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L'Eglise

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16 mars 1244 - Le bûcher de Montségur. Les cathares. Introduction Entre le Xe et XIIe siècle, une mystérieuse « hérésie » fait son apparition dans le Midi de la France.

Les cathares

Bientôt son expansion et sa menace sont telles que l'Eglise catholique est contrainte de mener une guerre à l'éradication de cette religion. Histoire du catharisme. La doctrine….

Histoire du catharisme

Le catharisme se développe dans la Chrétienté occidentale au XIIème siècle. Cette dissidence chrétienne médiévale réclame, comme d’autres mouvements de son temps, le retour au modèle d’Eglise primitive des premiers temps du Christianisme. 5- Les ordres mendiants : Franciscains et Dominicains - Site du collège Claude Massé. Ordres monastiques - Ordres mendiants. Les ordres mendiants ne sont pas des ordres monastiques, puisque leurs frères ne sont pas cloîtrés afin de pouvoir prêcher librement au dehors.

Ordres monastiques - Ordres mendiants

Si ces ordres tiennent une place importante dans l'histoire de la chrétienté, leur influence sur l'architecture fut bien plus faible que celle des clunisiens et des cisterciens, leur idéal s'accordant mal avec l'édification de somptueux monastères. Les ordres mendiants sont au nombre de quatre : les dominicains, les franciscains, les carmes etles ermites de Saint Augustin. Ils ont en commun l'époque à laquelle ils sont apparus (début du XIIIe siècle), les papes qui les ont reconnus (Innocent III et Honorius III) et un idéal de dépouillement total (St François donne tout son manteau à un pauvre et pas seulement la moitié, comme Saint Martin), de vie de prêcheurs errants, mêlés au peuple et non iolés comme les autres moines. L'implantation des couvents se fait essentiellement dans les villes. Les ordres mendiants.

De nombreux ordres bénédictins (ensemble de moines suivant la même discipline inspirée de la règle de Saint Benoit) se sont développés à la fin du Xe jusqu'au XIe Mais l'accumulation de leur richesse (obtenu à partir de dons mais aussi de leur travail) a contribué à la relâche de la discipline et les moines sont déviés de leur mission originelle fixée par leurs fondateurs : ainsi, se développent au XIIIe les ordres mendiants, qui mettaient la pauvreté au 1er rang des vertus chrétiennes en demandant à leur membre de mendier.

Les ordres mendiants

Ordre mendiant des Dominicains : Ordre mendiant des franciscains : Cet ordre se rendra tristement célèbre par sa gestion de l'inquisition contre les albigeois qui lui sera confiée par le Pape, mais aussi par la qualité de son enseignement : Albert le Grand (1206-1280) : enseignant dominicain à l'université de Paris, il diffusera en la commentant la pensée d'Aristote en essayant de la concilier à la doctrine chrétienne. Les pélerinages. Les ordres mendiants. Le clergé séculier et le clergé régulier. © kidadoweb.com Micro Application et ses concédants.

Le clergé séculier et le clergé régulier

Tous droits réservés L'Eglise est le 1er ordre de la société. Toute la population de l'Europe Occidentale est chrétienne (croit en Jésus Christ). Les universités au Moyen âge. L'origine des universités Les universités sortirent, au XIIe siècle, de la fusion des écoles cathédrales, des écoles monastiques et des écoles privées, au moyen d'un mélange d'éléments empruntés à chacune de ces catégories d'établissements d'instruction et à travers une série de luttes qui durèrent plus d'un siècle, et eurent leurs principaux centres à Bologne et à Paris.

Les universités au Moyen âge.

Bologne . L'enseignement laïque s'était perpétué dans les villes d'Italie depuis l'Antiquité . Il y eut à Bologne deux grands clubs d'étudiants, groupés par sociétés de compatriotes, les cismontains (Italiens) et les ultramontains (étrangers), qui élirent chacun un président, auquel fut donné le titre de rector, terme vague qui s'appliquait alors à toute espèce de fonctionnaires civils et ecclésiastiques. Paris. Fondation Sorbonne au Moyen Age - Robert de Sorbon. L’affirmation de Paris comme capitale de la France s’appuya sur le développement et le rayonnement de l’Université de Paris.

Fondation Sorbonne au Moyen Age - Robert de Sorbon

Celle-ci vit le jour au cours du XIIe siècle au terme d’une croissance continue des écoles parisiennes regroupées sur la Montagne Sainte-Geneviève. Ces écoles dispensaient un enseignement qui préparait à trois grades : le baccalauréat (grammaire, dialectique, rhétorique), la licence (arithmétique, géométrie, astronomie, musique) et le doctorat (médecine, droit canonique, théologie). Ce succès rendit rapidement nécessaire une organisation structurée au début du XIIIe siècle. Le roi Philippe Auguste décida alors de donner aux maîtres et étudiants des conditions de vie convenables et de garantir par des diplômes la qualité d’études qui étaient en train de devenir une voie nouvelle d’ascension sociale. Le système d’organisation des écoles fut alors redéfini selon deux grands principes.

