur-formateur. Le terme insiste sur l'acte d'apprendre dont l'initiative réside du côte de celui qui apprend. L'apprenant est co-constructeur de sa connaissance. Il est acteur de sa formation. 2. 2.1 Le sujet en situation d’apprentissage : terminologie Le terme apprenant revêt un sens général et moins connoté que les autres mots désignant l'individu face au savoir : l’élève (scolaire) ; l’étudiant (enseignement supérieur) ; l’apprenti (formation initiale, en alternance) ; le stagiaire (en activité dans l’entreprise).

Pour autant, l’utilisation du terme apprenant n’est pas neutre. 2.2 L'apprenant adulte A partir de ces hypothèses, Knowles détermine les pratiques adaptées à l’apprenant adulte. Retour sommaire. Théories de l'apprentissage - Idées ASH. Apprendre, c'est comprendre. C'est construire un savoir que l'on va pouvoir réinvestir. Pour que l'élève apprenne, il est essentiel: Qu'il soit conscient de ce que l'on essaie de lui faire comprendre et pourquoi.Qu'il soit conscient de " comment " il apprend.Qu'il ait envie d'apprendre.

Enseigner, c'est aider l'enfant à apprendre, à construire un savoir. Ce qui est essentiel avant / pendant / après l'enseignement : Connaître la façon dont l'enfant apprend.Vérifier qu'il ne construise pas une " fausse compréhension ". LE TRIANGLE PEDAGOGIQUE de HOUSSAYE : Dans son modèle de compréhension pédagogique, Jean Houssaye, aujourd'hui professeur de Sciences de l'Education à l'université de Rouen, définit tout acte pédagogique comme l'espace entre trois sommets d'un triangle : l'enseignant, l'apprenant et le savoir. Selon Houssaye, toute pédagogie est articulée sur la relation privilégiée entre deux des trois éléments (les sujets actifs) et l'exclusion du troisième (qui fait le fou, ou le mort) Les 4 Phases de l'Apprentissage. Broadcast Yourself.

La constante macabre,Franck Lepage. Ce que les enfants devraient savoir sur leur cerveau à l'école. Les neurosciences apparaissent comme un domaine réservé aux meilleurs étudiants en sciences. Or une étude américaine a démontré que Au plus tôt on apprend à l’école comment fonctionne notre cerveau, au mieux c’est. Suite à une étude menée sur des enfants de 4 à 13 ans, les psychologues Peter Marshall et Christina Comalli ont découvert que les jeunes enfants ne connaissent ni les fonctions ni le fonctionnement de leur cerveau.

Les scientifiques attribuent cet état de fait à plusieurs facteurs : 1. les parents et les enseignants ne mentionnent que très rarement le cerveau quand ils apprennent aux enfants comment leurs corps fonctionnent. Par ailleurs, les adultes utilisent peu le mot « cerveau » dans leurs conversations avec des enfants. Par exemple, les programmes scolaires du primaire indiquent l’étude des os, des articulations et des muscles dès le CE2 mais n’abordent pas la question du cerveau ou de la mémoire. Je vous propose deux vidéos (en anglais) destinées aux enfants. 1. 2. 1. 2.

Apprentissage par problèmes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir APP et PBL. Dans l'apprentissage par problèmes (APP), ou apprentissage par résolution de problèmes, les apprenants, regroupés par équipes, travaillent ensemble à résoudre un problème généralement proposé par l'enseignant, problème pour lequel ils n'ont reçu aucune formation particulière, de façon à faire des apprentissages de contenu et de savoir-faire, à découvrir des notions nouvelles de façon active (il s’instruit lui-même) en y étant poussé par les nécessités du problème soumis.

La tâche de l'équipe est habituellement d'expliquer les phénomènes sous-jacents au problème et de tenter de le résoudre dans un processus non linéaire. La démarche est guidée par l'enseignant qui joue un rôle de facilitateur. Domaines et situations[modifier | modifier le code] L'apprentissage par problèmes a été appliqué avec succès à tous les niveaux : du primaire au supérieur. Situation[modifier | modifier le code] Récapitulatif. Apprendre à apprendre. Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences.

D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage.

Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? 2. Stanislas Dehaene écrit : 3. 4. Théories de l'apprentissage - Idées ASH. Les droits imprescriptibles de lapprenant. L'attention, levier d'apprentissage... L'attention, à côté de l''engagement actif, du retour d'information et de la consolidation, serait d'après les recherches issues des neurosciences, l'un des 4 facteurs de réussite dans tout apprentissage. Savoir captiver, canaliser, créer les conditions de la concentration. La concentration est le "mécanisme de filtrage qui nous permet de sélectionner une information et d'en moduler le traitement" ... Elle permet d'éliminer pour concentrer.

Comme le montre la vidéo ci-dessous, quand on est concentré, "les stimuli non pertinents pour la tâche demandée vont tout bonnement devenir invisibles. " À l'inverse, un enseignant qui multiplierait les stimuli non pertinents détournerait en permanence l'attention et la concentration de ses élèves! Parmi les stimuli non pertinents les plus fréquents, le flot de paroles ininterrompues d'un maître omniprésent. Rassurez-vous, même si l'effet maître est, dans ce domaine aussi, déterminant, l'enseignant n'est pas responsable de tout... Viser plus haut : Bloom et Vygotski dans la classe. Motivation et émotion. Hourst fondamentaux apprentissage. Neurosciences et pédagogie.

Dans le monde de l'éducation, c'est une innovation : améliorer l'enseignement et l'apprentissage par ce qu'on connaît du fonctionnement du cerveau. Et cela s'appelle la neuropédagogie. Domaine de recherche relativement nouveau qui fait la jonction entre les neurosciences et les sciences de l'éducation, il s'intéresse aux processus biologiques en jeu dans l'apprentissage ainsi que les expériences sociales et émotionnelles.

La gymnastique du cerveau D'une manière pratique, les applications de la neuropédagogie mènent vers des évolutions dans la manière d'enseigner et d'apprendre et vise in fine à "stimuler de nouvelles zones du cerveau, à créer de nouvelles connexions pour faciliter les apprentissages". Dans un reportage de la chaîne Euronews sur le sujet, on se rend bien compte que cela n'a rien de sorcier. Mais la neuropédagogie ne s'arrête pas là. On sait par exemple que le cerveau retient sept fois plus d'informations si on les catégorise. En toile de fond, l'apprentissage Références. Des obstacles aux apprentissages comme appuis pour les surmonter. 28 février 2010 Henri Boudreault Apprendre, Didactique professionnelle, Environnement didactique, L'apprenant, Le contexte, Objet d'apprentissage, Pratique pédagogique Figure 1 : Éléments à considérer pour surmonter les obstacles aux apprentissages.

Le rôle d’un enseignant est de faire apprendre. Cela semble facile à dire, mais beaucoup plus difficile à mettre en oeuvre. Faire apprendre n’est pas synonyme de dire et de montrer. Si nous désirons élaborer des environnements d’apprentissage pertinents et efficaces, il faut pouvoir identifier les obstacles que cet environnement devra permettre de surmonter. Conscient de cette distinction je propose donc que l‘on s’attaque aux problèmes d’apprentissage dans une démarche qui fait en sorte de considérer les problèmes que nous ne désirons pas voir apparaître plutôt que de trouver des solutions pour atténuer le problème lorsqu’il apparaît. Les enseignants me disent souvent que l’apprenant … Like this: J'aime chargement… Métacognition et réussite des élèves. Suffit-il de mettre les élèves en activités en classe pour qu’ils s’approprient les savoirs, savoirs faire sur lesquels est construite la séance qui leur est proposée ?

L’analyse ergonomique des situations d’apprentissage scolaire amène à être très réservé dans la réponse. En effet, quels que soient les modalités pédagogiques, les supports didactiques prévus, un constat s’impose : les enseignants n’arrivent pas toujours à atteindre les objectifs visés. Eviter qu’il y ait autant d’élèves en difficultés d’apprentissage, d’élèves en décrochage scolaire voire en refus scolaire, d’élèves en souffrance, d’élèves en danger, c’est bien l’ambition de tous ceux qui oeuvrent dans ce monde complexe de l’Éducation. Que faire devant cette réalité ? Les enseignants tentent de les aider à retrouver le chemin des apprentissages scolaires afin qu’il apprennent les savoirs scolaires que l’Ecole s’engage à leur donner et définissent sur cette base la plupart des activités qu’ils leur proposent. Philippe Perrenoud - Qu’est-ce qu’apprendre ? [2004_08]