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Communs et alternatives

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Gallica. Carte de la "presse pas pareille". Médias libres, indépendants, alternatifs… Pas facile de s’y retrouver ! Pour cette carte, nous avons adopté l’expression « presse pas pareille » lancée par le journal Le Ravi, basé à Marseille, pour définir des journaux non inféodés aux pouvoirs politiques et économiques. Parce qu’il fallait bien choisir, nous avons sélectionné les médias répondant grosso modo aux critères suivants : ils produisent essentiellement du contenu écrit, sur papier ou en ligne.ils n’appartiennent à aucun groupe industriel, financier, ni à aucun mouvement politique, syndical ou religieux.ils sont détenus par leurs salarié·es, leurs lecteurs et/ou une association.professionnels ou bénévoles, ils mènent une véritable démarche d’information, sans se cantonner à l’expression d’opinions.ils sont favorables à une société plus juste et solidaire, sans exclure aucune catégorie de personnes.la publicité n’occupe pas plus de 10 % de leurs pages.

D’autres plateformes sont possibles : la piste coopérative. Fortement plébiscitées depuis leur apparition à la fin des années 2000, les plates-formes dites collaboratives suscitent aujourd’hui de nombreuses critiques qui conduisent certains de leurs utilisateurs à l’action collective.

D’autres plateformes sont possibles : la piste coopérative

Les préoccupations sont croissantes concernant l’utilisation des données personnelles, mais aussi l’éthique des algorithmes. Outre leur fonctionnement technologique, c’est tout le modèle socio-économique des plates-formes qui fait débat. Censées générer de la valeur pour leurs utilisateurs en organisant des transactions en pair à pair, certaines plates-formes dominantes extraient des rentes conséquentes de leur position d’intermédiaire. Il est en outre reproché à des plates-formes d’esquiver le droit du travail via le recours massif aux travailleurs indépendants, de procéder à de l’optimisation fiscale ou encore de contribuer à une marchandisation accrue de nos vies quotidiennes. Du collaboratif au coopératif Multiples challenges Pérenniser les modèles économiques. Vers des plateformes réellement coopératives. Les professeurs Nathan Schneider (@nathanairplaine) et Trebor Scholz (@trebors, le père du concept de Digital Labor) publient sur The Next System Project (@thenextsystem) un intéressant manifeste.

Vers des plateformes réellement coopératives

L’économie solidaire nécessite un internet de la solidarité La plupart des technologies inventées (radio, télévision, internet, blockchain…) prônent dans leurs premières versions un idéal de liberté et de démocratie, de décentralisation. Mais récupérées par « l’ordre social en place » (entreprises, gouvernements et surtout investisseurs…) elles tendent à devenir des monopoles centralisés bien loin de leurs idéaux originels. Malgré tous les discours sur le partage et la démocratisation, l’industrie de la technologie est devenue accro à un modèle d’investissement à la recherche de retour sur investissements massifs et à court terme. Dans un monde inégal, qu’avons-nous en commun ? - France Culture. Le bien commun, une arme dans nos sociétés individualistes.

Le « bien commun », un concept pour revivifier le multilatéralisme en déclin, face à la montée des régimes populistes et des blocs-continents comme les États-Unis ou la Chine ?

Le bien commun, une arme dans nos sociétés individualistes

C’est ce que prône Emmanuel Macron. Le 11 novembre, devant quelque 70 chefs d’État, réunis sous l’Arc de Triomphe, il a désigné l’Organisation des Nations unies comme « la garante d’un esprit de coopération pour défendre les biens communs d’un monde dont le destin est indissolublement lié ». Le même jour, la France signait une déclaration avec d’autres pays pour faire en sorte que « l’espace mondial de l’information soit considéré comme un bien commun de l’humanité ». Les « biens communs » selon Emmanuel Macron Ce n’est pas la première fois que le Président emploie l’expression « biens communs ». Le chef de l’État reprend en effet un concept qui vient de loin et aux contours peu stables. C’est un concept fécond dans la bataille des idées actuelle. – Emmanuel Maurel, homme politique Cet article réservé aux abonnés.

Dans le domaine public en 2018 - Calendrier de l'avent du domaine public. Politiques des biens communs de la connaissance. Qu'est-ce que les Communs ? Design commun – Partage, distribution, cotisation et gouvernance. Le siècle des communs. "La Renaissance des communs", "Le Retour des communs", "Commun, essai sur la révolution au XXIe siècle"… Chaque mois ou presque, un nouvel opus sort en librairie pour vanter les mérites des "communs". Derrière ce terme fourre-tout se dessinent de nouveaux modèles économiques, une redéfinition des rapports sociaux, une remise en cause de la propriété privée et, surtout, la perspective d’un possible dépassement du capitalisme. Usbek & Rica a mené l’enquête et interrogé plusieurs acteurs des communs pour explorer le potentiel révolutionnaire de cette belle idée. Que signifie exactement le terme "communs" ?

À force d’être employé à tort et à travers, le terme « communs » a fini par devenir équivoque. Souvent, il est utilisé pour qualifier une sorte de troisième voie économique entre l’État et le marché. Biens communs : Communs, Commons, Communauté. Les communs de la connaissance - Inter CDI 261. Entrer dans les communs par la prise en compte des pratiques des élèves L’avènement du Web 2.0 a vu un accroissement des pratiques informationnelles des élèves1.

Les communs de la connaissance - Inter CDI 261

Parmi celles-ci, deux nous amènent à penser la notion de Commun : le copier-coller et la consultation de Wikipédia. Faire entrer les communs de la connaissance dans l ecole H Le Crosnier. Creative industries.