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Articles Géopolitique

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» Bosnie : Un futur conflit dans les Balkans ? Une vision russe sur un sujet à suivre… Source : Joaquin Flores – Fort Russ News – 26 septembre 2016 Le premier ministre Milorad Dodik prend la parole à un meeting pré-victoire à Banja Luka, capitalede facto de la Republika Srpska La Républika Srpska – l’état serbe autonome enchâssé dans la Bosnie-Herzégovine – a tenu hier [25 septembre, NdT] un référendum qui change la donne.

Ce référendum portait théoriquement sur la reconnaissance d’un jour férié : le Jour de l’Indépendance. Il a été publiquement approuvé et soutenu par le Premier ministre de la Republika Srpska, Milorad Dodik. Dans la soirée d’hier, les derniers bulletins ont été dépouillés et le résultat a été publié : 99,8% des votants se sont prononcés pour la reconnaissance d’un Jour de l’Indépendance. Ce qui veut dire qu’un référendum portant sur la question d’une véritable indépendance pourrait bien se tenir à n’importe quel moment entre aujourd’hui et l’année 2018, qui a déjà été publiquement évoquée.

Ils écrivent : Contexte. » Syrie : marche turque vers Raqqa et marche funèbre pour les Kurdes ? Par Fabrice Balanche. Source : Le Figaro, Fabrice Balanche, 07/11/2016 Coimbattants Kurdes lors d’un point presse à propos de l’opération contre Raqqa, capitale syrienne de l’Etat Islamique.Crédits photo : RODI SAID/REUTERS FIGAROVOX/TRIBUNE – Les Forces Démocratiques Syriennes (FDS), dirigées par les Kurdes syriens, ont lancé l’offensive contre Raqqa, capitale syrienne de Daech. Mais pour Fabrice Balanche, la situation est encore très incertaine sur fond de rivalité entre Kurdes et Turcs. Dimanche 6 novembre, les Forces Démocratiques Syriennes (FDS), dirigées par les Kurdes syriens, ont annoncé officiellement le début de l’offensive contre Raqqa, capitale syrienne de l’État islamique.

Cela fait suite aux déclarations de la Turquie, qui elle aussi souhaite s’attaquer à Raqqa avec l’aide des rebelles arabes qu’elle a utilisés pour sécuriser sa frontière entre Azaz et Jerablous au Nord de la Syrie. Cette course à Raqqa dans le discours a-t-elle des chances de se traduire dans la réalité? Une lecture géopolitique du triomphe de Trump | Investig'Action. L’élection de Donald Trump impose une lecture nouvelle : après les échecs institutionnels qu’ont connus L’Union Européenne et les États-Unis, l’issue — partielle — semble provenir d’outsiders conservateurs. La « droite » semble mieux comprendre que la « gauche » l’actuelle vague de fond ; elle s’alimente de lieux communs et de peurs (le débat sur les réfugiés, à l’intérieur de l’UE, débat dans lequel François Hollande défend la position la plus progressiste en s’opposant aux murs (est-il si éloigné des sorties fracassantes de Trump sur les relations avec le Mexique ?)

Et elle profite aussi d’avantages objectifs (plus de moyens et plus de pragmatisme). Cet article est écrit suite à la commotion mondiale que constitue le triomphe de Donald Trump aux États-Unis. Nous avons l’intention d’aborder quelques points et de procéder à une lecture géopolitique d’un événement qui définit un avant et un après sur la scène mondiale.

Il y a un affaiblissement des États-Unis sur le plan international.

Histoire

Syrie. Les trois scénarios de la bataille d’Alep. Impossible de prédire qui, entre les troupes du régime et les rebelles, s’imposera dans la deuxième ville du pays. Mais pour ce quotidien libanais, l’un des grands gagnants du siège est pour l’instant le groupe djihadiste Fateh Al-Cham. La guerre en Syrie ne se terminera pas à Alep. Quelle que soit l’issue des combats dans la cité multimillénaire, aucun acteur ne peut aujourd’hui gagner la paix sur tout le territoire syrien. Mais jamais l’enjeu d’une bataille n’avait été aussi important depuis le début du conflit, en 2011. Première possibilité : les troupes du régime et leurs alliés parviennent à repousser les offensives rebelles et à faire à nouveau le siège de la partie est de la ville, contrôlée par les forces de l’opposition.

