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Amazon à nouveau critiqué pour ses conditions de travail

La firme américaine est cette fois accusée d'exploiter les travailleurs de l'un de ses entrepôts en Ecosse, obligés à dormir dans des tentes pour économiser de l'argent. Une précédente enquête évoquait le sort des livreurs, forcés, eux, de faire leurs besoins dans leurs camions pour tenir le rythme. C'est une campagne de publicité dont Amazon se serait bien passé en plein rush de Noël. Le géant américain du e-commerce est à nouveau mis en cause par la presse britannique qui dénonce les conditions de travail dans ses entrepôts. Dans un article, repris par le Guardian , The Courrier affirme que certains employés de l'entrepôt écossais de Dunfermline sont forcés de camper dans les bois pour économiser une partie de leur faible salaire. Selon ces journaux, plusieurs tentes seraient implantées aux alentours du site d'Amazon. Ces critiques ne sont pas les premières concernant Amazon. Related:  Thème 3

Grande distribution Le travail maté par les automates ? Après avoir inventé le commerce électronique il y a plus de vingt ans, Amazon s’apprête-t-il à révolutionner le commerce physique ? C’est la question à plusieurs dizaines de milliards de dollars qui agite le secteur de la distribution depuis l’annonce par le géant mondial de la vente de détail du lancement d’un nouveau concept de magasins automatisés. Baptisé Amazon Go, ce supermarché du futur, dont la généralisation pourrait entraîner la disparition pure et simple du métier de caissier, est une réalité depuis décembre : un premier Amazon Go a ouvert à Seattle, ville de naissance et siège d’Amazon dans le nord-ouest des Etats-Unis. Une supérette test de taille modeste, 177 mètres carrés, limitée aux produits de base et accessible aux seuls employés de la multinationale. «Pas de file d’attente, pas de règlement, pas de caisse», vante Amazon dans une vidéo de présentation postée sur Twitter. Lire aussi les témoignages de caissiers et caissières que nous avons recueillis Flopée d’études

Les conditions de travail chez Amazon à nouveau critiquées A quoi reconnait-on que Noël commence à pointer le bout de son nez ? Les illuminations commencent à être installées dans les rues, certes mais surtout… Amazon sollicite 15.000 employés temporaires pour faire face à une recrudescence temporaire de son activité, le plus souvent en intérim. Or justement, Amazon fait l'objet de vives critiques ces dernières heures. En Allemagne, plusieurs centaines de salariés était en grève lundi matin pour exiger des hausses de salaires et menacent de poursuivre le mouvement au risque de perturber les livraisons de Noël. Outre Manche, un journaliste britannique de la BBC a testé les conditions de travail des «pickers» (cueilleur en bon français) de la société américaine. Cette immersion a donné lieu à un reportage intitulé « The truth behind the click » diffusé en prime time lundi 25 novembre dans l'émission Panorama de la BBC One. Une cadence millimétrée, le cerveau au vestiaire Des conditions de travail déjà dénoncées en France

Chez Amazon France, les conditions de travail font aussi jaser Récemment épinglées par une enquête du New York Times, les conditions de travail chez le géant de la vente en ligne Amazon alimentent la polémique. En France aussi, certains salariés dénoncent leur traitement, même si leur profil est différent de celui des cols blancs basés aux Etats-Unis. Il s'agit en effet en majorité d'employés travaillant dans les entrepôts chargés d'expédier les colis. Capital.fr : Les conditions de travail chez Amazon aux Etats-Unis ont récemment été pointées du doigt. Capital.fr : Pour compenser, les salaires sont-ils au niveau ? Capital.fr : La situation est-elle similaire parmi les cadres de l'entreprise ? Capital.fr : Avez-vous entamé des négociations pour faire bouger la situation ? Propos recueillis par Thomas Le Bars Suite à la publication de cet article, Amazon a tenu à apporter ces précisions : "Les employés des centres de distribution d’Amazon en France bénéficient de salaires attractifs et de divers avantages.

La Fnac adapte son concept à ses quatre... Soixante pour cent. Ce pourcentage, à lui seul, résume l’impérieuse nécessité qu’avait la Fnac de revoir son concept de magasin. « Le poids des ventes omnicanal s’est élevé à 60 % des commandes en ligne au troisième trimestre 2016 », indique la Fnac qui s’adapte donc en présentant, depuis septembre, son nouveau modèle, à Boulogne-Billancourt et Nantes. « Notre volonté est de faire du magasin le prolongement du site web, en œuvrant pour une complémentarité maximale », réagit Ivan Michel, directeur exploitation France de la Fnac. Le mot d’ordre ? « Rendre la vie de nos clients la plus simple possible, en organisant au mieux les différents parcours », précise-t-il. « Différents », au pluriel, car quatre profils ont été identifiés. Proposer des modes d’encaissement rapides Deuxième client type : celui qui sait ce qu’il veut et vient en magasin l’acheter. LES TENDANCES Connecté ? «Nous laissons passer Noël et déploierons ensuite ce concept dans nos magasins, notamment parisiens, en 2017.»

