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Racism

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La police contrôle un handicapé et l'abandonne sans ses prothèses, un million de vues, pas de relais médiatique - ThePrairie.fr. Plus d’un million de vues en 24 heures Une vidéo publiée hier sur facebook a été visionnée près de 1 millions de fois en 24 heures.

La police contrôle un handicapé et l'abandonne sans ses prothèses, un million de vues, pas de relais médiatique - ThePrairie.fr

La scène se déroule gare de Lyon à Paris. Les affaires d’un homme handicapé sont éparpillées autour de lui, y compris ses prothèses de jambes. On voit également trois policiers qui semblent lui rendre ces affaires puis s’éloigner. L’auteur de la vidéo leur demande de revenir mais sans succès. Francois Bayga, le jeune homme filmé, explique à France 24 les circonstances de ce contrôle : Samia Orosemane : « Il y avait une place à prendre, celle de la musulmane gentille » J’ai vu la vidéo de Samia Orosemane le lendemain du 7 janvier 2015.

Samia Orosemane : « Il y avait une place à prendre, celle de la musulmane gentille »

Vous aussi. Ou alors vous êtes tombés dessus après le 13 novembre. « A chaque attentat, elle ressort », observe son auteur. Foulard vert sur la tête, fort accent tunisien, elle lance : Racisme : les Français seraient plus tolérants qu'avant. A lire aussi : Plus de 2 000 actes racistes, antisémites et antimusulmans en 2015 Mais la CNCDH publie aussi les résultats de l’enquête 2016 sur l’état de l’opinion réalisée par l’institut de sondage Ipsos, du 4 au 11 janvier auprès d’un échantillon de 1015 personnes.

Racisme : les Français seraient plus tolérants qu'avant

Et le résultat a de quoi étonner : les Français seraient plus tolérants. «Après quatre années de baisse consécutive, suivie d’une stabilisation en 2014, l’indice longitudinal de tolérance en France marque en 2015 une nette progression [+5 points] vers plus de tolérance», note la CNCDH. Il semble ainsi que, depuis la récente vague d’attentats, et malgré les discours de certaines personnalités publiques, la société française refuse les amalgames et valorise l’acceptation de l’autre.» La youtubeuse EnjoyPhoenix présente ses excuses pour l'emploi du mot «nigga» Après avoir utilisé le mot «nigga» sur Snapchat ce vendredi matin, la youtubeuse star EnjoyPhoenix a posté dans l'après-midi, sur son site, un long billet d'excuses intitulé «Je suis désolée».

La youtubeuse EnjoyPhoenix présente ses excuses pour l'emploi du mot «nigga»

«Je pense que les mots ne sont et ne seront jamais assez forts pour dire à quel point je suis désolée d’avoir employé ce mot : "nigga" ( aussi appelé "N-Word"). Je n’ai pas d’excuses», écrit-elle. ''Certaines politiques de mixité sociale ouvrent la voie à la gentrification'' Mot-valise et concept flou, la mixité sociale s’impose dans le débat public pour justifier les politiques urbaines actuelles.

''Certaines politiques de mixité sociale ouvrent la voie à la gentrification''

Les sociologues Eric Charmes et Marie-Hélène Bacqué ont coordonné un livre intitulé Mixité sociale, et après ? Dressant une comparaison entre les villes françaises et américaines pour questionner cet idéal. Sept spécialistes des études urbaines ont contribué à l’ouvrage pour déterminer pourquoi l’obsession pour la mixité sociale ne permet pas de bien appréhender la réalité. Votre livre dresse une comparaison entre les Etats-Unis et la France, en faisant intervenir des chercheurs des deux nationalités. Du voile, des femmes et de la liberté. Pourquoi le débat sur la « mode islamique » a-t-il soudainement pris de l'ampleur ?

Du voile, des femmes et de la liberté

Que révèle le développement de ces collections par de grandes marques et pourquoi heurte-t-il ? La Grande table prend du recul avec l'historienne des féminismes Florence Rochefort. Plusieurs grandes marques de vêtement ont lancé, depuis environ un an, des collections dites "pudiques" destinées aux femmes musulmanes souhaitant, par exemple, cacher leurs cheveux. Un universalisme en acte. Libération a consacré, dans son édition du 4 avril, un dossier important aux «Visages contestés de l’antiracisme».

