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Drones

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I worked on the US drone program. The public should know what really goes on. Whenever I read comments by politicians defending the Unmanned Aerial Vehicle Predator and Reaper program – aka drones – I wish I could ask them a few questions.

I worked on the US drone program. The public should know what really goes on

I'd start with: "How many women and children have you seen incinerated by a Hellfire missile? " And: "How many men have you seen crawl across a field, trying to make it to the nearest compound for help while bleeding out from severed legs? " Danse avec les drones. « Pour la première fois, l’US Air force va former cette année plus d’opérateurs de drones que de pilotes de chasse », reconnaît le général Norton A.

Danse avec les drones

Schwartz, chef d’état-major de l’armée de l’air américaine. Et, dans le budget 2010-11 de la défense, 2,7 milliards de dollars sont provisionnés pour assurer un doublement du nombre des drones militaires... Dans un papier au titre inspiré — « Obama dances with the drones » — Stewen Wassman expliquait, dès avril 2009, que le président Barack Obama avait décidé d’intensifier les raids punitifs sur les zones tribales du nord-ouest du Pakistan, quelles qu’en soient les retombées politiques, pour tenter de décapiter le commandement de la mouvance Al Qaida et de ses alliés talibans. Depuis, une noria de drones vole au dessus de « l’Afpak ». Dans la clandestinité C’est la CIA, l’agence de services secrets, qui gère dans la clandestinité les frappes de drones visant des talibans et Al-Qaida au dessus du Pakistan.

Nimbé de secret. La « guerre juste » d'Obama avec ses drones. La veille de l’opération seulement, Aziz Sartaj, conseiller spécial du premier ministre pakistanais pour les affaires étrangères, avait affirmé, lors d’une audition devant une commission du Sénat pakistanais, que le gouvernement américain s’était engagé à ne plus effectuer de tirs de drones tant que dureraient les négociations avec le mouvement taliban.

La « guerre juste » d'Obama avec ses drones

Il est vrai que le 1er novembre dernier, une frappe au Waziristan nord avait tué Hakimullah Mehsud, chef du Tehrik-i-Taliban Pakistan (TTP), qui figurait en bonne place sur la liste des négociateurs avec lesquels le gouvernement pakistanais devait entamer des pourparlers dès le 2 novembre. Cette attaque avait retardé le lancement d’un processus politique auquel se cramponne le gouvernement d’Islamabad. Changement de ton On s’est interrogé sur les raisons pour lesquelles, brusquement, l’exécutif pakistanais, traditionnellement hostile à ces frappes, mais aussi régulièrement accusé de s’en accommoder, avait ainsi changé de ton : Même si M.

Secret U.S. memo sanctioned killing of Aulaqi. “What constitutes due process in this case is a due process in war,” said one of the officials, who spoke on the condition of anonymity to discuss closely held deliberations within the administration. The administration has faced a legal challenge and public criticism for targeting Aulaqi, who was born in New Mexico, because of constitutional protections afforded U.S. citizens. The memorandum may represent an attempt to resolve, at least internally, a legal debate over whether a president can order the killing of U.S. citizens overseas as a counterterrorism measure. The operation to kill Aulaqi involved CIA and military assets under CIA control. A former senior intelligence official said that the CIA would not have killed an American without such a written opinion. Secret U.S. Memo Made Legal Case to Kill a Citizen. Obama restricts drone strikes overseas. WASHINGTON -- Under pressure from Congress and international allies, President Obama announced a change in what has been a central piece of his counter-terrorism strategy, saying he will place new restrictions on the targeting of terrorists with missiles fired from drones.

Obama restricts drone strikes overseas

In a speech that took stock of America’s long battle with Al Qaeda, the president said he would continue ordering lethal drone strikes to stop potential terrorist attacks because the relative precision of drone warfare is preferable to major troop deployments or traditional bombing. But a newly codified rule book, administration officials said, would hold U.S. authorities to a tougher standard when deciding whom to kill, where, and under what circumstances. Under the new policy, strikes will be authorized only against militants who pose “a continuing, imminent threat,” aides said, instead of “a significant threat,” which had been the previous standard.

After Earth (2013) : Drones et terroristes. Je voudrais ici avancer une hypothèse concernant le film After Earth, dont j’ai par ailleurs essayé d’analyser le propos viriliste et masculiniste dans un autre article sur ce site (auquel je renvoie pour un résumé du scénario).

After Earth (2013) : Drones et terroristes

Drones. Les Américains accusés de "crimes de guerre" dans des attaques de drones. Deux rapports publiés mardi par Amnesty International et Human Rights Watch accablent le gouvernement américain dans de nombreux cas d'attaques de drones perpétrées au Pakistan et au Yémen. Sur la base de témoignages recueillis sur le terrain, les deux organisations expliquent que les pertes civiles dans ces assauts auraient pu être évitées.

Elles demandent ainsi aux Etats-Unis de mettre fin au "secret" qui entoure leurs tirs meurtriers dans ces deux pays. Des centaines de victimes civiles Depuis 2004, entre 2000 et 4700 personnes, dont des centaines de civils, selon différentes évaluations, ont été tuées par plus de 300 tirs de drones américains dans les zones tribales du nord-ouest pakistanais. Drones américains : Permis de tuer ? (partie 1) - #DébatF24. Drones américains : Permis de tuer ? (partie 2) - #DébatF24. La guerre des Drones et le pouvoir américain (HD 1080)