Amazon : un rapport alarmant sur les conditions de travail à Montélimar C’est un document au contenu explosif pour Amazon. Ce rapport de 217 pages, que Capital a pu consulter, est une première dans son genre pour le géant américain du e-commerce. Mené par le cabinet Syndex de février à avril, à la demande du CHSCT, il expertise les risques psychosociaux liés aux tâches effectuées dans l’entrepôt logistique de Montélimar, une des cinq plateformes de stockage d’Amazon en France. Basé sur les témoignages et entretiens de 256 salariés (sur les 776 travaillant en CDI sur le site), ce rapport apporte des données alarmantes sur l’impact du management “amazonien” sur la santé et le stress des employés. Cette expertise fait suite à des alertes du médecin du travail et de la Carsat (La Caisse d'Assurance Retraite et de la Santé au Travail), adressées en 2017 au CHSCT et à la direction de la plate-forme. La suite sous cette publicité >> À lire aussi - Mise à l'épreuve, pression, évaluation... le management implacable d'Amazon “Une situation très préoccupante”

ENQUETE : entre stress et troubles musculaires, les conditions de travail chez Amazon - France 3 Hauts-de-France Avec l'ouverture d'un nouvel entrepôt à Boves (Somme), le géant américain de la distribution promet d'employer des centaines de personnes dans les années à venir. Mais au sein des espaces de stockage d'Amazon, les conditions de travail sont loin d'être idylliques. Chercher, scanner et empaqueter sans répit. Derrière les 500 CDI promis par Amazon à l'occasion de la récente ouverture de son entrepôt d'Amiens-Boves (Somme) se cachent des conditions de travail bien moins roses que ce que dépeignent les campagnes de communication du géant américain de la vente sur Internet. "Quand on travaille chez Amazon, on est en réalité un être humain piloté par ordinateur", affirme Jean-Baptiste Malet, auteur d'un livre-enquête, "En Amazonie - Infiltré dans "le meilleur des mondes"". Le journaliste y décrit un rythme de travail effréné, où chaque geste doit être rationalisé. Déshydratation et troubles musculosquelettiques Ces constants rappels à l'ordre ne sont pas sans conséquence. Des CDI de courte durée

Alexandre Bompard se félicite des résultats... "Le groupe Fnac aborde le rapprochement avec Darty dans d’excellentes conditions", indique Alexandre Bompard, PDG du groupe dans le communiqué de presse annonçant les résultats du 1er semestre 2016. Des résultats en hausse A taux de change constant, la Fnac enregistre un chiffre d’affaires consolidé de 1,62 Md€, soit une hausse de +0,5% par rapport à la même période un an plus tôt. La croissance des ventes est particulièrement portée par la France, en progression de +1,6% sur le 1er semestre. Alexandre Bompard, à la tête du nouveau groupe Alors que la clôture officielle de l'offre de rachat de Darty par la Fnac doit intervenir ce vendredi 29 juillet 2016 au soir, on apprend également la nomination officielle d’Alexandre Bompard comme PDG du nouvel ensemble "Fnac Darty". Alexandre Bompard, président Matthieu Malige, directeur financier de la Fnac Frédérique Giavarini, DRH de la Fnac Régis Schultz, directeur général de Darty Albin Jacquemont, directeur financier de Darty

"Une personne va faire le boulot de trois personnes chez Super U" : le malaise des salariés de Lidl avant un comité d'entreprise extraordinaire Lidl organise un comité d'entreprise extraordinaire (CEE) jeudi pour évoquer les conditions de travail. Après les révélations de l'émission Cash investigation, les syndicats réclament de véritables engagements de leur direction. Un comité d'entreprise extraordinaire (CEE) de Lidl, consacré aux conditions de travail, se tient jeudi 19 octobre au siège social de Strasbourg. C'est une conséquence directe de la diffusion de l'émission Cash investigation sur France 2, le 26 septembre dernier. La direction de Lidl a beau insister sur le dialogue social interne, "permanent" selon ses termes, avec plus de 500 réunions par an, les salariés ont reconnu dans le reportage de Cash investigation les méthodes de management abruptes qu'ils subissent parfois. Je n'ai pas le choix, sinon le magasin est en péril, on peut nous le reprocher et avoir des avertissements comme j'en ai déjà eus.Isabelle, cadre intermédiaire dans un magasin Lidl d'Île-de-Franceà franceinfo * Les prénoms ont été modifiés.

