background preloader

Sept 2o14

Facebook Twitter

Le nombre de milliardaires atteint un niveau record. Le nombre des milliardaires dans le monde a atteint un niveau record en 2014, avec 155 nouveaux entrants dans le club des personnes dont la fortune personnelle dépasse le milliard de dollars, selon une étude publiée mercredi. Le nombre des ultra-riches, 2 325 au niveau mondial, a ainsi augmenté de 7% par rapport au comptage de 2013, d’après un communiqué rédigé par la banque suisse UBS en partenariat avec le cabinet de recherches singapourien Wealth-X.

La fortune cumulée de ces milliardaires a encore plus rapidement augmenté puisqu’elle a progressé de 12% pour passer à 7 300 milliards de dollars. Afin de mettre ce montant en perspective, les auteurs de l’étude ont précisé que ce chiffre était supérieur à la capitalisation combinée de toutes les sociétés du Dow Jones Industrial Average, l’indice phare de la Bourse de New York. L’Asie est encore une fois la région qui a vu émerger le plus de nouvelles grosses fortunes, avec 52 nouveaux milliardaires, dont 33 rien qu’en Chine. Davos d’été de Tianjin : AU RENDEZ-VOUS DE L’ELITE DE L’ECONOMIE ET DE LA FINANCE | L'ESSOR.

Elle a afflué massivement vers la ville portuaire chinoise pour débattre des problèmes économiques et d’investissements les plus urgents de la planète Ils étaient tous là ce mercredi, au rendez-vous de l’élite de la finance mondiale de Tianjin : leaders du monde des affaires, gouvernants, universitaires, dirigeants d’entreprises, responsables politiques du monde entier ainsi que des intellectuels et des journalistes, afin de débattre des problèmes économiques et d’investissements les plus urgents de la planète. Le président de la République, Ibrahim Boubacar Keita, invité d’honneur du forum, accompagné de son épouse, Mme Keita Aminata Maïga, était aussi là aux côtés du fondateur du forum, l’économiste, Pr. Klaus M. Schwab et le Premier ministre de la République populaire de Chine, Li Keqiang. Drapeau malien et chinois flottaient sur les toits du centre Meijiang Arena de Tianjin.

La cérémonie d’ouverture a été marquée par deux interventions. PLUS DE 2000 ENTREPRISES ATTRACTIVES. La Banque nationale suisse au service du public ou des marchés? Par Liliane Held-Khawam | Le blog de Liliane Held-Khawam. La BNS temple de la richesse de la Suisse du 20ème siècle est devenu son talon d’Achille. Depuis une dizaine d’années cette entreprise cotée en bourse semble avoir donné une place prépondérante aux besoins des marchés financiers par rapport à ceux du public. Dans son rapport d’activité de 2012 (p66) on peut lire ceci en réponse à la demande de la création d’un fond souverain : « … associer le placement des réserves monétaires de la BNS à des intérêts stratégiques de la Suisse engendrerait un risque de conflit d’intérêts et mettrait potentiellement en danger l’indépendance de la BNS ». Tout est dit. Dans un contexte d’union douanière, le marché est roi et le marché financier le roi des rois.

Bien avant la populaire crise des subprimes, les gouvernants de grandes puissances ont octroyé une place prépondérante aux banques commerciales. Ce pouvoir étendu offert à un groupe de personnes a créé un chamboulement dans le métier bancaire rythmé par les crises et les scandales. Like this: Emprunts toxiques : l'État préfère défendre les banques plutôt que les collectivités flouées. C’est un nouveau rebondissement dans l’affaire des emprunts toxiques, dont les collectivités locales et les établissements publics [1] se seraient bien passés.

Le 24 juillet dernier, le Conseil constitutionnel a validé une loi empêchant les collectivités locales d’attaquer les banques qui leur ont vendu, quelques années plus tôt, des « emprunts toxiques ». Jusqu’alors, plusieurs collectivités avaient assigné la banque Dexia, le Crédit agricole, la Société générale ou la Royal Bank of Scotland devant les tribunaux - et réussi à obtenir réparation. Le principal argument des collectivités : elles n’avaient pas été informées du taux effectif global (TEG) du prêt. Autrement dit, elles s’étaient engagées sans connaître précisément le coût réel des intérêts des emprunts auxquels elles souscrivaient. Une situation intenable pour les acteurs publics locaux, qui ont décidé d’attaquer les banques en justice. La parade de l’État français La face cachée des emprunts Les citoyens contre les banques.

Super Mario Draghi 2.0 pour les banquiers. Au lendemain d’une importante réunion de la BCE BCE La Banque centrale européenne est une institution européenne basée à Francfort, créée en 1998. Les pays de la zone euro lui ont transféré leurs compétences en matières monétaires et son rôle officiel est d’assurer la stabilité des prix (lutter contre l’inflation) dans la dite zone. Ses trois organes de décision (le conseil des gouverneurs, le directoire et le conseil général) sont tous composés de gouverneurs de banques centrales des pays membres et/ou de spécialistes "reconnus".

Ses statuts la veulent "indépendante" politiquement mais elle est directement influencée par le monde financier., le quotidien Le Monde ne tarissait pas d’éloge à l’égard du président de l’institution financière basée à Francfort : « Mario Draghi a fait preuve, une fois de plus, jeudi 5 juin, de la maestria avec laquelle il pilote la Banque centrale européenne. Quelles sont les mesures annoncées par la BCE le 4 septembre 2014 ? Conclusions. Déflation en Europe : la BCE sort l'artillerie lourde.

VIDÉO - Surprise générale. Mario Draghi sort l'artillerie lourde pour éviter la déflation en zone euro. Le patron de la BCE a annoncé aussi poursuivre ses rachats massifs d'actifs, sur fond de prévisions de croissance et d'inflation revues à la baisse en zone euro. Son discours était attendu. On peut dire qu'il a surpris! Le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, a annoncé une baisse surprise de son taux directeur à 0,05%. Et en plus de cette annonce choc, Mario Draghi a ajouté que la BCE continuerait d'acheter massivement des actifs. Il faut dire que la situation est plus grave que prévu: le patron de l'institution européenne a aussi dit que ses prévisions d'inflation étaient revues à la baisse, à 0,6%.

Le risque de déflation est réel en zone euro. Pour Mario Draghi, c'est un argument imparable, pour passer à l'action. Le message est très clair. Mise au point sur son précédent discours, mal interprété La crédibilité financière de la france en jeu.