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Van Gogh 2013/2014 1S3 TPE - Psychisme / Physique

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Hypocondrie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Hypocondrie

Étymologie[modifier | modifier le code] L'hypocondrie est définie par une « douleur morale qui s'exprime en termes de pathologie organique et conduit le patient à l'exercice d'une relation ambiguë avec le médecin, sollicité et rejeté par un malade qui détient seul le secret de son mal et le savoir de son remède. Le sujet se donne à percevoir comme malade imaginaire, et profère à l'égard de ses proches un discours sans réponse, qui obligatoirement les engage dans une relation sadomasochiste de mise en question du corps[6] ». Cette définition doit être complétée par un élément central de l'hypocondrie qui la différencie par exemple des formes névrotiques, hystérie de conversion ou « trouble somatoforme » dans l'approche DSM ou CIM : le patient a « une tendance maladive à en déterminer les causes » (Jules Cotard).

Critères diagnostiques[modifier | modifier le code] Hypocondrie et littérature. Histoire de la médecine psychosomatique - Institut Belge de Biologie Totale des Êtres Vivants. 1.

Histoire de la médecine psychosomatique - Institut Belge de Biologie Totale des Êtres Vivants

Introduction. Effet placebo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Effet placebo

Pour les articles homonymes, voir Placebo. Un placebo est un traitement d'efficacité pharmacologique propre nulle mais agissant, lorsque le sujet pense recevoir un traitement actif, par un mécanisme psychologique et/ou physiologique. Le médicament placebo ne contient que des composés chimiques neutres ou n’interférant a priori pas avec l'évolution de la maladie. L'effet placebo a été constaté chez certains patients ou sujets d'expérience par les médecins et chercheurs pour un groupe varié de symptômes et maladies[1]. Les placebos sont utilisés en recherche médicale dans les groupes contrôles pour l'évaluation de traitements médicaux. Trouble somatoforme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Trouble somatoforme

En psychologie, un trouble somatoforme est un trouble mental caractérisé par des symptômes physiques évoquant une blessure ou une maladie physique – les symptômes ne peuvent être pleinement expliqués par une condition médicale générale, des effets directement causés par une substance ou attribués à un autre trouble mental (ex. trouble panique)[1]. Les symptômes causés par un trouble somatoforme sont d'origine mentale.

Chez les individus souffrant de trouble somatoforme, les résultats à des tests médicaux n'indiquent rien d'anormal et n'expliquent aucunement les symptômes dont souffrent les patients. Les patients souffrant de ce trouble s'inquiètent pour leur santé car aucun docteur n'est capable de déceler physiologiquement les causes de leurs problèmes de santé. Pour cette raison, ils peuvent souffrir de stress intense, préoccupé par la sévérité que peuvent causer leurs symptômes[2]. Classifications[modifier | modifier le code] Udsmed.u-strasbg.fr/emed/courses/DESPSY/document/Hysterie_Conversion_DES.pdf?cidReq=DESPSY.

Hallucinogène. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Hallucinogène

Un hallucinogène est une substance chimique psychotrope qui induit des hallucinations, soit, aux doses usuelles, des altérations des perceptions, de la cohérence de la pensée et de la régularité de l'humeur, mais sans causer de confusion mentale persistante ou de troubles de la mémoire[1]. Psilocybin/HopkinsHallucinogenSafety2008.pdf. Hallucinations. Dans l’hallucination psychosensorielle, l’hallucination possède les caractéristiques sensorielles et objectives par lesquelles la perception se différencie de l’imagination.

Hallucinations

Ces hallucinations sont traditionnellement référées à l’ouïe, la vue, l’odorat et la somesthésie (tact, sensibilité profonde). La sensorialité (ou esthésie), la spatialité (l’objet halluciné est situé à l’extérieur et à distance du sujet) et la conviction inébranlable de la réalité objective de l’expérience sont 3 critères fondamentaux.

