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Peuple et démocratie

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Pourquoi la démocratie ? Nos jeunes concitoyens ont eu l'honneur de plancher sur l'épreuve de philosophie du Bac 2013.

Pourquoi la démocratie ?

Oh je ne me fais pas d'illusions, aimant personnellement la philosophie comme sujet absolu de l'humanité, j'ai trouvé tous les sujets fort intéressants mais je me doute que la philo n'est pas la tasse de thé de tous les bacheliers. Un sujet a retenu tout particulièrement mon attention, celui de la filière Économique et social : "Que devons nous à l'Etat ? " Rassurez vous ! Nous n'allons pas tenter de répondre à la question mais il semble que l'on ne se pose pas assez les questions suivantes : Qu'est-ce que l’État ?

Comment organiser la société ? Qu'est ce que la démocratie et est-elle un gage de progrès humain ? A l'heure où les chaines de TV s'éteignent en Grêce et où les mouvements fascistes se réclament démocratiques, il est urgent de rappeler l'idéal de développement humain en faisant appel à toutes les connaissances scientifiques anthropologiques et historiques. I - L’État et le contrat social. Jean Paul Delevoye reçoit WtvDH au CESE  Jean Paul Delevoye reçoit WtvDH au conseil économique, social et environnemental.

Jean Paul Delevoye reçoit WtvDH au CESE 

Il répond aux questions de Michel Bazinet à propos des vertus, vertus du politique et vertus du citoyen. ” La France a d’extraordinaires atouts à condition de retrouver le chemin de la confiance” ” …nourrir des débats pour passer d’une société de la performance à une société de l’épanouissement, et d’une société de l’acquisition à une société du partage…” “…c’est un moment très important pour les élus locaux…ils ont construit… des infrastructures, ils doivent aujourd’hui construire des espérances.” ” L’offre politique, ou bien elle se fera sur des intérêts, ou bien elle se fera sur des causes.Si elle continue à se faire sur des intérêts, l’offre politique continuera à se déchirer. Vivons-nous vraiment en démocratie?

Dans «Principe du gouvernement représentatif», initialement publié en 1993 et réédité le 10 octobre, Bernard Manin remet en cause l'élection au suffrage universel comme quintessence de la démocratie. Il explique pourquoi nos démocraties modernes n'en sont pas vraiment et pourquoi les révolutionnaires des XVIIe et XVIIIe siècles ont préféré mettre en place un système aristocratique plutôt qu'un gouvernement du peuple par le peuple. «Principe du gouvernement représentatif.» Avec un titre pareil, ce livre ne figurera sans doute pas parmi le top des ventes de la Fnac. Malgré sa couverture jaune pétante et la mention «postface inédite», il a peu de chance d'être l'objet d'un achat impulsif.

Pourtant, je plaide pour que cet ouvrage soit distribué à toute personne en âge de voter, voire même remboursé par la sécurité sociale. Car Bernard Manin, direteur d'études à l'EHESS et professeur à la New York University, s'attaque ici aux fondements mêmes de notre système politique. Emmanuel Daniel. La Gauche Populaire : la République, rien que la République. Par Benjamin Jiben Sire pour La Gauche Populaire Une fois de plus, une livraison du quotidien Libération se focalise de manière caricaturale et biaisée sur la Gauche Populaire, à travers une « enquête », titrée « La Gauche Populaire à la conquête des « petits Blancs » des pavillons » !

La Gauche Populaire : la République, rien que la République

Sous la plume de Jonathan Bouchet-Petersen, on découvre un collectif en lequel aucun de ses membres ne peut se reconnaître et qui défend des notions et un vocabulaire qui ne sont pas les siens. Quand la Gauche Populaire met le doigt sur l’abandon par la gauche des classes populaires et de citoyens (aux origines souvent bien plus diverses que l’image qui en est renvoyée) poussés vers le périurbain ou abandonnés dans des déserts ruraux ne demandant qu’à renaître, nos contempteurs voient, au nom de leur conception identitaire et racialiste, la défense forcenée d’une France de « petits blancs » beaufs, xénophobes et largués. La crise est économique, sociale, politique et culturelle. Like this: Démocratie, par ici la sortie ? Source : C’est peut-être la seule idée universellement révérée, y compris par ceux qui la bafouent.

Démocratie, par ici la sortie ?

Les peuples qui en sont privés en rêvent, les monarques et tyrans la promettent tout en la craignant. On salue ses avancées, on déplore ses revers, on recense ses bienfaits, on énumère ses ratés. De Pyongyang où elle est dite « populaire », à Téhéran où on l’aime « islamique », de Londres où on ne l’imagine pas autrement que « libérale », à Paris où on la veut « sociale », de Tunis où elle est un espoir, à Washington où elle fait partie des meubles, la démocratie est une proposition que personne ne peut refuser. Le nom de l’avenir radieux qui sera un jour le présent de l’humanité entière. Cette victoire sans appel – du mot, sinon de la chose – a son revers, c’est que l’idée démocratique est devenue insaisissable. Dans ces conditions, il peut sembler absurde de s’inquiéter de son éventuel délitement.

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