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Mrs Hudson et les légumes ou le magasin du futur. Royaume-Uni / / Europe « Mrs Hudson et les légumes » est une petite vidéo (en anglais) qui nous donne un aperçu du magasin du futur.

Mrs Hudson et les légumes ou le magasin du futur

Les valeurs qui caractérisent un commerçant, la connaissance fine de ses clients et la capacité à leur proposer le bon produit au bon moment, entament aussi leur virage numérique, avec l’émergence des objets connectés. Le développement rapide de l’Internet, la croissance des services mobiles et d’autres innovations technologiques ont apporté des bienfaits considérables aux consommateurs. Sans Internet, par exemple, Madame Toulemonde ne pourrait pas acheter ses légumes à la Ruche qui dit oui. SUR LE NET - Digitaliser les magasins pour contrer le e-commerce. Quel visage pour l'e-commerce en 2020 ?

A quoi ressemblera l'e-commerce en 2020 ?

Quel visage pour l'e-commerce en 2020 ?

Un exercice de prospective délicat auquel s'est livré Xerfi-Precepta dont les principaux résultats viennent d'être dévoilés. Partant du constat que l'e-commerce bénéficie en France d'une croissance forte mais déclinante (sous la barre des 10% dès 2016), le cabinet d'analyse prévoit tout d'abord un montant des ventes en ligne de l'ordre de 90 milliards d'euros à horizon 2020. Les raisons d'un tel montant sont simples : la multiplication des points d'accès à Internet (ordinateurs, tablettes tactiles, smartphones, TV et bientôt voitures connectées), mais aussi l'augmentation du nombre d'internautes, les arbitrages des ménages et le développement de l'offre en ligne.

Néanmoins, dans le même temps, le nombre de cyberacheteurs pourrait atteindre sa limite en 2020-2021, et leur panier moyen, de baisser dans un premier temps pour se stabiliser dans le temps. Des perspectives globalement positives, à nuancer toutefois selon les marchés analysés. E-commerce: les sites de vente en ligne français peinent à séduire à l'international. (Boursier.com) — Les sites français de e-commerce ont pris du retard sur leurs homologues étrangers...

E-commerce: les sites de vente en ligne français peinent à séduire à l'international

Selon une étude d'OC&C Strategy Consultants, il s'agit pourtant d'un enjeu de taille pour les entreprises, puisque l'internationalisation représente plus de 40% des recherches des sites et que sa croissance progresse de plus de 30% par an. Amazon et e-Bay dominent le marché Avec 31% de requêtes étrangères, les sites français sont donc à la traîne, même si leur progression est comparable à ceux des autres pays (+26% par an depuis 2011), écrit le cabinet de conseil, qui note que les sites français "concentrent deux tiers de leur trafic international à partir des pays frontaliers (Espagne, Italie, Belgique)".

Six pays (Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, France, Scandinavie, Pays-Bas), représentant 50% de l'e-commerce mondial, ont été passés au crible pour cette étude. Plus sombre à l'international Claire Lemaitre — ©2014, Boursier.com. Les avis clients – un outil incontournable du e-commerce. Les évaluations sont désormais bien plus que de simples avis – elles génèrent une grande confiance et retiennent de plus en plus l’attention des acheteurs.

Les avis clients – un outil incontournable du e-commerce

Beaucoup de commerçants en ligne utilisent déjà ce système afin de laisser les clients évaluer leurs performances en tant que vendeur, mais aussi la qualité de leurs produits et services. Le mot d’ordre est ici « la satisfaction clients » et de là peut naturellement en résulter un plus grand succès.Celui qui ouvre la porte aux avis aura en effet un clair avantage sur le marché, car un visiteur, potentiel client, aura plus volontiers tendance à acheter sur un site déjà recommandé par d’autres clients. Mais comment cela se fait-il ? Comportement social de l’achat Il est de notre nature d’apprendre des choix de notre entourage. [Les experts] Pourquoi les pure players de l’eCommerce sont morts? par Gregory Pouy. Je vous vois déjà penser à Amazon et relier cette note avec la décision d’interdire, en France, la cumulation de la livraison gratuite et des 5% de remise sur les livres.