Www.esculape.com/psychiatrie/hallucinations.html. ORIENTATION DIAGNOSTIQUE DEVANT DES HALLUCINATIONS Sandrine MANTELET COURS DE PSYCHIATRIE DES DCEM3 Questions d'internat n° 044 Sensation ou perception d'objets externes n'existant pas dans la réalité.

www.esculape.com/psychiatrie/hallucinations.html

Elles peuvent être isolées ou entrer dans un tableau délirant Les hallucinations ne doivent pas être confondues avec les illusions, qui consistent en une mauvaise interprétation de stimuli sensoriels et ne doivent pas être trop rapidement "psychiatrisées" en particuliers chez les enfants ( cf migraines), les personnes agées, les patients polymédicalisés,... Comprendre Hallucinations : Guide Cerveau, Nerf, Mémoire, Psychisme, Sommeil. L'hallucination est une altération des sens de la vue et de l'ouïe qui fait voir ou entendre des choses qui n'existent pas, comme le fait de percevoir un bruit dans une pièce tout à fait silencieuse.

Comprendre Hallucinations : Guide Cerveau, Nerf, Mémoire, Psychisme, Sommeil

De tels phénomènes touchent parfois aussi l'odorat, le goût et le toucher. La personne peut ainsi avoir l'impression d'être frôlée alors qu'elle se trouve seule. Elle peut aussi sentir une odeur de cuisine quand aucun mets ne mijote dans la cuisine. L'hallucination se produit lorsque le cerveau n'est plus capable de saisir et d'interpréter correctement les sensations provenant du milieu extérieur. Synesthésie. Une personne atteinte de synesthésie peut par exemple, percevoir ainsi les chiffres et les lettres, associés à des couleurs (1,1 à 2,0 % de la population selon Simner et al. en 2006)[1].

Synesthésie

Si des métaphores exprimant un croisement de sens sont parfois qualifiées de « synesthétiques », la vraie synesthésie est neurologique et involontaire. Une personne sur 23, (environ 4 % de la population ) serait concernée[4]. Déterminer précisément le nombre de personnes véritablement synesthètes dans une population est néanmoins délicat car cette notion est une perception personnelle (subjective). On peut vivre avec une synesthésie sans le savoir[5], se déclarer synesthète sans l'être véritablement, ou à des degrés considérablement moindres que d'autres personnes, s'approchant d'une perception « normale ».

Ainsi, il a pu être avancé que seule une personne sur 2 000[4] serait synesthésique, une statistique qui semble désormais erronée. Synesthesie.info. Psychose. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Psychose

La psychose (du mot grec ψυχή, psyche, « esprit, âme », et -ωσις, -osis, « anomalie ») est un terme générique psychiatrique désignant un trouble, ou une condition anormale, de l'esprit évoquant le plus souvent une « perte de contact avec la réalité. » Les individus souffrant de psychose sont nommés des « psychotiques ». La psychose qualifie les formes sévères d'un trouble psychiatrique durant lesquelles peuvent survenir délires, hallucinations, violences irrépressibles ou encore une perception distordue de la réalité.[2]. Le terme de « psychose » a une utilisation très variée et peut désigner toute expérience délirante ou aberrante exprimée dans les mécanismes complexes et catatoniques de la schizophrénie et du trouble bipolaire de type I[3],[4]. En outre, une grande variété de maladies liées au système nerveux central, causées par des substances étrangères ou des problèmes physiologiques, peuvent produire des symptômes de psychose.

Neuroleptique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les neuroleptiques (du grec neuron, nerf et leptos, qui affaiblit) ou antipsychotiques (contre la psychose) sont des médicaments utilisés pour leur effet tranquillisants, anti-délirants et contre la désorganisation des pensées. Ils sont utilisés notamment dans le traitement de certaines affections psychiatriques telle que la schizophrénie, les troubles bipolaires et certains autres syndromes comportant des hallucinations, un délire et de l'agitation psychomotrice.

En général, les symptômes positifs de la schizophrénie (syndrome délirant) répondent mieux aux neuroleptiques que les symptômes négatifs. Une première génération de neuroleptiques connues sous le nom de neuroleptiques classiques ou typiques a été découverte dans les années 1950. La plupart des médicaments de seconde génération, connues sous le nom de neuroleptiques atypiques ont été développés récemment sauf la clozapine qui a été découverte en 1950 et testée en clinique dès 1970. Schizophrénie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La schizophrénie est une maladie mentale se développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec les autres, ce qui entraîne des comportements et des discours bizarres, parfois délirants. Les facteurs connus pour être liés au développement d'une schizophrénie sont multiples : d'ordre génétique, environnemental, psychologique, neurobiologique et encore social.

Au début du XXIe siècle, ils sont cependant largement incompris. Le mécanisme de la pathologie est lui aussi incomplètement compris.