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Neurosciences

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EntretienPEDAGOGIEK. Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences. D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit.

Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage.

Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? 2. Stanislas Dehaene écrit : Les 10 conditions qui rendent une activité d’apprentissage motivante (version 2) – Donnez du sens à vos études. Réseaux sociaux et plateformes : après des années de manipulation cognitive, vers une écologie de l’attention. Tels d’anciens truands passant aux aveux et reniant avec vigueur leur vie passée, voici plus d’un an maintenant que se succèdent les témoignages d’anciens cadres des plus grandes plateformes mondiales – de Google à Facebook en passant par Amazon ou Twitter – visant à dénoncer les pratiques des champions du numérique.

Réseaux sociaux et plateformes : après des années de manipulation cognitive, vers une écologie de l’attention

Depuis Chamath Palihapitiya et Sean Parker (respectivement cadre et ancien président de Facebook) à Loren Brichter (ancien codeur de Twitter), en passant par Tristan Harris (ex salarié de Google auteur du virulent manifeste « Comment la technologie pirate l’esprit des gens »), tous ces repentis du digital pointent du doigt les manipulations cognitives que leur ex employeurs n’ont cessé d’utiliser et de perfectionner depuis des années, dans le but de captiver l’attention de leurs utilisateurs et de s’accaparer leur « temps de cerveau disponible ».

CERVEAU ET APPRENTISSAGE. Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences. Comment tout mémoriser rapidement avec les répétitions espacées. Comment mémoriser mes cours ?

Comment tout mémoriser rapidement avec les répétitions espacées

Comment retenir du vocabulaire anglais ? Des formules de mathématiques ? Des théorèmes de physique ? Essayez les répétitions espacées ! Voilà le genre de question qui hante le cerveau des étudiants de tout âge et de toute condition ! Répétitions espacées : grâce à la courbe d’oubli d’Ebbinghaus En 1885, Hermann Ebbinghaus publiait son livre « La mémoire. Cette courbe montre sans pitié que nous apprenons très vite. Si on étudie un sujet à fond, une seule fois, sans révision, il est impossible de retenir à long terme. Cela explique aussi pourquoi les étudiants qui s’y prennent à la dernière minute peuvent réussir un examen le lendemain ou le surlendemain. L’impact des répétitions espacées sur la mémoire à long terme. Le lapbook, un support d'apprentissage et de révision ludique et efficace. Je ne suis absolument pas une experte du lapbook mais je tenais à vous faire découvrir ce support d’apprentissage et de révision.

Le lapbook, un support d'apprentissage et de révision ludique et efficace

J’avais vu plusieurs exemples sur différents blogs et je m’y étais vaguement intéressée en me disant que je le testerai bien mais plus tard. Je crois que j’avais un peu d’appréhension d’essayer quelque chose de nouveau :-). Mais voilà, l’élève de 5° que j’accompagne avait un devoir commun sur tous les chapitres étudiés depuis le début de l’année en histoire et géographie. Comment protéger nos cerveaux du piratage ? Non, internet ne nuit pas au cerveau - Science-et-vie.com. Pour les neurologues, l'omniprésence d'internet et des nouveaux médias numériques aura bien un impact sur notre cerveau... mais pas forcément négatif.

Non, internet ne nuit pas au cerveau - Science-et-vie.com

Consultation de mails à toute heure, envois de tweets en rafales, messages permanents sur Facebook tout en regardant la télé... En quelques années, la grande majorité d'entre nous s'est vue happée par les immenses possibilités d'ultra-communication et d'ultra-information offertes par internet. 74 % de la population française y accède quotidiennement, pour une durée moyenne de 18 heures par semaine. Evidemment, ce n'est pas la première fois qu'une nouvelle technologie de la communication s'immisce dans notre quotidien. Mais jamais aucune ne s'est propagée aussi vite - en une génération à peine !

- et aussi largement. « L'omniprésence d'internet et des nouveaux médias numériques constitue un changement de société majeur. Pour la semaine du cerveau, découvrez comment les bébés apprennent à parler - Science-et-vie.com. Les neuroscientifiques de 62 pays du monde vous invitent du 13 au 19 mars à découvrir notre organe le plus fascinant, le cerveau, au gré de projections, d'ateliers et de conférences.

Pour la semaine du cerveau, découvrez comment les bébés apprennent à parler - Science-et-vie.com

Notre choix : ce lundi soir, une conférence live sur l'apprentissage du langage chez les bébés. Du 13 au 19 mars, c'est la semaine internationale du cerveau. En France, en Belgique, en Suisse et dans une soixantaine de pays au total, les laboratoires de neurosciences invitent le public à découvrir ce qui se passe à l'intérieur de notre crâne quand nous apprenons, ressentons des émotions, jouons de la musique ou tout simplement consommons un repas ou faisons une activité physique.

Projections, ciné-débats, visites guidées et ateliers (tous gratuits)... des centaines de chercheurs y partageront leurs connaissances, permettant, finalement, à chacun de mieux se comprendre soi-même.