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Villes

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Gentrification, étalement urbain, périurbanisation, smart cities and global cities, aménagements et politiques de la ville. Toues les évolutions des espaces urbains.

Géo4 : Urbanisation dans le monde. Villes du futur. 4G1L2- Des villes inégalement connectées aux réseaux de la mondi. Tous à 30 minutes maximum de son emploi : l’hypothèse de la "ville cohérente" | Forum Vies Mobiles - Préparer la transition mobilitaire. La "ville cohérente" ne se définit pas en termes morphologiques, mais en termes fonctionnels : Emre Korsu, Marie-Hélène Massot et moi, nous l’avons définie comme une ville où personne n’habite trop loin de son travail. Dans l’étude menée en Ile-de-France, nous exigeons que dans tous les ménages, au moins un actif mette moins de 30 minutes pour se rendre à son travail dès lors qu’il utilise le mode le plus rapide, transports publics ou voiture. Ce que nous cherchons à tester, c’est si une ville donnée, avec ses immeubles de bureau et de logement plantés là où ils sont, peut offrir à tous cette possibilité, et à quelles conditions. Ce n’est pas gagné, puisqu’aujourd’hui, un tiers des actifs franciliens met plus de 30 minutes, dans des trains souvent bondés ou sur des autoroutes saturées, ce qui nous a motivé pour entreprendre ce travail.

Comment transformer l’Ile-de-France en « ville cohérente » ? I. Comme d’habitude dans nos approches de simulation, nous obtenons 2 types de résultats. 1. Le Parlement vote la création de 7 nouvelles métropoles urbaines. Une douzaine de métropoles concentrent 46% des emplois en France. Les créations d'emplois se concentrent depuis le début des années 2000 dans les aires urbaines de plus de 500.000 habitants où les métiers sont les plus dynamiques au détriment des petites et moyennes villes, d'après une note d'analyse de France Stratégie publiée le 21 février 2017.

Une douzaine de métropoles se partagent presque la moitié des emplois en France. Le mouvement de concentration de l'emploi dans les métropoles françaises se confirme étude après étude. Amorcé depuis le début du 21e siècle, il devrait se poursuivre, d'après une note d'analyse de France Stratégie, "Dynamique de l'emploi et des métiers : quelle fracture territoriale ? ", publiée le 21 février 2017. Sur la période 2006-2013, les créations d'emploi se concentre ainsi sur les aires urbaines de plus de 500.000 habitants.

Une douzaine de métropoles françaises rassemblent près de 46% des emplois, dont 22% pour la seule aire urbaine de Paris, et 24% pour celles de province. Effets d'agglomération. Qui vit dans les couronnes périurbaines-.png. Aux Etats-Unis, des villes tirent parti du déclin démographique. A Pittsburgh, en Pennsylvanie, ou à Youngstown (Ohio), les municipalités détruisent les maisons abandonnées, afin de rendre un maximum de terrains à la nature. LE MONDE ECONOMIE | 03.05.2018 à 12h53 • Mis à jour le 03.05.2018 à 13h08 | Par Jessica Gourdon (Pittsburgh, Pennylvanie, envoyée spéciale) Comment rendre attractive et fonctionnelle une ville qui a été conçue pour deux fois plus d’habitants ? Cette difficulté est au cœur de la gestion urbaine de nombreuses villes de la Rust Belt (« ceinture de rouille »). Pittsburgh (Pennsylvanie), qui a perdu plus de 300 000 résidents en trente ans, compte 29 000 maisons ou terrains inoccupés.

. « Offrir une meilleure qualité de vie » Youngstown, ancienne ville industrielle de l’Ohio, a adopté une posture plus radicale, qui lui a valu une médiatisation internationale. Pittsburgh, ville phénix de la « Rust Belt » américaine. Ravagée par la crise dans les années 1980, la ville industrielle a retrouvé sa prospérité. Mais celle-ci ne profite pas à l’ensemble de la population. Le long de la rivière Monongahela, d’immenses hauts-fourneaux rouillés se dressent au milieu d’un terrain vague.

De 1884 à 1982, cette usine de Pittsburgh (Pennsylvanie), qui a appartenu au milliardaire Andrew Carnegie et à l’US Steel, crachait jusqu’à 1 250 tonnes de fer par jour, et employait 15 000 ouvriers. Parmi eux, de nombreux Tchèques, Polonais ou Slovaques venus tenter leur chance en Amérique. A l’époque, la « Steel City » des Appalaches (nord-est des Etats-Unis) était l’une des villes les plus prospères du pays. Pittsburgh, où la métallurgie faisait vivre jusqu’à 90 000 personnes avant l’effondrement du secteur, s’est métamorphosée.

