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Genre

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Écriture inclusive et exclusion sociale, par Alain Garrigou (Les blogs du Diplo, 14 mai 2019) L’usage de l’écriture inclusive s’est rapidement répandu dans les milieux universitaires.

Écriture inclusive et exclusion sociale, par Alain Garrigou (Les blogs du Diplo, 14 mai 2019)

Une conséquence de la féminisation du corps enseignant, et aussi sans doute de la multiplication des études de genre. Le mouvement peut être compris comme une juste correction d’un monde machiste, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’université. Un mouvement tardif cependant, puisque les études de genre se sont développées bien après les gender studies (études de genre) aux États-Unis où la féminisation ne se pose pas dans les mêmes termes puisque là où le genre des mots est fréquent en français, l’anglais bénéficie de la neutralité. Ainsi sont apparus ces « ·e·s » au début des lettres — « Chèr·e·s Français·e·s » ou « Chèr·e·s ami·e·s ». Parfois cela se complique un peu comme lorsque l’on veut s’adresser à ses « chèr·e·s citoyen·ne·s. Lire aussi Franck Gaudichaud, « Marée féministe au Chili », Le Monde diplomatique, mai 2019.

L’écriture inclusive pose des problèmes sur un autre terrain. Socialization Isn't Responsible for Greater Male Violence. Earlier this year, Dr.

Socialization Isn't Responsible for Greater Male Violence

Julia Shaw wrote an article for Psychology Today entitled, “Why Are We Not Outraged that Prisons Are Filled with Men?” In which she argues that there is something “pernicious” and deeply wrong with a system that incarcerates men at far higher rates than women. “Prison,” she explains, “has always been an almost entirely male structure. It’s hard. It’s cold. Dans le creux de l’oreille : la forme de la cochlée est un marqueur sexuel. Selon que l’on est un homme ou une femme, la partie auditive de notre oreille interne, la « cochlée », n’a pas la même forme dès la naissance.

Dans le creux de l’oreille : la forme de la cochlée est un marqueur sexuel

En cause : la torsion de la spirale cochléaire qui diffère selon le sexe, essentiellement à son extrémité. Mis en évidence par une collaboration franco-sud-africaine et interdisciplinaire de scientifiques principalement du CNRS, de l’UT3 Paul Sabatier et l’Université Clermont Auvergne, ce résultat a permis de mettre au point la première méthode fiable de détermination du sexe, incluant les enfants, dans les cas où l’ADN s’avère absent ou trop altéré. En effet, il était impossible jusqu’à présent de connaître le sexe d’un enfant à partir de son squelette ; et pour les adultes, l’exercice n’est fiable qu’à partir de l’étude du bassin qui n’est pas toujours préservé. Ces recherches ont notamment bénéficié du soutien du CNRS, dans le cadre du programme 80|Prime destiné à soutenir et renforcer l’interdisciplinarité entre instituts du CNRS. "Mindhunter" saison 2: pourquoi certaines femmes vont jusqu'à épouser des serial killers.

Et si le cerveau avait bien un sexe ? Les jeunes Japonais se désintéressent du sexe. Plus d'un tiers des jeunes Japonais de moins de 20 ans se disent peu intéressés, voire dégoûtés, par les relations sexuelles et un nombre croissant de couples ont des rapports très espacés ou y ont renoncé, révèle une étude du gouvernement nippon.

Les jeunes Japonais se désintéressent du sexe

Quelque 36% des garçons et 58,5% des filles âgés de 16 à 19 ans prétendent «ne pas s'intéresser» ou «éprouver une aversion» pour les relations sexuelles, soit la proportion la plus élevée parmi toutes les tranches d'âge, indique l'enquête du ministère de la Santé menée en 2010 auprès de 2.693 personnes dont 1.540 ont accepté de répondre. Le désintérêt marqué pour le sexe tend cependant à augmenter dans toutes les catégories, hormis chez les hommes de 30 à 34 ans qui ne sont que 5,8% à négliger la chose, contre 8,2% deux ans plus tôt.

Chez les filles, dans le meilleur cas (25 à 29 ans), près d'un tiers ne revendiquent aucun appétit sexuel. L'école avant les sorties (Source AFP) The Data on Children in Same-Sex Households Get More Depressing - Public Discourse. A new study released earlier this month in the journal Depression Research and Treatment contributes to mounting evidence against the “no differences” thesis about the children of same-sex households, mere months after media sources prematurely—and mistakenly—proclaimed the science settled.

The Data on Children in Same-Sex Households Get More Depressing - Public Discourse

One of the most compelling aspects of this new study is that it is longitudinal, evaluating the same people over a long period of time. Indeed, its data source—the National Longitudinal Study of Adolescent Health—is one of the most impressive, thorough, and expensive survey research efforts still ongoing. This study is not the first to make use of the “Add Health” data to test the “no differences” thesis. But it’s the first to come to different conclusions, for several reasons. One of those is its longitudinal aspect. A few other findings are worth mentioning as well. To be fair, life in mom-and-pop households is not simply harmonious by definition.