background preloader

Electricité

Facebook Twitter

Why Can't We Get Power From Waves? La plus grande route solaire du monde est un fiasco. En 2015 dans l'Orne, Ségolène Royal inaugurait un tronçon de route solaire innovante.

La plus grande route solaire du monde est un fiasco

Un kilomètre devait produire l'équivalent de 790 kw/h. La moitié seulement a été produite la première année, le quart l'année suivante, un huitième encore l'année d'après... Pourquoi ? 22 décembre 2015, sur la départementale 5 au niveau de Tourouvre-au-Perche dans l'Orne : Ségolène Royal, alors ministre de l'environnement, inaugure un tronçon innovant Ici les voitures roulent sur des panneaux photovoltaïques collés sur l’asphalte, avantage : ça ne défigure pas le paysage et l'on rentabilise une surface déjà existante. Un kilomètre qui devait produire l'équivalent de 790 kilos watts par heure par jour. Les ingénieurs du projet n’ont sûrement pas pensé aux tracteurs qui allaient rouler dessus On est loin des mille kilomètres de routes solaires voulus par Ségolène Royal... Lire aussi | En Normandie, le fiasco de la plus grande route solaire du monde (Le Monde) The Uninhabitable Earth: David Wallace-Wells on the horrors of climate change.

“It is, I promise, worse than you think.” That was was the first line of David Wallace-Wells’s horrifying 2017 essay in New York magazine about climate change. It was an attempt to paint a very real picture of our not-too-distant future, a future filled with famines, political chaos, economic collapse, fierce resource competition, and a sun that “cooks us.” Wallace-Wells has since developed his terrifying essay into an even more terrifying book, titled The Uninhabitable Earth: Life After Warming. And it is a brutal read. Wallace-Wells was criticized in 2017 for being too hyperbolic, too doom-and-gloomy.

Wallace-Wells isn’t counseling despair or saying all is lost; he’s merely laying out the alarming facts of what is likely to happen if we don’t radically change course. Les effets rebond du numérique – EcoInfo. Malgré leur capacité à produire de l’information sur notre environnement et de permettre d’écoconcevoir de nouveaux produits et services (voir Gossart et al., 2015), les éco-TIC sont loin d’être des baguettes magiques à verdir la planète. En effet, elles comportent de sérieuses limites, dont la principale semble être l’existence d’« effets rebond », qui annulent tout ou partie de leurs bénéfices écologiques. Dans le cas des technologies numériques comme les serveurs, les gains en termes d’amélioration de l’efficacité énergétique pourraient donc être absorbés par une augmentation de la demande de stockage numérique d’informations, ce qui annulerait les bénéfices environnementaux de ces gains . 1.

Introduction Si les technologies numériques peuvent contribuer de diverses manières à réduire les impacts négatifs des sociétés humaines sur leur environnement , ces contributions présentent de nombreuses limites. Tableau 1 – Cadre conceptuel d’analyse des liens entre TIC et environnement 2. 3. Les conséquences du coût énergétique d'Internet - Vidéo. Internet : une industrie énergivore et polluante Avec ses 11 centrales alimentées au charbon, la Caroline du Nord est l'un des pires contributeurs au déréglement climatique aux Etats-Unis.

Les conséquences du coût énergétique d'Internet - Vidéo

En brûlant, le charbon dégage cinquante fois plus de CO2 que les autres énergies fossiles. Ces cendres forment des dépots toxiques qui contaminent les sols et les rivières. Pour Gary Cook, spécialiste des nouvelles technologies chez Greenpeace, « le charbon est la plus grande source de réchauffement climatique des Etats-Unis. Ce genre de centrale, c'est ce qui accroît nos émissions de gaz à effet de serre. » Et pourtant, c'est bien ce combustible qui attire ici les plus grandes entreprises du Web. L'impact environnementale de l'exploitation du charbon Les montagnes Appalaches de Virginie-Occidentale respirent le métal rouillé et la poussière. Découvrez aussi le parcours d’un courrier électronique dans l'infrastructure du réseau Internet et comment est né le Web. La France publie son projet de Stratégie nationale bas-carbone (SNBC) The documentary WATT IF - Energies for climate. Podcast : Consommation numérique : la fabrique à CO2.

Nous parlions ici même, hier après-midi, du récent rapport du GIEC, qui met en garde contre un emballement du réchauffement à plus de 2 degrés.

Le rapport en question : Conclusions principales : Les effets systémiques mondiaux de la transition numérique actuelle restent pour l’instant fortement incertains, alors qu’ils sont souvent considérés comme positifs a priori . Avec la bonne règlementation, la transition numérique peut bien sûr aider à réduire la consommation d’énergie et de matières premières de manière sectorielle. Par ailleurs, l’efficacité énergétique des technologies digitales a effectivement très largement progressé. Mais les grandes tendances mondiales tous secteurs confondus dressent un tableau alarmant. L'explosion de l'impact environnemental du numérique peut et doit être évitée par la mise en œuvre de la « sobriété numérique ». – lesdemainistes

Vous nous écoutiez, pour la plupart, via votre téléphone ou votre ordinateur, bref, sur un équipement numérique en podcast or pour obtenir ce podcast, hébergé sur un serveur de Radio France, l’acheminer jusqu’à votre téléphone, le lire, nous suivre sur Twitter, cliquer sur un certain nombre de liens.

Podcast : Consommation numérique : la fabrique à CO2

Imaginez-vous le montant de votre facture énergétique individuelle ? C’est bien tout le problème du numérique qui représente aujourd’hui une part exponentielle de la consommation énergétique mondiale. Energie numérique : la fabrique à CO2.0 : c’est le coûteux problème que La Méthode scientifique va décortiquer dans l’heure qui vient. Le reportage du jour Écouter 7 min. La composition des lampes basse consommation manque de clarté. Un récent communiqué de l’association Robin des Bois est venu confirmer les doutes pesant sur les lampes basse consommation, notamment sur leur composition.

La composition des lampes basse consommation manque de clarté

Le Big Data est-il polluant ? Du commerce à l’énergie, en passant par la finance, la santé, le transport, la culture… et même la science, les données numériques représentent pour beaucoup le pétrole du XXIe siècle.

Le Big Data est-il polluant ?

Chaque jour, l’industrie du Big Data se fait plus grosse, représentant déjà plus de 4 millions d’emplois directs dans le monde ! Mais il y a une donnée que nous avons peut-être oubliée en route : tout a un coût. Et celui du Big Data est écologique. Derrière cette informatique virtualisée, distribuée et distante, se trouvent, en effet, des infrastructures bien réelles qui ont une consommation énergétique et un impact carbone forts.