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Corps humain et santé : l'effort physique

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La respiration cellulaire - Corpus - réseau Canopé. Pour réaliser la plupart de ses activités, une cellule a constamment besoin de consommer et de produire de l’énergie.

La respiration cellulaire - Corpus - réseau Canopé

Dans nos cellules, cette énergie « directement utilisable » est représentée par un intermédiaire énergétique nommé adénosine triphosphate ou ATP. Sa présence est indispensable pour permettre à certaines réactions non spontanées et nécessitant de l’énergie (réactions dites endoénergétiques) de s’effectuer.La consommation massive et continue d’ATP, sans que son stockage intracellulaire ne soit possible, impose à la cellule une production tout aussi massive et continue. L’ATP doit être constamment régénérée.Cette régénération est permise par la dégradation de substrats organiques tels que, par exemple, le glucose.

Nos cellules le dégradent et en extraient l’énergie qu’il renferme pour la convertir en ATP. Le besoin des organes en énergie : l'exemple du muscle. Les modifications physiques à l'effort - Corpus - réseau Canopé. La respiration - Corpus - réseau Canopé. Ayant pour fonction principale de fournir à l’organisme du dioxygène tout en le débarrassant du CO2, l’appareil respiratoire adulte présente une organisation complexe, comprenant des voies de conduction et des surfaces d’échanges.

La respiration - Corpus - réseau Canopé

Il conduit, par le biais des bronches et des bronchioles, le dioxygène atmosphérique jusqu’aux alvéoles, structures pulmonaires tapissées de capillaires sanguins. C’est à leur niveau que le dioxygène diffuse dans la circulation sanguine pendant que le CO2 en est extrait pour être expiré.Transporté par les hématies, le dioxygène est par la suite amené à toutes les cellules actives de l’organisme. Là, les échanges gazeux-respiratoires sont inverses de ceux effectués au niveau des alvéoles pulmonaires. Le rythme cardiaque - Corpus - réseau Canopé. Sport et santé - Corpus - réseau Canopé. « Bouger… c’est bon pour la santé !

Sport et santé - Corpus - réseau Canopé

» Notre organisme est une véritable mécanique de précision, conçue pour se mouvoir, se renforcer et gagner en performance. Pourtant, à bien regarder nos habitudes du quotidien, force est de constater que la sédentarisation gagne sans cesse du terrain, plaquant sournoisement certains d’entre nous au fond du canapé. Quel dommage lorsqu’on connaît les bienfaitsqu’une activité physique procure à l’ensemble de nos organes, de nos appareils anatomiques et de nos fonctions métaboliques ! Qu’il s’agisse des muscles, des articulations, des os, des poumons, du coeur… mais aussi du cerveau, les études, anciennes ou plus récentes, montrent qu’une pratique modérée et régulière, d’une ou de plusieurs activités physiques et ce quel que soit l’âge du pratiquant, améliore considérablement l’état de vigilance, l’état de santé et donc, la qualité de vie.

L'alimentation du sportif - Corpus - réseau Canopé. Manger pour bouger… Toute activité physique, même légère ou modérée, augmente significativement et automatiquement notre dépense énergétique. Il convient donc, pour contrebalancer cette dernière, de veiller à accroître et bien cibler nos apports alimentaires. À l’échelle cellulaire, chaque cellule des organes ou des appareils sollicités par l’exercice augmente son métabolisme pour produire plus d’énergie. Certaines cellules (musculaires, osseuses, tendineuses) doivent aussi réparer les microlésions occasionnées par la pratique sportive. Le muscle, moteur du mouvement - Corpus - réseau Canopé. La séquence présente comment les muscles squelettiques, composés de faisceaux de fibres musculaires (ou faisceaux de cellules musculaires) participent, grâce à leur propriété contractile, à la réalisation d’un mouvement.

Il s’agit d’une séquence infographique permettant de présenter et de saisir l’importance de la collaboration muscles/tendons/os/articulations pour la réalisation d’un mouvement. L’intégrité de ces acteurs est indispensable pour pouvoir réaliser le mouvement souhaité. La contraction musculaire, observable à l’échelle cellulaire ou à l’échelle de l’organe lui-même, constitue la première étape indispensable à la réalisation d’un mouvement.En se raccourcissant lors de sa contraction, le muscle squelettique exerce une traction sur les tendons qui le relient aux os adjacents. Ces tendons étant peu élastiques, peu déformables, ils tirent sur les os.