Activistworldnewsnow. The Dark Side of the World Cup 2014 - Truthloader. Dilma Rousseff. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dilma Vana Rousseff, née le à Belo Horizonte (Brésil), est une économiste et femme d'État brésilienne. Elle est investie dans ses fonctions de présidente de la République fédérative du Brésil le 1er janvier 2011. C'est la première femme élue à ce poste. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Dilma Rousseff est la fille de Dilma Jane Silva et de l'avocat et homme d'affaires bulgare Pedro Rousseff (en bulgare Петър Русев [pɛtɤr rusɛf]), sympathisant du mouvement communiste bulgare, qui a émigré en France en 1929, où il vécut jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Lors de sa campagne présidentielle en 2010 elle laissa entendre, devant la Confédération israélite du Brésil, que sa grand-mère maternelle était, d'après elle, juive[2]. Guérilla sous la dictature[modifier | modifier le code] L'interrogatoire de Dilma Rousseff face à la Justice militaire, en novembre 1970. Mondial: Rousseff demande «de la civilité» aux Brésiliens.
VIDEOS. Mondial 2014 : Dilma Rousseff assure que le Brésil est «prêt» «Amis du monde entier, venez en paix !
Le Brésil, comme le Christ rédempteur, a les bras ouverts pour vous accueillir tous». Alors que son pays accueille la Coupe du monde de football à partir de jeudi, la présidente du Brésil, Dilma Roussef, s'est exprimée ainsi mardi soir, dans une allocution à la radio et à la télévision, évoquant la statue du Christ surplombant Rio. Elle a aussi défendu l'organisation du Mondial par son pays, malgré les nombreux retards dans la préparation. «Le Brésil a surmonté les principaux obstacles et il est prêt sur et en dehors des terrains», a-t-elle déclaré. Le stade de São Paulo, où doit se dérouler jeudi soir le match d'ouverture de la compétition entre le Brésil et la Croatie, est pourtant encore en travaux. Brésil : un ascenseur social très fragile. Le Christ du bairro de Milionários, à Belo Horizonte Marie Viennot © Radio France Une Coupe du monde à 10 milliards d’euros, qui suscite de plus en plus d'interrogations.
Le soutien de la population brésilienne à la tenue de cet événement est toujours majoritaire, mais il a diminué : 79 % l'an dernier contre 52 % aujourd'hui. La cote de popularité de la présidente Dilma Roussef a suivi la même pente : - 27 % en un an. La facture de la Coupe du monde a doublé par rapport aux estimations initiales. Et personne n'avait anticipé le mouvement social qui touche plusieurs villes du pays. Est-ce le retour de bâton du "rêve brésilien" ? "Brésil : un ascenseur social très fragile", c’est un magazine signé Marie Viennot, avec Aline Burni (Belo Horizonte) et Sofia Krause (São Paulo). Rencontre avec des jeunes de Belo Horizonte. En janvier, l’interdiction répétée des rolezinhos et les heurts ont déclenché de vives polémiques au Brésil. Arte recherche. Arte Recherche. Fuleco le tatou, mascotte du Mondial… en voie d’extinction.
Vous l'avez forcément vue hier soir, lors du lancement du Mondial : la mascotte de la Coupe du monde de football, Fuleco de son petit nom, est un tatou à trois bandes.
Une charmante petite bête brésilienne qui se roule en boule pour se protéger – prenant alors la forme d'un ballon –, mais aussi une espèce menacée d'extinction. Le tatou à trois bandes (Tolypeutes tricinctus), petit animal de 27 cm qui se nourrit de fourmis et termites, a perdu plus d'un tiers de sa population lors des dix dernières années. A tel point qu'il était considéré comme une espèce disparue avant sa redécouverte en 1988.
Il est aujourd'hui classé sur la liste rouge des espèces menacées (dans la catégorie vulnérable) par l'Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN). En cause : la chasse et surtout la destruction de son habitat, la caatinga. En avril, des scientifiques brésiliens ont fait des propositions originales et ambitieuses, publiées par la revue Biotropica. Audrey Garric. Pro. Recherche - #coupedumonde. Hashtag - #CDM2014. InsideWorldFootball (insidewldftball) sur Twitter. Brazil's Black Bloc Anarchists Vow to Run Riot at World Cup. SAO PAULO, Brazil — Their faces hide behind scarves, gas masks and motorcycle helmets.
TV images show them smashing cars, hurling bricks at police and setting tires ablaze on the streets of Sao Paulo and Rio de Janeiro. Brazilian politicians have claimed they are a national security threat. But who really are these protesters who plan to run riot at the World Cup as soon as the inaugural game kicks off on June 12? Brazil’s police allege the militants form an extremist group called the Black Bloc, and say they are watching its leaders. The local press has published exposes claiming that the Black Bloc is funded by foreigners intent on spoiling the nation’s moment of glory. However, speaking to GlobalPost, a veteran of Brazil’s radical protest movement said the Black Bloc is not an organization at all. “It is the 10 percent of the demonstration that don’t run from police, who are not scared. Protesters inside the Black Blocs can actually have different political positions, he adds.