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Dépression

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Derrière le mot dépression, on voit que se profile déjà le fait de lâcher la pression, de dégager le poids que l’on s’est mis sur le dos.



Au moins en dépression, on ne se force pas à faire des choses que l’on ne veut pas faire !

Et les émotions négatives qui sont là, ne sont uniquement là, que pour nous remettre en lien avec nos besoins profonds que nous avions tant oubliés, niés, mal aimés.

Nos colères nous mettent en lien avec nos identités bafouées. Nos tristesses nous reconnectent avec nos besoins de partage. Nos peurs nous reconnectent avec nos besoins de préparation ou de protection vitale…

Et si la dépression n’était que le seul moyen que le corps ait trouvé pour parler de son mécontentement.

Les dépressifs ont une activité diminuée de plusieurs neurotransmetteurs, dont dopamine, noradrénaline et surtout sérotonine.

30 à 40 % des patients dépressifs ne répondent pas aux antidépresseurs.

Les Quatre Incommensurables. Les « Quatre Incommensurables Méditations » : c’est très poétique.

Les Quatre Incommensurables

Et très oriental, aussi : je jette un œil sur les noms et universités des auteurs, ils sont effectivement d’origine chinoise ; d’où le clin d’œil pour présenter leur travail. De quoi s’agit-il ? En fait, de 4 méditations bouddhistes très classiques (sur la compassion, l’équanimité, la bienveillance et le bonheur altruiste) qui ont été reprises et adaptées par le monde de la psychologie et de la pleine conscience laïque, afin d’en faire des exercices thérapeutiques. L'article, une méta-analyse reprenant une quarantaine d'études, souligne que pour les personnes déprimées mais aussi pour les non-déprimées, ces 4 familles de méditation sont bénéfiques pour le moral. Effectivement, ça fait du bien de penser à bien, pour la santé du corps et de l'esprit. Si vous voulez travailler ces domaines, vous trouverez beaucoup de méditations guidées sur internet. Illustration : une fructueuse séance de méditation sur la bienveillance.

Dépression et addictions : No stress ! Image par Gerd Altmann de Pixabay La présence de ce type de symptômes est par ailleurs associée à une aggravation du pronostic global de ces patients, tant sur le plan addictologique que psychiatrique.

Dépression et addictions : No stress !

Dans une partie des cas, les études ont montré que le traitement du trouble de l’usage de substance permettait une amélioration de l’état thymique, sans que le mécanisme sous-jacent ne soit toujours clair. Plusieurs hypothèses existent pour tenter d’expliquer cette amélioration de l’humeur dans les semaines suivant l’abstinence de substance. Certains auteurs pensent que la réduction des consommations de substances entraine par un effet direct la régression de ces symptômes dépressifs, qui seraient donc induits par les produits.

D’autres, pensent que cette rémission symptomatique pourrait être liée à la réduction du stress global, par la diminution des facteurs de stress liés aux consommations. Par Julien Cabé En savoir plus. Et toi, ça va ? Comment lutter contre la dépression ? Sortir d'une dépression. Premier pilier : le traitement. Sortir d'une dépression. Second pilier : la psychothérapie. Sortir d'une dépression. Troisième pilier : Les changements. Pour vous inscrire à la newsletter, c'est par ici Un petit cadeau vous attend juste après Garantie 100% sans SPAM Nous voici au terme de ce dossier psy consacré aux 3 piliers pour sortir d’une dépression.

Sortir d'une dépression. Troisième pilier : Les changements

Pour mémo, le premier pilier traitait du traitement, le second de la psychothérapie et nous allons voir aujourd’hui le dernier des piliers; les changements. Ce qui constitue d’ailleurs une jolie passerelle entre mes deux activités professionnelles Comme je le disais dans le précédent billet, une dépression n’arrive jamais par hasard. Nous sommes le fruit de notre éducation, de nos expériences, de nos interactions avec notre environnement ou encore du regard qu’ont porté sur nous nos figures d’autorité. En restant sur l’image des constructions, il se peut même qu’une structure s’effondre après juste une petite secousse. Exemple (pour revenir un peu dans le concret) : Le langage de la dépression. Votre manière de parler est un indicateur de votre santé mentale Pour la programmation neuro-linguistique (PNL) il existe une étroite relation entre la pensée (Processus interne), les états internes (Ressentis, émotions), et nos comportements externes (Langage verbal et non verbal).

Le langage de la dépression

Ces trois dimension sont en permanente interactions et s’influencent mutuellement. Par exemple les omissions, généralisation et distorsions du langage reflètent et traduisent nos pensées. Il devrait donc y avoir un lien entre nos états internes et le langage, ce que les scientifiques ont longtemps cherché à déterminer à propos du langage de la dépression. Une nouvelle étude, publiée en 2018 dans Clinical Psychological Science, a établi une liste de mots pouvant aider à détecter une dépression.

Signes de dépression

Tristesse. Souffrance. Désespoir. Troubles émotionnels. Trouble de stress post-traumatique. L'angoisse. Santé mentale. Bonne santé. Depression. Psychothérapie interpersonnelle. Thérapie cognitivo-comportementale (TCC) Stimulation magnétique transcrânienne. Kétamine. Médicaments antidépresseurs. EMDR. Méditation.

Livres. Podcasts. Renaissance. Dépression. Plus de symptômes de dépression chez les femmes dans des postes d'autorité. Dans des emplois sans autorité, les femmes présentent un peu plus de dépression en moyenne que les hommes.

Plus de symptômes de dépression chez les femmes dans des postes d'autorité

Mais dans des postes d'autorité (contrôle sur le travail d'autres employés) cette différence est plus importante, indiquent les chercheuses. "Ce qui est frappant est que ces femmes sont avantagées en terme de caractéristiques qui sont généralement associées à une bonne santé mentale", souligne Tetyana Pudrovska. "Ces femmes ont plus d'éducation, des revenus plus élevés, des professions plus prestigieuses, et des niveaux plus élevés de satisfaction au travail et d'autonomie que les femmes dans des emplois sans autorité. Pourtant, elles ont une moins bonne santé mentale que les femmes de statut inférieur. " Les chercheuses font l’hypothèse que des stresseurs interpersonnels empêchent les bénéfices normalement associés à un poste d'autorité.

"Les femmes qui occupent des postes d'autorité sont considérées comme n'ayant pas l'affirmation de soi et la confiance des leaders forts.