Une enquête illustre les méthodes managériales agressives ... On connaissait les conditions de travail dans les entrepôts d’Amazon, dénoncées par les employés américains et européens qui préparent et envoient en un temps record les colis commandés par les clients de l’entreprise américaine. Dans une longue enquête publiée ce week-end, le New York Times affirme que les cols blancs ne sont pas épargnés par les méthodes managériales pour le moins particulières d’Amazon. Le quotidien, qui a interviewé plus de 100 anciens et actuels employés, décrit une entreprise régulée sciemment par le darwinisme, qui encourage la délation entre collègues, où compter ses heures est une mauvaise idée et prendre du temps pour s’occuper de son père malade du cancer est jugé problématique. « Presque toutes les personnes avec qui je travaille, je les ai vues pleurer à leur bureau », raconte ainsi un employé au journal. Au cours du week-end et en début de semaine, les réactions à l’enquête qui compte plus de 4 000 commentaires en ligne ont été nombreuses. Le Monde avec AFP

Comment le géant Amazon écrase l'e-commerce français A quel point l'Américain domine-t-il réellement le marché hexagonal du commerce électronique ? Par quels leviers renforce-t-il son avance ? Enquête. Personne ne sait exactement combien Amazon, stéréotype du géant du Web qui ne communique jamais ses chiffres par pays, enregistre de ventes ou expédie de colis dans l'Hexagone. Toutefois, son emprise sur l'e-commerce français se resserre d'année en année. Le premier signe qui le révèle est son audience. Il est intéressant aussi de comparer la progression de l'audience d'Amazon.fr à celle du chiffre d'affaires de l'e-commerce français. En outre, comme la fréquence d'achat des cyberacheteurs augmente d'année en année (+13% en 2015), et plus encore chez Amazon grâce à son programme de livraisons illimitées "Premium", le prisme des visiteurs uniques minimise en réalité la hausse des achats sur sa plateforme. Sur le mobile, la domination d'Amazon est encore plus incontestable. La base de la réussite : l'offre et le service Et cela fonctionne.

Après "Cash Investigation", Lidl répond point par point aux accusations Le Huffpost et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Pour plus d’information, consulter notre politique de confidentialité.

Les conditions de travail chez Amazon - Témoignage d’un syndicaliste www.marxiste.org/actualite-francaise/monde-du-travail/2174-les-conditions-de-travail-chez-amazon-temoignage-d-un-syndicaliste Lundi, 4h30, le réveil sonne. Nous sommes en 2017, rien n’a changé depuis 5 ans, toujours la même routine. Tout juste le temps d’avaler un café et de prendre une douche qu’il faut déjà partir. J’arrive sur le parking sous la surveillance des caméras. Déjà blasé, direction les vestiaires. Je ne m’attarde pas trop dans ces vestiaires, truffés aussi de caméras. Au boulot ! Le boulot commence ! On voit défiler beaucoup d’intérimaires. Pour Jeff Bezos, le PDG, nous sommes juste une force de travail malléable et jetable ne servant que ses faramineux profits. Amazon aime se vanter de créer beaucoup de postes. Et le syndicalisme ? Les syndiqués subissent une pression totale : surveillés, isolés, réprimés. 80 % des salariés du site ont peur de parler. Répression Malheureusement, ces grévistes sont sanctionnés à la moindre occasion. La pause La fin de journée La libération

La stratégie de Continental pour devenir le troisième fabricant mondial de pneus - L'Usine Auto "Nous voulons monter sur le podium mondial d’ici 2025". Nikolai Setzer, patron de l’activité pneumatique de l’équipementier allemand Continental, n’a pas longtemps fait mystère des ambitions du groupe, à l’occasion d’un point presse organisé à Paris vendredi 1er décembre. "Actuellement quatrième mondial", l’entreprise a mis au point en 2010 son plan stratégique pour 2025 afin de s’imposer comme le troisième acteur à l’échelle globale sur son activité pneu. En 2016, ce secteur a généré 10,7 milliards d’euros de revenus pour le groupe, soit autour de 26% du chiffre d’affaires total de l’entreprise sur l’année (40,5 milliards d’euros). Cap sur l’Amérique et l’Asie Pour faire progresser ces résultats, le groupe souhaite en particulier disposer d’une empreinte géographique plus diversifiée. Pour parvenir à ces premiers résultats, Continental a multiplié les investissements dans ses capacités de production locales. Un réseau commercial étoffé Pneus connectés

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