Dès le XIIIe siècle, la communauté universitaire était européenne. Naissance et organisation des universités. Naissance et organisation des universités au Moyen-Âge Par Kareen Healey, étudiante en bacc d'histoire à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).

Naissance et organisation des universités

Loin d'être une nouveauté dans nos sociétés contemporaines, les premières universités apparurent au XIIIème siècle. A cette époque, le mot "université" avait un sens bien différent d' aujourd'hui. C'est seulement au fil de l'évolution et des siècles qu'il a pris pleinement son sens contemporain. Dossier pédagogique - L'enfance au Moyen Âge - Scène de prédication. Saint-Jacques - Histoire du pélerinage. Histoire du pelerinage de Saint Jacques de Compostelle. La période allant du XIe au XIVe marque alors l'âge d'Or du pèlerinage, certaines sources donnent des chiffres de 500 000 pèlerins par an.

Histoire du pelerinage de Saint Jacques de Compostelle

Le pèlerinage de Compostelle devient d'autant plus fréquenté qu'en dépit des croisades les portes de Jérusalem se ferment définitivement au milieu du XIII ème siècle avec sa prise par les Turcs. De toute l'Europe, les "Jacquets" tracent leurs routes -quatre voies principales- sur lesquelles se met en place souvent sous l'impulsion des grandes abbayes un système d'aide aux pèlerins avec, hospices, chapelles, étapes. Il n'empêche, le pèlerinage demeure une épreuve. Histoire des chemins de Saint-Jacques de Compostelle. En 834, Alphonse II, roi des Asturies, se mit en route à partir d'’Oviedo, traçant ainsi le premier chemin de pèlerinage vers Compostelle (que l’on nommera ensuite Camino primitivo, ou Chemin primitif).

Histoire des chemins de Saint-Jacques de Compostelle

En 950-951, c’est l’'évêque Godescalc, accompagné d’'un long cortège, qui effectue le pèlerinage à partir du Puy-en-Velay (alors appelé Le Puy-Sainte-Marie). Grâce à la volonté des évêques successifs de Saint-Jacques de Compostelle (et, au premier chef, Diego Gelmirez, 1070 ? - 1140), le pèlerinage allait rapidement s’'organiser. Pèlerinage Saint Jacques de Compostelle : l'histoire. Tympans de Conques. Au dessus de la Jérusalem céleste, on voit les arcades représentant l’église de Conques. Sous ces arcades, suspendus, les fers des prisonniers chrétiens, délivrés des mains des Maures par Sainte-Foy. Sainte Foy, patronne de Conques, prosternée en prière devant la main de Dieu, qui sortant des nuages, la bénit. La vie de Sainte Foy est contée dans une chanson en occitan du XII° siècle, la chanson de sainte Foy. Sous Dioclétien, la jeune agenaise convertie au catholicisme à l’âge de 12 ans, fut condamnée à mourir brûlée vive sur un gril.

Un orage providentiel éteint le gril et la petite Foy fut finalement décapitée. Tympan du Jugement dernier de Conques. Au portail occidental de l'abbatiale de Conques, une profonde voussure en plein cintre abrite le Tympan du jugement dernier, l'une des œuvres majeures de la sculpture romane de la première moitié du XIIe siècle par ses qualités artistiques et son originalité, par ses dimensions aussi. Il a vraisemblablement été réalisé sous l'abbatiat de Boniface, à la tête du monastère de 1107 à 1125, par un sculpteur qui avait sans doute déjà travaillé à la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle. Large de 6,70 mètres pour une hauteur de 3,60 mètres, il n'abrite pas moins de cent vingt-quatre personnages dans un état de conservation tout à fait remarquable.

Pour le visiteur qui débouche sur le parvis, le tympan, à 3,50 mètres du sol reste étonnamment lisible malgré le foisonnement des personnages et la diversité des scènes. Tout, en effet s'ordonne autour de la figure centrale du christ, démesurée par rapport aux autres personnages et vers lequel le regard se trouve irrésistiblement attiré. Le tympan et le trésor de ste foy de Conques. Abbatiale Sainte-Foy de Conques. LE TYMPAN DE SAINTE FOY DE CONQUES. À la découverte de la cathédrale Saint-Alain de Lavaur. Art et dévotion.pdf. Clergé séculier et régulier.