Deuxième possibilité : les groupes rebelles parviennent à briser définitivement le siège d’Alep et assiègent, à leur tour, les quartiers ouest d’Alep, tenus par le régime. Déjà quelques enseignements Le prix de l’inaction Anthony Samrani. Géopolitique du Vatican. La papauté, institution mondialisée. LE 25 septembre 2015, lorsqu’il s’adresse à l’Assemblée Générale de l’O.N.U., en train de célébrer ses soixante-dix ans, le pape François choisit d’utiliser la langue espagnole [1]. S’adresser à l’assemblée de l’O.N.U. est presque devenu chose commune pour un pape depuis le premier grand discours du pape Paul VI, le 4 octobre 1965. Un discours dont le pape François commémorait justement les cinquante ans. Le grand discours de Paul VI, tenu alors que le concile de Vatican II était encore en plein développement, annonçait la volonté pontificale de contribuer à la mise en place d’une communauté internationale, en faisant de l’institution pontificale un médiateur international, et consacrait le nouveau cours diplomatique de la papauté [2].

Il est bien entendu possible de faire une étude sur les « valeurs » de la papauté et les moyens employés pour les mettre en place. La papauté, une histoire européenne Quel centre de gravité ? Quelles politiques pour le XXIe siècle ? Géopolitique de l’Arabie saoudite : quelle diplomatie religieuse (...) - Moyen-Orient. Pierre Verluise (P. V.) : Pourquoi le prosélytisme est-il dans l’ADN du régime saoudien ? Pierre Conesa (P.

C.) : Le triomphe de la famille des Al Saoud pour unifier la péninsule n’a été possible qu’avec l’appui de la famille des Al Cheikh, (celle de Abd al Wahhab). Celle-ci a légitimé la guerre des Saoud contre l’Empire Ottoman puis contre les autres tribus du Royaume en proclamant le djihad. Même la prise des Lieux Saints contre le Chérif de la Mecque, pourtant descendant du Prophète, a été ainsi justifiée. Le régime saoudien établi sur la double légitimité tribale et religieuse, est une vaste entreprise familiale à deux têtes aux intérêts intimement liés. Les oulémas wahhabites considèrent, dés la naissance du royaume, que la mission même du nouveau pouvoir est de diffuser leur version de l’islam partout dans le monde.

Mais les intérêts dynastiques de la famille Saoud amènent celle-ci à en appeler fréquemment à ses protecteurs occidentaux pour sauver la couronne. Pierre Conesa. P. . Géopolitique. Un monde en quête de puissance - Amérique du Nord. LA FIN de la guerre froide en 1991 a marqué le passage d’un monde bipolaire à un monde unipolaire. Débarrassé de ses oppositions idéologiques et territoriales à la faveur de l’effondrement de l’Union soviétique, le monde d’après la guerre froide s’est retrouvé face à l’existence d’une seule puissance : les États-Unis d’Amérique. De 1991 à 2008, cette puissance s’est constituée en gendarme du monde, au pire en intervenant militairement à l’extérieur et au mieux en influençant, par ses attraits culturels et économiques, les différents acteurs. La réunion de ces deux méthodes (hard et soft power) a créé chez le citoyen américain une conscience de puissance [1] d’une part et une reconnaissance de puissance chez l’observateur étranger d’autre part.

Mais depuis 2008, le recours privilégié du Président américain Barack Obama au soft power et à l’usage des drônes et forces spéciales a fait disparaitre tant cette conscience de puissance que cette reconnaissance de puissance. Hebert-Marc Gustave.