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Les conditions de travail chez Amazon à nouveau critiquées

Les conditions de travail chez Amazon à nouveau critiquées
A quoi reconnait-on que Noël commence à pointer le bout de son nez ? Les illuminations commencent à être installées dans les rues, certes mais surtout… Amazon sollicite 15.000 employés temporaires pour faire face à une recrudescence temporaire de son activité, le plus souvent en intérim. Or justement, Amazon fait l'objet de vives critiques ces dernières heures. En Allemagne, plusieurs centaines de salariés était en grève lundi matin pour exiger des hausses de salaires et menacent de poursuivre le mouvement au risque de perturber les livraisons de Noël. Outre Manche, un journaliste britannique de la BBC a testé les conditions de travail des «pickers» (cueilleur en bon français) de la société américaine. Vêtus de leurs gilets orange fluorescents, ces petites mains se chargent de préparer les colis dans des entrepôts gigantesques, dont la taille dépasse plusieurs terrains de foot. Une cadence millimétrée, le cerveau au vestiaire Des conditions de travail déjà dénoncées en France

http://www.latribune.fr/technos-medias/internet/20131126trib000797771/les-conditions-de-travail-chez-amazon-a-nouveau-critiquees.html

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« Chez Amazon, les conditions de travail sont dignes du XIXe siècle » Auteur d'« En Amazonie, infiltré dans le meilleur des mondes », Jean-Baptiste Malet décrit le fonctionnement du géant du commerce en ligne. En Allemagne, les salariés de trois sites sont en grève. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Elvire Camus Une employée d'Amazon raconte «la peur organisée» Amélie (1), 30 ans, a travaillé quelques semaines au sein de la plateforme d’Amazon à Montélimar (Drôme). Alors que des grèves pour des hausses de salaires se poursuivent en Allemagne, nous avons décidé de publier son témoignage, saisissant, sur les conditions de travail au sein du numéro 1 mondial de la vente en ligne. «Les agences d’intérim de Montélimar recrutent en fin d’année des hordes de salariés sur les quatre postes de travail de la plateforme Amazon, implantée il y a trois ans. Vous pouvez y être admis comme "eacher", pour réceptionner les marchandises et les enregistrer informatiquement; "stower", pour les ranger dans les kilomètres d’étagères de l’entrepôt; "picker", pour arpenter les allées et rassembler les produits commandés; ou "packer", pour les emballer avant expédition. «C’est en tant que pickeuse que j’ai découvert l’univers d’Amazon.

Une employée d'Amazon raconte «la peur organisée» Amélie (1), 30 ans, a travaillé quelques semaines au sein de la plateforme d’Amazon à Montélimar (Drôme). Alors que des grèves pour des hausses de salaires se poursuivent en Allemagne, nous avons décidé de publier son témoignage, saisissant, sur les conditions de travail au sein du numéro 1 mondial de la vente en ligne. «Les agences d’intérim de Montélimar recrutent en fin d’année des hordes de salariés sur les quatre postes de travail de la plateforme Amazon, implantée il y a trois ans. Vous pouvez y être admis comme "eacher", pour réceptionner les marchandises et les enregistrer informatiquement; "stower", pour les ranger dans les kilomètres d’étagères de l’entrepôt; "picker", pour arpenter les allées et rassembler les produits commandés; ou "packer", pour les emballer avant expédition.

Des employés d'Amazon France en grève pour dénoncer leurs conditions de travail Des cadences de travail trop soutenues et une surveillance de tous les instants, voilà ce que dénoncent, depuis hier, une centaine d'employés du site Amazon de Saran dans le Loiret. Fort de 900 salariés oeuvrant sur une zone de 70.000 m2, le premier centre logistique hexagonal du géant américain serait donc handicapé et le mouvement pourrait s'étendre au site de Chalon-sur-Saône, en Saône et Loire. Comme le rappellent nos confrères du Figaro.fr, cette grève fait suite à une autre ayant eu lieu en Allemagne au sein de deux centre logistiques de la firme de Jeff Bezos. Les syndicats locaux exigeaient eux aussi de meilleures condition de travail et un rattachement à la convention collective du secteur du commerce de détail. Des revendications rejetées par le groupe américain.

Amazon : un rapport alarmant sur les conditions de travail à Montélimar C’est un document au contenu explosif pour Amazon. Ce rapport de 217 pages, que Capital a pu consulter, est une première dans son genre pour le géant américain du e-commerce. Mené par le cabinet Syndex de février à avril, à la demande du CHSCT, il expertise les risques psychosociaux liés aux tâches effectuées dans l’entrepôt logistique de Montélimar, une des cinq plateformes de stockage d’Amazon en France.

Amazon, Une pétition dénonce des conditions de travail humiliantes Amazon rêve de livrer ses clients par drones mais la firme a-t-elle de la considération pour ses employés ? Une pétition, signée par 45 000 personnes, dénonce des conditions de travail humiliantes. Selon Bloomberg Businessweek, Amazon n’est pas une entreprise où il fait bon vivre. L’environnement de travail des cadres serait difficile, mais une pétition au Royaume-Uni dévoile que la situation ne serait guère mieux, pour ne pas dire pire, pour le personnel travaillant aux entrepôts.

Enquête : les inquiétantes conditions de travail chez Amazon France Un rapport de 217 pages présente une situation sociale particulièrement préoccupante. Émanant d’une demande du Comité d’hygiène, de sécurité (CHSCT), il brosse un tableau qui confirme d’autres enquêtes et témoignages sur les conditions de travail dans l’entreprise. ActuaLitté, CC BY SA 2.0 Pour y parvenir, 256 salariés ont été entendus, tous travaillant dans l’entrepôt logistique de Montélimar.

Drame : un journaliste découvre le monde du travail chez Amazon Nous sommes en 2012, à l’approche des fêtes de fin d’année. Jean-Baptiste Malet, jeune journaliste de 25 ans, à la suite d’un pari un peu fou et la tête encore pleine des idéaux que l’École de Journalisme lui aura insufflés, va tenter l’impensable : s’immerger pendant plusieurs semaines dans un entrepôt logistique du géant du e-commerce, Amazon. Et là, c’est le drame.

Le groupe Amazon accusé d'avoir détruit plus de 3 millions d'objets neufs l'an passé en France Le magazine "Capital", diffusé dimanche 13 janvier sur M6, fait la lumière sur une pratique liée à la gestion des invendus et au coût du stockage pour les vendeurs. Le groupe Amazon fait-il dans la "destruction massive" d'objets ? Le magazine Capital, diffusé dimanche 13 janvier sur M6, affirme que le géant de la vente en ligne a détruit près de 300 000 objets neufs en trois mois dans son entrepôt de Chalon-sur-Saône. Le gaspillage sur les cinq sites installés en France pourrait atteindre au total 3,2 millions d'objets manufacturés, selon des syndicalistes CGT cités dans l'enquête que Le Monde a pu visionner. Témoignage : chez Amazon, une armée de forçats tenus au silence ¼/span> « Sud Ouest Dimanche ». Pourquoi avez-vous choisi de vous intéresser à Amazon ? Jean-Baptiste Malet. Quand je me rends dans une nouvelle ville, je cherche systématiquement les librairies indépendantes.

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