Cette résurrection est liée aux technologies et aux sciences du vivant. Notion à la une : périurbanisation. Bibliographie | citer cet article La notion de périurbanisation est utilisée pour qualifier l’urbanisation se réalisant autour des agglomérations, le plus souvent aux dépens des espaces agricoles et naturels. Elle recouvre pourtant un processus protéiforme dans ses modalités d’expansion comme de transformation des espaces. Les changements dans la composition des textures invitent d’ailleurs à approcher le processus au pluriel, tant son développement et ses effets apparaissent divers selon les contextes étudiés et selon les échelles d’observation mobilisées. Depuis quelques décennies le processus s’est diversifié socialement et spatialement, dans son peuplement comme dans ses morphologies. La meilleure compréhension de ses ressorts, de ses limites comme de ses enjeux offre un cadre renouvelé aux contours de cette notion et en fait un outil d’analyse de la mutation des relations villes–campagnes.

Bibliographie Mise en web : Jean-Benoît Bouron. L'étalement urbain se poursuit au Québec. DENSITÉ DE POPULATION AU KILOMÈTRE CARRÉGatineau -9 %Saguenay - 9 %Sherbrooke - 8%Trois-Rivières - 1 %Québec - 5,5 %Montréa - 0,2 %l Pierre-André Normandin La Presse Le territoire bâti des villes québécoises ayant connu une croissance nettement plus rapide que leur population, les principaux centres urbains du Québec ont ainsi tous vu leur densité diminuer de 5 %. C’est exactement le phénomène inverse dans le reste du Canada, où la densité des villes a au contraire augmenté de 7 % en moyenne. À noter, la région de Montréal a d’ailleurs perdu en 2011 le titre de la région la plus densément peuplée au pays (3356 habitants par kilomètre carré) au profit de Toronto (3368 personnes par kilomètre carré).

Christian Savard souligne que l’étalement urbain coûte cher au Québec. Le développement urbain s’est principalement fait au détriment des terres agricoles, note Statistique Canada. Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Webdoc : Gentriville (Découvrir la gentrification de manière interactive) ESPACES URBAINS. Enseigner la notion d’inégalité par le jeu (1) Rédactrice : Bénédicte Tratnjek Le 25 avril 2017, l’Observatoire des inégalités, publie sur son site Internet, une vidéo intitulée « Changeons les règles du jeu » montrant des enfants amenés à jouer au Monopoly © avec des modifications de règles qui ne placent pas les joueurs sur un pied d’égalité en début de partie, mais les confrontent à des situations de la vie quotidiennes : un garçon se retrouve ainsi, parce qu’il est ce jour-là en béquilles, dans le rôle de la personne en situation de handicap, qui n’a pas accès à certaines cases du jeu, les gares (tout comme dans la vie quotidienne, de nombreux espaces publics sont mal accessibles aux personnes en situation de handicap).

Les filles ne touchent que la moitié du salaire lorsqu’elles passent sur la case « départ ». Un autre joueur, du fait de sa couleur de peau, commence la partie en prison. Un autre dispose de dés où toutes les faces ont des chiffres « 1 ». Chacune des séances est synthétisée dans une fiche-démarche. La revanche des villages. « La République française se veut une et indivisible, pourtant, le pays semble bien divisé en deux.

France des villes et France des campagnes » (propos mis en ligne sur le site de Public Sénat, le 9 juin 2017) ; « À Paris, Emmanuel Macron a fait 90 % des voix, au Mans, 73 %. La France des villes concentre tous les pouvoirs : celui des élites, celui de la finance… Parallèlement, il y a des territoires abandonnés » (propos de campagne d’un candidat de la France insoumise dans Les Alpes mancelles, 7 juin 2017) ; « Il y a urgence aujourd’hui à faire de la ruralité une priorité de l’action publique et un sujet central du débat public. Si nous ne voulons pas voir s’agrandir le clivage entre la “France du haut” et la “France du bas”, entre les villes gagnantes de la mondialisation et les territoires ruraux qui souvent la subissent » (propos d’un élu de centre droit qui exerce des responsabilités importantes dans des associations de maires, 7 juin 2017).

La crise des centres de villes moyennes. Forme urbaine et mobilités de loisirs : l’« effet barbecue » sur le grill. 1Les études de cas montrant à quel point la densité urbaine est une forme urbaine associée à des comportements de mobilité considérés comme plus durables sont aujourd’hui particulièrement nombreuses. Elles font d’ailleurs l’objet d’une littérature scientifique particulièrement vaste dont le seul passage en revue fait l’objet, lui aussi, d’une littérature considérable, comme Ewing et Cervero le soulignent (2010, p. 267).