[Les experts] Pourquoi les pure players de l’eCommerce sont morts? par Gregory Pouy

Pourtant, il n’en n’est rien. Amazon est effectivement un cas unique parmi l’ensemble des e-commerçants tant par la stratégie mise en place que par les fonds qui ont permis au modèle de tenir le cap pendant des années en étant malgré tout parfois déficitaire. Alors pourquoi une telle assomption? En réalité, l’idée n’est pas neuve puisque déjà en 2011, le PDG d’Ebay annonçait la « mort de l’ecommerce », repris dans un très bon livre blanc diffusé par la Fevad d’ailleurs. Il est important de comprendre plusieurs choses quand on parle d’ecommerce: Pourquoi eBay n’est Plus le Meilleur Site pour Faire du E-commerce. Vous vous rappelez l’époque où eBay avait le monopole du E-commerce ?

Pourquoi eBay n’est Plus le Meilleur Site pour Faire du E-commerce

C’était au milieu des années 90 en plein boom du “.com” et les particuliers se ruaient en masse sur le site pour vendre des produits de niche, voire insolites – la moitié d’un sandwich orné du visage de la Vierge Marie s’est vendu plus de 17 000 euros… Grâce à une popularité fulgurante, eBay est rapidement devenu un passage obligé pour les vendeurs en ligne qui cherchaient à développer leurs revenus sans les coûts relatifs à la gestion d’une boutique physique.

Le site présentait des produits rares ou inhabituels , mais également des produits du quotidien tels que des vêtements de marque, des billets de concert ou la panoplie complète du supporter de football. Grâce à une fonction d’enchères originale, eBay était synonyme de réduction et de bas prix auprès des consommateurs et attirait en grand nombre les chasseurs de bonnes affaires. 1. En conséquence de l’augmentation de ces frais, vos profits sont réduits. 2. 3. Le m-commerce US a atteint 5,9 milliards de dollars au 1er trimestre. E-commerce : les solutions à choisir selon votre chiffre d'affaires. Prestashop, Oxid eSales, Virtuemart, Opencart et Zen cart sont taillées pour les sites e-commerce réalisant moins de 20 millions de chiffre d'affaires.

E-commerce : les solutions à choisir selon votre chiffre d'affaires

Extraits de l'infographie de NBS System, transmise en exclusivité pour le JDN. Après le tableau comparatif des solutions d'e-commerce publié mercredi (lire l'article : E-commerce, le benchmark des meilleurs logiciels du marché), le JDN publie aujourd'hui en exclusivité des extraits d'une infographie de NBS System, à quelques jours de la parution du nouveau livre blanc de l'hébergeur sur les outils d'e-commerce. Parmi les 12 solutions analysées par le spécialiste, certaines sont écrites en PHP et d'autres en Java.

Mais en fonction de la taille d'un site e-commerce, et plus précisément du chiffre d'affaires envisagé, certaines solutions correspondront mieux aux besoins. Dans la première infographie, les solutions PHP sont présentées : Magento, RBS Change, Drupal Commerce, Oxide eSales, Prestashop, VirtueMart, Opencart et Zen cart. E-commerce : naviguer entre communication et référencement. Vous pourrez le lire sur bon nombre d’autres blogs : le e-commerce, ce n’est pas une mince affaire !

E-commerce : naviguer entre communication et référencement

Il y a énormément de choses diverses à faire et, bien vite, on ne sait plus où donner de la tête ! Lorsque communication et référencement participent de concert… L’un des gros points concernant la visibilité de votre site, c’est le référencement. Sans référencement naturel, on ne va pas bien loin… Pour la pérennité d’une entreprise, le référencement naturel est une obligation. A l’inverse, le référencement payant (Adwords…) ne devrait être utilisé que de manière temporaire. La communication, quant à elle, se fait souvent de manière plus naturelle.

Faire appel à des professionnels ? Pour la communication comme pour le référencement, il est indispensable de suivre un certain nombre de conseils, sous peine de perdre son temps voire de faire des gaffes. E-commerce: un amendement parlementaire demande l'authentification du client. Un projet de loi relatif à la consommation est en cours d'examen à l'Assemblée nationale.

E-commerce: un amendement parlementaire demande l'authentification du client

Le député (PS) Michel Lefait et 15 autres députés ont déposé le 7 juin un amendement (n° CE285) ajoutant, après l'article 5 du projet de loi, dans la section sur la vente à distance (incluant donc la vente en ligne), le texte suivant: "Après l’article L. 133‑15 du code monétaire et financier, il est inséré un article L. 133‑15‑1 ainsi rédigé: 'Art. L. 133‑15‑1 - Un système d’authentification du client, utilisé lors de toute opération de paiement par internet entre un particulier et un professionnel, est mis en place au plus tard le 1er janvier 2014. Ce système est commun à tous les professionnels, d’application obligatoire et basé sur un code non réutilisable. Lutter contre la forte hausse de la fraude bancaire Un exemple de ce type d'authentification est celui où l'internaute reçoit par SMS un code à usage unique qu'il doit saisir pour compléter sa transaction en ligne.

