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L'IVG ailleurs

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Abortion drug decision pushed back by Health Canada. Health Canada has pushed back its decision on whether to approve the abortion pill mifepristone, according to a stakeholder group following the process.

Abortion drug decision pushed back by Health Canada

Vicki Saporta, president of the National Abortion Federation, says Health Canada has requested additional information from the drug's manufacturer, a request that will delay until next fall a decision on whether to approve mifepristone. Once the manufacturer supplies that information, "Health Canada would undergo their normal review process of the additional information that's submitted," Saporta said in an interview with CBC News. If approved, mifepristone would be available by prescription to terminate pregnancies of up to nine weeks. It's different from the morning-after pill, which is used within a few days after sex to prevent pregnancy.

En Irlande, le cas d'une femme forcée à accoucher ravive le débat sur l'avortement. Une femme forcée de donner la vie. Une femme tombée enceinte suite à un viol s'est vu refuser l'avortement, malgré sa fragilité psychologique.

Une femme forcée de donner la vie

L'affaire ravive le débat sur l'interruption volontaire de grossesse. La question de l'avortement est à nouveau au centre des débats en Irlande, alors qu'une jeune femme, tombée enceinte après avoir été violée, s'est vu refuser l'intervention. En Irlande, pays de forte tradition catholique, l'interruption volontaire de grossesse (IVG) est interdite, sauf dans un cas : si la grossesse met en danger la vie de la femme enceinte, y compris si sa santé mentale entraîne un risque de suicide.

IVG Etats Unis

IVG Espagne. En Italie, on empêche l’avortement et tout le monde « s’en fiche » Affiche sur le « mur des horreurs » à Jesi : « A deux mois de grossesse : je suis parfait, comme un grand : j’ai déjà tout, même les germes de mes petites dents. » (L'Espresso) (De Rome) « Je voyais [la peau, le sang et le tissu] de mon enfant emplir le bocal [posé à côté de moi]. » Dans le département gynécologique de l’hôpital de Jesi dans les Marches, voici ce que les femmes peuvent lire sur les murs.

En Italie, on empêche l’avortement et tout le monde « s’en fiche »

Indignée, une habitante a écrit à l’hebdomadaire italien L’Espresso. Ces mots ont fait depuis le tour de la Péninsule. L’avortement est, en Italie, un thème brûlant. Avant 90 jours, et après Dans la Péninsule, l’avortement est réglementé par la loi 194. . – quand la grossesse ou l’accouchement comporte un grave danger de mort pour la femme ; – quand, suite à des analyses rapportant une grave malformation de l’enfant, la santé physique et psychique de la mère sont en danger. » ; Des médecins objecteurs de conscience C’est surtout ce dernier article qui fait débat.

Gabriella continue : Death of Savita Halappanavar. The death of Savita Halappanavar on 28 October 2012, at University Hospital Galway in Ireland, led to nationwide protests—which spilled over into India, Britain and many other countries—calling for a review of the abortion laws in Ireland.

Death of Savita Halappanavar

Halappanavar, a Hindu Lingayat of Indian origin, was suffering from a miscarriage (which was later assessed to be most likely due to a bacterial infection),[1][2] when she was some 17 weeks pregnant, she sought medical attention and treatment at University Hospital Galway. Beginning no earlier than the date of her hospital admission on October 21, her requests[quantify] for an abortion were refused,[when?]

Instead being told that due to her fetus retaining a heartbeat and her life not appearing to be in physiological danger, this was not legal.[3] On one occasion she was told "it was the law, that this is a Catholic country. Events then spiralled into motion once the events became public. Background[edit] This has now been codified into law. [edit] Nouvelle infographie: Interdire l'avortement met en péril la santé des femmes. September 19, 2013 La recherche montre que rendre l'avortement illégal n'évite pas qu'il se produise, mais le rend invisible et oblige les femmes à avoir des procédures clandestines et risquées.

Nouvelle infographie: Interdire l'avortement met en péril la santé des femmes

Chaque année, 47.000 femmes meurent suite à des avortements non médicalisés et des millions d'autres sont blessées, dont certaines grièvement et de façon permanente. Presque tous ces décès et traumatismes ont lieu dans des pays où les lois sur l'avortement sont très restrictives. Presque tous sont aussi entièrement évitables. Disponible en anglais Disponible en español La fréquence de l'avortement a beaucoup moins à voir avec son statut juridique qu’avec le taux de grossesses non planifiées, la cause fondamentale de la plupart des avortements. Afin d’assurer que le débat mondial sur l'avortement non médicalisé soit informé par des faits, le Guttmacher Institute a créé une infographie présentant les données probantes essentielles sur les conséquences des lois restrictives sur l’avortement.