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Ressources d'approfondissement

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Forum Changer l’économie 2014. The shift project : Les usages du PIB. La croissance du PIB : une mesure à déchiffrer. Série : Études économiques n° EC-02 Octobre 2008 La mesure de la croissance économique passée donne lieu à des publications régulières de l'INSEE, principalement la croissance trimestrielle et la croissance annuelle du produit intérieur brut (PIB), chiffres largement diffusés et commentés.

La croissance du PIB : une mesure à déchiffrer

Semblant clore la phase des prévisions, ces chiffres, lors de leur parution, ne sont pourtant pas stabilisés. Ils ouvrent une phase de consolidation statistique, rendue nécessaire par la précocité de leur parution et la recherche d'une fiabilité maximale pour les résultats définitifs. Dans les faits, les révisions de l'évaluation du PIB se poursuivent pendant trois ans, dans des proportions souvent non négligeables (cf. encadré infra). Après la période de prudence qu'il convient ainsi d'observer à l'égard des premiers chiffres communiqués par l'INSEE, demeurent encore plusieurs interrogations comptables1(*), voire philosophiques2(*), en rapport avec la portée socio-économique3(*) de l'agrégat « PIB ». 1. Dominique Meda : pourquoi le PIB s'est-il imposé comme mesure de la richesse? L’ économie souterraine dans le PIB: avancées et limites. A-t-on besoin de la croissance ?

Robert J. Gordon : « C’est la croissance qui détermine la progression du niveau de vie » Les limites de la croissance ... du PIB ! 1ere partie P. Lachaize. Forum Changer l'économie - "Il était une fois le PIB" Les idées au clair #2 : Les nouveaux indicateurs de croissance. Le PIB fait-il le bonheur ? Les nouveaux indicateurs. Depuis la deuxième guerre mondiale, une nation est dite riche si elle produit et elle vend, si ses échanges économiques sont importants ; le bien-être est économique et matériel et n’est rendu possible que grâce à la croissance économique.

Le PIB fait-il le bonheur ? Les nouveaux indicateurs

Pourtant, la critique de cette dernière comme seule mesure de la richesse d’un pays s’accompagne de propositions de nouveaux concepts : une redéfinition du mot richesse au-delà de la simple richesse économique, le concept de bien-être ou encore de bonheur, comme dans l’Indice du Bonheur du Bouthan. Ces concepts retrouvent leurs lettres de noblesse en se rechargeant de sens. Les indicateurs alternatifs peuvent-ils changer le débat public ? avec Jean Pisani-Ferry, Eva Sas, Jean-Luc Tavernier, Philippe Donnay, Ivan Best. Claudia Senik : Croissance et bonheur. Agora des Savoirs - Claudia Senik - L'économie du bonheur : Peut-on être heureux sans croissance.

10 indicateurs pour compléter le PIB. Aujourd’hui, il y a consensus pour affirmer que le PIB est un indicateur insuffisant pour évaluer le progrès des sociétés.

10 indicateurs pour compléter le PIB

Mesurer le développement d’un pays requiert de s’intéresser à un plus grand nombre de dimensions tant économiques que sociales ou environnementales. Pourtant, si le constat est largement partagé, aucune alternative sérieuse à cet indicateur ne s’est imposée au plan international, malgré de nombreuses tentatives. France Stratégie et le CESE ont engagé une démarche conjointe de concertation pour proposer une liste d’indicateurs.

Cette concertation a pris plusieurs formes : une consultation en ligne ouverte à tous (5 000 répondants) ;une enquête BVA via un panel représentatif de la population ;des ateliers avec des panels citoyens pour aider au choix entre les indicateurs ;des échanges avec les parlementaires et les collectivités territoriales. DEUX SIÈCLES DE CROISSANCE ÉCONOMIQUE: L’EUROPE À LA POURSUITE DES ÉTATS-UNIS. Un oeil sur la planète - Le miracle suisse. Les BRICS, puissances émergentes. L’indice Big Mac. Depuis 1986, le magazine britannique The Economist publie un indice permettant de comparer le coût de la vie dans différents pays.

L’indice Big Mac

Cet indice porte sur un seul produit bien particulier : le hamburger Big Mac de Mac Donald’s. Explications. Un indice de référence Au départ, c’est une boutade de quelques journalistes du très sérieux magazine The Economist. Pour que des comparaisons internationales soient réalistes, il faut que les produits comparés soient rigoureusement les mêmes. Des monnaies sous-évaluées L’indice Big Mac permet de savoir si une monnaie est sous-évaluée ou sur-évaluée par rapport au dollar, à l’euro, à la livre, au yen et au yuan. Le taux de change fictif. L'indice qui calcule autrement la prospérité d'un pays. Dans ce classement, la France se positionne en 21e position, loin derrière sa 6e place au classement plus traditionnel du FMI, et les Etats-Unis en 16e position, abandonnant leur 1re place mondiale.

L'indice qui calcule autrement la prospérité d'un pays

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Pour évaluer la richesse d'un pays, il existe depuis les années 1930 le produit intérieur brut, ou PIB – il avait été créé pour mesurer l'effet de la Grande Dépression sur l'économie américaine. Cet indice, souvent critiqué en raison de ses critères strictement économiques, n'avait pas jusqu'à présent d'alternative ; désormais, il existe le SPI, pour « Social Progress Index », qui mesure le progrès social de chaque pays.

Ses concepteurs, des économistes et des statisticiens, ont pu présenter cette année les premiers résultats de leur travail entamé en 2009. Au-delà du PIB, 10 indicateurs pour mesurer autrement le progrès. France Stratégie et le CESE ont proposé des indicateurs complémentaires au PIB pour conseiller gouvernement et Parlement.

Au-delà du PIB, 10 indicateurs pour mesurer autrement le progrès

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Pouchard Partiel, incomplet, trop centré sur l’économie : le produit intérieur brut (PIB) est depuis longtemps accusé de ne refléter que partiellement la situation d’un pays, écartant des domaines primordiaux comme la qualité de vie ou le développement durable. Début avril, le Parlement français a adopté une proposition de loi écologiste préconisant l’examen de nouvelles mesures avant les discussions budgétaires de l’automne. Ces indicateurs « sont destinés à servir de support au rapport que devra annexer chaque année le gouvernement au projet de loi de finances », précise l’étude. Une soixantaine de personnes y ont contribué, dont des représentants des partenaires sociaux, de la société civile, des administrations, des organisations internationales, des experts et des universitaires.