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Génération X

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Cuisine, lieu de vie, convivialite, piece a vivre. La cuisine s’impose dans notre habitation comme une pièce à vivre par excellence.

cuisine, lieu de vie, convivialite, piece a vivre

On ne la cache plus, elle devient même parfois le centre d’intérêt de notre maison ou de notre appartement. Finie la cuisine fermée, elle est maintenant ouverte, spacieuse, belle, ergonomique, confortable, polyvalente, technologique et j’en passe ! C’est pourquoi, le projet de faire ou refaire sa cuisine ne se prend pas à la légère et se doit d’être réfléchi et bien pensé. Réfléchi car cela coûte de l’argent et bien pensé car on y passe du temps et vous allez la garder longtemps. La cuisine se veut fonctionnelle, jolie, confortable et efficace. Un lieu de convivialité. "No kids" choisir de ne pas avoir d'enfant. Selon l'Ined, 6,3% des hommes et 4,3% des femmes déclarent ne pas vouloir d'enfant (SIPA).

"No kids" choisir de ne pas avoir d'enfant

"Être Femme sans être mère" a été publié en 2007 et l’étude de l’Ined tout juste parue montre que cet essai signé de ma main n’a pas pris une ride. J’en suis heureuse. Heureuse aussi que le sujet mobilise un nombre croissant de citoyennes et de citoyens, à titre individuel ou parce qu’ils sont chercheurs à quel que titre que ce soit. Il s'agit bien d'un choix Pour ma part, ce choix – car il s’agit bien d’un choix – m’est apparu plutôt comme une évidence et très jeune. Les «unschoolers», ces enfants qui ne vont pas à l'école. Ils ne vont pas en classe, ne font pas l'école à la maison, ne passent pas d'examens et choisissent eux-mêmes ce qu'ils veulent apprendre.

Les «unschoolers», ces enfants qui ne vont pas à l'école

Ce sont des unschoolers, ou des enfants non scolarisés. Ils seraient des milliers au Canada. Incursion dans l'univers de ces familles qui croient en un autre modèle d’éducation. Un reportage de Laurence Martin et Valérie Ouellet Assise à la table de la cuisine, Zoéanne, 5 ans, dessine des formes qui ressemblent à des lettres, dans un petit carnet. Au sous-sol, Mathieu, 15 ans, interprète au piano la trame sonore d’un film japonais, pendant que son grand frère Alexandre s’adonne à sa passion : la peinture. Dans la cuisine, Lynn prépare le repas, pendant que ses cinq enfants apprennent ce qu’ils veulent, quand ils le veulent.

Organiser de fausses funérailles pour "vivre mieux" Imaginez-vous dans une salle uniquement éclairée par la lumière des bougies.

Organiser de fausses funérailles pour "vivre mieux"

Au centre de celle-ci sont installés de nombreux cercueils ouverts. Malgré le fait que vous soyez bien vivants, c'est bien vous qui devez vous allonger à l'intérieur de ces cercueils en bois. Ce programme est instauré dans certaines grandes entreprises en Corée du Sud. L'objectif est de simuler ses propres funérailles pour reprendre goût à la vie. Mais alors d'où provient cette curieuse idée de simuler sa propre mort ? Park(ing) day : label international d’un activisme édulcoré? 1En 2005, REBAR un collectif d’artistes, designers, paysagistes et activistes installés à San Francisco décide de convertir un espace de stationnement en un espace vert, ludique artistique et citoyen « en miniature », le temps d’une journée.

Park(ing) day : label international d’un activisme édulcoré?

Au départ, l’expérience n’avait pas forcément vocation à être reproduite dans l’espace ou dans le temps, mais la diffusion d’une photo de l’installation va très rapidement circuler sur le web et faire du « Park(ing) Day » un évènement spécifique et clairement identifié à l’échelle internationale. Park(ing) Day est parti du constat qu’à San Francisco plus de 70% des espaces en plein air étaient dédiés aux places de stationnements privés. Par la réappropriation de ces places de stationnement, citoyens, artistes et militants ont collaboré pour transformer temporairement un espace traditionnellement dévolu à l’automobile en d’éphémères espaces verts et publics. Origines et diffusion du label Figure 1. Source : © Rebar: consulté le 21 février 2014. Mort numérique : sort de nos données personnelles. Suite au décès physique d’une personne, de quelle manière la mort physique va-t-elle entrainer sa mort numérique ?

Mort numérique : sort de nos données personnelles

Le principal enjeu est de savoir quel sera le sort des données personnelles du défunt car la mort d’une personne n’entraine pas ipso facto la disparition de ses données personnelles sur internet. Qu’advient-il, en cas de décès, de tous les comptes de réseaux sociaux, messageries, profils et photos disponibles sur internet ? En principe, l’identité virtuelle survit à l’identité physique et les comptes et données personnelles du défunt restent disponibles sur internet. Une absence de moyens juridiques pour la gestion de l’identité numérique du défunt par les ayants droits. Les No Life. Toutes les œuvresNo life Les no life, joueurs de Dofus série de 10 portraits, 130 x 70 cm, aquarelle sur papier Travaillant sur la représentation de mon quotidien, il m’est apparu évident de disséquer la façon dont ce jeu imprimait la vie de mes enfants donc la mienne également.

Les No Life