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ZEN SOTO

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Oublier ses certitudes - François Roustang. Interview de François Roustang par Valérie Colin-Simard, juillet 2009 Source : Psychologies.com « Le patient n’est pas un malade mais un maladroit », nous dit le thérapeute François Roustang dans son livre Il suffit d’un geste.

Oublier ses certitudes - François Roustang

Éloge de l’insécurité - Alan Watts. « Essayer de tout comprendre en fonction de la mémoire, du passé et des écrits, c’est comme avoir vécu l’essentiel de sa vie, le nez dans un guide touristique, sans jamais regarder le paysage. » « Chercher l’éveil, c’est comme utiliser ses lunettes pour les chercher. » Le livre Éloge de l’insécurité Éditions Petite Bibliothèque Payot, février 2005.

Éloge de l’insécurité - Alan Watts

J'ai deux kôans à vous dire... L'histoire de l'école Zen Sôtô. À l'époque de la dynastie des Song du Sud, Dôgen Zenji a voyagé en Chine pour y étudier le Dharma.

L'histoire de l'école Zen Sôtô

Après avoir visité de nombreux temples, il rencontra à l'âge de 26 ans Nyojo Zenji, l'abbé du monastère Tendosan Keitokuji, héritier de la tradition de la lignée Sôtô. Dôgen Zenji a ainsi hérité du Dharma du Bouddha scrupuleusement transmis depuis le Bouddha Shâkyamuni. Immédiatement après son retour au Japon, à l'âge de 28 ans, Dôgen Zenji écrivit le Fukanzazengi (Les règles universelles pour la pratique de zazen), afin de faire connaître le Dharma du Bouddha qui lui avait été authentiquement transmis. Malgré l'opposition venant d'autres écoles bouddhiques plus anciennes, et plus particulièrement de la part des moines du Mont Hiei, Dôgen Zenji pensait qu'il était urgent de rassembler ceux qui cherchaient réellement la Voie, afin de leur faire connaître les enseignements qui lui avaient été transmis.

Informations en rapport avec cette page. La voie de la sagesse. Un nouveau livre sur Ryokan, par Dominique Blain Il y a quatre ans, Dominique Blain, moine zen, s’est glissé dans la peau de Ryokan, célèbre ermite, moine zen et poète de la fin de la période Edo.

la voie de la sagesse

Le résultat, Ryokan, L’oublié du monde, sortira en novembre 2007 chez éditions Les Deux Océans. Zen Road a parlé avec l’auteur de son œuvre et de sa pratique. Zen Road : Pourquoi Ryokan ? Dominique Blain : C’est quelqu’un qui, pour moi, représente la plus belle intelligence de l’homme. ZR : Comment avez-vous structuré le récit de la vie de cet homme ? DB : Je fais parler le personnage. ZR : Que voudriez-vous exprimer en tant que Ryokan ? DB : Il y a déjà pas mal de livres sur Ryokan ; mais j’étais un peu frustré, parce qu’à chaque fois que j’en lisais un, je me disais qu’il y avait une facette de l’homme, mais pas l’ensemble de sa personnalité. ZR : Est-ce que votre pratique de zazen a joué un rôle dans ce projet ? DB : La pratique est essentielle. DB : Oui oui. Le père acquiesce et se retire. Boudhisme et Zen. Si on demande à un adepte, et à plus forte raison à un Maître, du Zen ce qu’est le Zen, il répondra probablement et invariablement " C’est Zazen !

Boudhisme et Zen

". Si cette réponse ne vous illumine pas immédiatement c’est simplement parce que vous ne pratiquez pas Zazen. Or Zazen c’est s’asseoir en silence. Za, en japonais, Zhou en chinois signifie simplement siège, par extension s’asseoir sans bouger. Ce même caractère sanscrit utilisé dans le Dhyana d’origine, Antara est très proche de Asana (siège, posture) utilisé en Hatha Yoga, Zen, Chan ou Dhyana signifie littéralement " centré ", " au milieu de " et, par extension, " agir centré " ou " méditer ". " Faire Zazen "* c’est donc s’asseoir en silence et agir centré. . * "faire zazen" "faire yuki" et on en passe et des meilleurs c'est un peu "faire du" ou "faire les" comme on fait du vélo, du sport, du boudin aux pommes.

Un peu comme si Zidane "faisait du ballon" ! C'est simplement "assise-centrée-silence" (Zuo Chan ou Zazen). Le premier affirme donc. Les figures de l'école Zen Sôtô moderne. Watanabe Genshû (1869-1963) - 17e abbé de Sôjiji Ce tableau présente les principales lignées de l'école sôtô moderne.

Les figures de l'école Zen Sôtô moderne

Il ne s'agit pas nécessairement de lignées de transmission formelle plutôt de lignes d'influence. Le nom de famille est donné en premier avant le nom monacal ordinaire selon l'usage japonais. Il est à noter que les moines changent souvent de nom de famille après leur ordination et prennent celui de leur propre maître. Les principaux représentants du courant mokushôzen (la méditation silencieuse) ishiari Bokusan Kin'ei (1821-1910). Né Sasamoto Mankichi, Nishiari se fit bonze à l'âge de 12 ans sous la direction du maître Kinryû oshô au temple de Chôryûji. Oka Daijun Sôtan (1860-1921). Kishizawa Minpô Ian (1865-1955). Sōtō. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

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Représentation de Maître Dôgen Histoire[modifier | modifier le code]