Les résultats de ces études, pour la plupart convergents, montrent que les localités peu denses et homogènes en termes d’activités sont associées avec des déplacements plus nombreux, plus longs, et très fréquemment réalisés avec des moyens individuels motorisés (Naess, 2005 ; Limtanakool, Dijst, & Schwanen, 2006 ; Kitamura, Mokhtarian, & Laidet, 1997 ; Spears, Boarnet, & Handy, 2014). 4L’article est structuré de la manière suivante. Après cette partie introductive, nous présenterons les fondements théoriques à la base de l’hypothèse de compensation. Inégalités urbaines. DETROIT, UNE VILLE EN CRISE. GEO - Detroit. Le périurbain loin des clichés | Alternatives Economiques.

Sur Détroit et la décroissance urbaine. Ceux qui partent, ceux qui restent. Les mobilités résidentielles dans les villes en décroissance. Dossier : Villes en décroissance La littérature internationale sur les shrinking cities, qui s’est considérablement étoffée, permet désormais de comprendre finement les causes du déclin des villes : la globalisation (et l’accélération des flux de personnes et d’investissements qu’elle a entraînée), la désindustrialisation, et la suburbanisation (Oswalt 2006).

En revanche, les conséquences, autres que la seule perte de population, restent largement absentes de l’analyse. En s’intéressant aux mobilités résidentielles dans les villes en déclin, il s’agit ici de décomposer un des processus de la décroissance urbaine en identifiant les individus qui restent ou qui partent de ces villes. Des villes en décroissance françaises en mal d’attractivité Si les causes et les manifestations du déclin urbain peuvent varier d’une ville à l’autre, le critère de définition commun à toutes les villes en décroissance est la perte de population (Haase et al. 2016).

Figure 1. Figure 2. Figure 3. Figure 4. Le périurbain, France du repli. Il y a aujourd’hui une question périurbaine. Elle est en grande partie liée au succès que rencontre le Front national dans les territoires périurbains. Christophe Guilluy et Jacques Lévy, tous deux géographes [1], ont largement contribué à attirer l’attention sur cette question. Dans cet article, nous ne contesterons évidemment pas la réalité du vote en faveur du Front national, mais plutôt la réduction du vote périurbain au vote frontiste : s’il y a bien un vote plus marqué en faveur du Front national dans certaines communes périurbaines, ce constat ne peut pas être généralisé à l’ensemble des populations de ces communes et encore moins à l’ensemble du périurbain.

Ce sont des ménages et des territoires bien particuliers qui sont concernés. Nous contesterons également les explications apportées à ce vote par Jacques Lévy et par Christophe Guilluy. Le périurbain n’est pas la France périphérique Le périurbain est-il une version dégradée de l’urbain ? Il n’y a pas un mais des périurbains. Gentrifications. Compte-rendu du Café du 28 mars 2017 au Flore La soirée commence par un hommage à Matthieu Giroud assassiné au Bataclan le 13 novembre 2015, à 38 ans. Ce jeune géographe avait consacré son travail de chercheur aux mobilités urbaines, notamment aux formes de résistance ordinaire à la gentrification. Dans son ouvrage Villes contestées. Pour une géographie critique de l’urbain, publié avec Cécile Gintrac en 2014, il se montrait soucieux d’une géographie engagée. Il a été l’un des principaux animateurs de l’ouvrage Gentrifications (Ed Amsterdam, 2016), travail collectif auquel ont participé nos deux intervenants de la soirée.

On peut définir la « gentrification » comme le processus socio-spatial de transformation globale des quartiers populaires anciens. On peut aussi approcher le phénomène selon une logique capitalistique. Comment justifier le pluriel de Gentrifications ? Y a-t-il des quartiers privilégiés pour la gentrification ? On peut retenir trois critères : Michèle Vignaux. Notion à la une : shrinking city. Bibliographie | citer cet article | français | Deutsch Le regard des enseignants Shrinking city ou « ville rétrécissante », est une notion complexe à laquelle les professeurs sont de plus en plus confrontés en abordant en terminale la mondialisation et le continent américain (en DNL ou non) Ce court article permet de comprendre la complexité de la notion avec des exemples concrets, européens pour la plupart.

L’article permet d’actualiser les connaissances et d’améliorer la maîtrise de ce concept assez récent dans la géographie scolaire et de ne pas le cantonner au seul continent américain, ouvrant l’utilisation de la notion vers les horizons des programmes de seconde et de première. A. F. / Atelier pédagogique de l’APHG de Lyon La shrinking city fait partie de ces notions au nom trompeur, dont la traduction stricte en ville rétrécissante ne colle souvent pas à la réalité observée. La ville de Leipzig 1918-2016 : le même nombre d’habitants, un fort étalement Bibliographie de référence. La France en villes. Dynamiques urbaines.

Carlo Ratti : « Pour une smart city au service de la participation citoyenne »