E-commerce: comment les géants du web négligent leurs clients. Quelles sont les marques qui gèrent au mieux le parcours client ?

E-commerce: comment les géants du web négligent leurs clients

Le cabinet de conseil spécialisé en stratégie digitale iVentures Consulting) s'est penché sur la question en mesurant la performance de 113 sites sur l'ensemble de la chaîne (référencement, médias sociaux, vente, colis, réceptions, gestion des retours...) Les auteurs de cette enquête ont ainsi classé les entreprises (palmarès ci-dessous), des pures-players, mais aussi des multicanaux, de vente-privée à Amazon, en passant par Ikea, Nike ou La Redoute. Et les résultats sont assez surprenants. 1. E-commerce : moins rentables, les sites cherchent des revenus complémentaires. Les 30-45 ans : une cible marketing privilégiée pour les acteurs du e-commerce ? Les 'Xers (30-45 ans) sont-ils la locomotive du e-commerce en France ? Oui si l'on en croit les résultats de l'Observatoire International de la Média Démocratie publié par le cabinet d'audit et de conseil Deloitte.

Le volet français de l'enquête réalisée fin 2012 auprès de 2 124 internautes français fournit plusieurs enseignements intéressants sur la démographie et le comportement des e-acheteurs dans l'Hexagone. 41 % des personnes interrogées dans le cadre de ce sondage indiquent réaliser au moins un achat en ligne tous les mois. Une tendance « particulièrement remarquable pour les 'Xers' (30-45 ans) qui sont au fait des usages numériques et disposent d'un pouvoir d'achat supérieur aux Millennials (NDLR : Digital Natives, ou représentants de la Génération Y), ces derniers marquant le pas dans leurs achats digitaux ». Internet, facteur d'achat en magasin Une statistique assez suprenante, compte tenu de la généralisation des smartphones et de l'accès démocratisé à l'internet mobile. M-commerce et tablette : un mariage arrangé ?

Les chiffres de l’Internet en France (Médiamétrie-2013) mettent en lumière la montée en puissance du m-commerce et les utilisations spécifiques de chaque écran: un internaute sur cinq achète sur une plateforme e-commerce et 28 % des utilisateurs d’iPad shoppent sur Internet, privilégiant cet outil à domicile. Le Smartphone est quant à lui préféré au travail, dans les transports et en magasin. La tablette, le canal en plein essor du m-commerce Le commerce, à la base de nos sociétés libérales, n'en déplaise aux insurgés de la 25ème heure, se décline en différentes plateformes d’achat. Les données européennes du e-commerce en infographie. Le e-commerce se convertit au “chercher.

Les marketers ont d’ailleurs donné un nom à cette tendance: le Ropo, acronyme de “Research online, purchase offline”, soit “recherche en ligne, achat en magasin”. Ainsi selon une étude Precepta/Xerfi, si 75% des consommateurs réalisent une recherche sur internet avant d’effectuer un achat, 92% de ces achats sont réalisés en magasin. Plus impressionnant encore: selon Google, 20% des requêtes sur le moteur de recherches ont une finalité locale. Le développement du e-commerce est-il structurellement limité. E-commerce : 72% des Français préfèrent les boutiques en dur. Si huit français sur dix s'adonnent au commerce en ligne, ils sont presque autant à préférer les achats en magasin.

En temps de crise, ils veulent être rassurés. De leur côté, les boutiques doivent encore innover. Voilà une étude qui donnera espoir aux acteurs du « Web to store », cette pratique qui veut attirer les internautes dans les boutiques en dur. D'après un sondage réalisé par l'institut Ipsos, 72% des français interrogés déclarent préférer effectuer leurs emplettes en boutique plutôt que sur le Net. Ce n'est pas nouveau, les consommateurs continuent de louer la dimension humaine et la qualité de l'accueil comme principaux avantages des magasins dits « brick and mortar ». Cette étude, menée fin février auprès d'un millier de personnes, indique que 95% des sondés achètent systématiquement en boutique, une pratique encore extrêmement répandue dans l'alimentation (89%), l'habillement (60%) ou encore les produits culturels (40%) pourtant en tête des achats en ligne (28%).

A l'heure du e-commerce, le rôle du vendeur en magasin doit être revisité. Zoom sur le e-commerce en Chine - Olivier Verot - , Marketing digital.