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Pour répondre aux caricatures de Mahomet, voici ce que dit le Coran. La Laïcite, principe constitutionnel républicain - Lumni. Le terme de laïcité, aujourd'hui d'emploi courant, est créé à la fin du XIXe siècle, et s'avère difficile à définir.

La Laïcite, principe constitutionnel républicain - Lumni

De fait, la laïcité doit s'envisager à plusieurs niveaux : philosophique, juridique et politique. Du point de vue philosophique tout d'abord, la laïcité va bien au delà de la séparation de l'Eglise et de l'Etat. Elle implique une conception des valeurs, de la société et de la République fondée sur la philosophie des Lumières, l'idée du progrès et la promotion d'une éthique non ancrée dans le religieux mais dans le rationnel. Si aucune loi ne définit la notion de laïcité, cette dernière constitue indéniablement un concept juridique. L’histoire de la laïcité en France - Lumni. Publication : 10 févr. 2016 La laïcité est un principe républicain fondamental.

Elle a été affirmée dès la Révolution française, notamment dans l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 qui stipule que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par loi. » Mais c’est sous la IIIe République que la laïcité s’est réellement définie et enracinée. Elle s’est inscrite dès les années 1880 dans une lutte entre le nouvel État républicain et l’Église catholique.

La laïcité en questions. A l’université ­d’Ottawa, le mot qui ne doit jamais être prononcé. Un mot prononcé lors d’un cours et jugé « ­offensant », le nom d’un prof jeté en pâture sur les réseaux sociaux, une hiérarchie qui renonce à défendre la liberté d’expression.

A l’université ­d’Ottawa, le mot qui ne doit jamais être prononcé

C’est une histoire canadienne. » Réflexions à l’occasion de « l’affaire Mila » : L’impérieuse nécessité pour la Cour européenne des droits de l’homme de mettre fin à sa jurisprudence sur le blasphème. Céline LAGEOT est professeur de droit public à l’Université de Poitiers – Faculté de droit & des sciences sociales – CECOJI Alors que toute législation sur le blasphème a définitivement disparu en France depuis l’adoption de la loi sur la liberté de la presse de 1881, les propos prononcés par le Garde des Sceaux français dans la foulée de « l’affaire Mila » n’ont pu qu’interroger.

» Réflexions à l’occasion de « l’affaire Mila » : L’impérieuse nécessité pour la Cour européenne des droits de l’homme de mettre fin à sa jurisprudence sur le blasphème

La critique des religions aurait porté atteinte à la liberté de conscience. Quand bien même ces propos ont été repris pour être révisés, ils auront pu susciter une réflexion sur la part d’influence, voire de responsabilité de la Cour européenne des droits de l’homme sur les esprits en Europe. 1881 : quand la IIIe République instaure un droit au blasphème. Les événements bouleversants qui ont marqué, en France, le mois de janvier 2015, avec les assassinats perpétrés à Charlie Hebdo et ceux qui ont suivi, puis les réactions de la nation autour d'une immense manifestation d'unité nationale appellent, du côté de la presse et de la liberté d'opinion, une remise en perspective historique.

1881 : quand la IIIe République instaure un droit au blasphème

Ils requièrent qu'on considère sous cet angle la IIIe République commençante et les règles qu'elle a promues. Car on trouve agitées en ces temps-là plusieurs des interrogations qui ont resurgi avec violence au-devant de la scène à l'occasion du récent cataclysme. La liberté ne se partage pas En tête s'inscrivent naturellement les débats qui entourèrent alors le délit de blasphème en démocratie. Lors de son discours du mardi 13 janvier 2015 devant l'Assemblée nationale, le Premier ministre Manuel Valls a rappelé sans ambages que le blasphème n'était pas dans notre droit, et il a affirmé "qu'il ne le serait jamais". Cinq militants « décrocheurs » de portraits d’Emmanuel Macron relaxés au nom de « la liberté d’expression » « L’exercice de la liberté d’expression neutralise l’infraction de vol », ont considéré les juges du tribunal correctionnel d’Auch.

Cinq militants « décrocheurs » de portraits d’Emmanuel Macron relaxés au nom de « la liberté d’expression »

Cinq militants écologistes, qui avaient décroché le portrait du président de la République dans trois mairies du Gers, à l’été 2019, ont ainsi été relaxés, mardi 27 octobre, par le tribunal correctionnel d’Auch qui avait mis son jugement en délibéré. Concernant les affaires de décrocheurs de portrait présidentiel, dont plusieurs ont déjà été jugées, c’est la première fois que des juges appuient leur décision sur la liberté d’expression. Liberté d’expression et droit au blasphème en France. Dernière mise à jour : 2 novembre 2020.

Liberté d’expression et droit au blasphème en France

Tout ce foin pour douze dessins ! - Charlie Hebdo. L’émotion, extraordinairement disproportionnée, qui a accompagné la publication de douze dessins sur Mahomet dans un journal danois a révélé combien le droit à l’irrévérence tenait à un poil de barbe.

Tout ce foin pour douze dessins ! - Charlie Hebdo

Ce texte de Caroline Fourest a été initialement écrit pour le hors-série Blasphème en 2006. Vendredi 30 septembre 2005. Le Jyllands-Posten, le principal quotidien conservateur danois, publie douze dessins sur Mahomet dans ses pages culture sous le titre « Les Visages de Mahomet ». Non par provocation gratuite, mais pour dénoncer une forme de censure. Quelques mois plus tôt, un auteur danois de gauche, allergique au fondamentalisme, Kare Bluitgen, n’a pu trouver un seul dessinateur qui accepte de cosigner un album pour enfants sur la vie de Mahomet.