Un universalisme en acte

Dans son éditorial, Laurent Joffrin pointe un mouvement «délibérément communautaire» qui dénonce «l’impensé colonial» de la société française, qui ne défendrait que ses intérêts propres et rejetterait «l’universalisme abstrait», pour finalement affirmer : «Si l’identité devient l’ultima ratio, l’intolérance communautaire n’est pas loin.» Or, au cœur de ces mises en garde et de ces rappels solennels aux «valeurs communes», se trouve le piège identitaire que Laurent Joffrin voudrait voir et dénoncer dans ces mouvements. Je ne me place pas en défenseur de tel ou tel mouvement, mais proposerai quelques commentaires sur le commentaire de l’éditorialiste. On parle de «communautarisme». Mais le terme «communauté» est tellement galvaudé qu’il suffit qu’une militante dise, dans le même dossier, «oh oui ! Les tribunes à lire sur le même sujet Quel est ce contexte ? Un universalisme en acte. (20) La supercherie antiraciste.

Il y a encore trente ans, la cartographie de la haine était simple à établir : le racisme et l’antisémitisme étaient d’extrême droite.

(20) La supercherie antiraciste

D’un côté, les héritiers de la Résistance, et de l’autre, ceux de Vichy. L’antiracisme avait son propre «mur de Berlin». Depuis, le monde a changé, les murs sont tombés, les fronts se sont multipliés. Unshaded-chronicles: Intervention de Marwan... La Tribune des Pirates. Femmes voilées et esclavage : des associations veulent traduire Laurence Rossignol en justice. Laurence Rossignol et les femmes portant le voile, nouvel épisode.

Femmes voilées et esclavage : des associations veulent traduire Laurence Rossignol en justice

Vivement critiquée pour avoir assimilé les femmes voilées à des «nègres américains qui étaient pour l’esclavage», la ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes pourrait avoir à répondre de ses propos devant la justice. C’est en tout cas le souhait du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) et de la Fondation Frantz Fanon, qui ont appelé les citoyens à porter plainte contre la ministre après ses propos du 30 mars dernier dans l’émission de Jean-Jacques Bourdin.

Les propos de la ministre «ne sont pas une maladresse mais un moment de sincérité» «Ces propos ne sont pas une erreur de langage, a estimé Mireille Fanon-Mendès-France, de la Fondation Fanon, ils traduisent un fondement intellectuel ancré dans la différenciation des races.» En finir avec «le contrôle politique et raciste du corps des femmes» What does it mean to say an algorithm is racist? – scatterplot.

Yesterday, tipped off by Beth Berman, I posted a screenshot of a pair of Google search results onto Twitter.

what does it mean to say an algorithm is racist? – scatterplot

The screenshot (below the cut) shows what happened when you searched for “professional hairstyles for work” and “unprofessional hairstyles for work”. I labeled the screenshot “This is what a racist algorithm looks like.” Plongée chez les nouveaux antiracistes. Des propos de Laurence Rossignol, ministre des Droits des femmes, sur le voile à ceux de la philosophe Elisabeth Badinter, une nouvelle semaine de violentes polémiques sur le front de la question identitaire et de l’islam vient de s’écouler.

En jeu, des militants d’un nouvel antiracisme, suractifs sur les réseaux sociaux et bêtes noires notamment de Manuel Valls et d’une partie du Parti socialiste attaché à une stricte laïcité : polémistes, de gauche, souvent idéologiques, parfois religieux, et ouvertement communautaires. Petit retour en arrière : le 30 mars, Laurence Rossignol est invitée par Jean-Jacques Bourdin sur RMC pour pousser un coup de gueule contre la «mode islamique», ces marques de vêtements qui ont lancé des lignes d’habits recouvrant le corps, dédiées aux femmes musulmanes.

Sa démonstration ? Pourquoi la question du voile divise-t-elle les féministes? “Irresponsables“. Le mot est lâché mercredi 30 mars par la ministre des Droits des femmes Laurence Rossignol au micro de RMC, à propos des enseignes ayant décidé de commercialiser des burkinis (maillot de bain intégral) et des hijabs (voile masquant les cheveux). Pour elle, nul doute que ces marques font “la promotion de l’enfermement du corps des femmes“. Et de s’appuyer sur le concept de “servitude volontaire” pour étayer son propos : “Il y a des femmes qui choisissent, il y avait aussi des nègres américains qui étaient pour l’esclavage“. Elle s’est, depuis, excusée d’avoir employé le mot “nègre”, sans pour autant revenir sur la pertinence de sa comparaison. Une prise de position partagée par la philosophe féministe Elisabeth Badinter qui estime, dans un entretien publié dans Le Monde le 3 avril, qu’on ne peut pas porter le voile et défendre l’égalité femmes-hommes.

Plongée swag chez les nouveaux antiracistes. Des propos de Laurence Rossignol, ministre des Droits des femmes, sur le voile à ceux de la philosophe Élisabeth Badinter, une nouvelle semaine de violentes polémiques sur le front du racisme vient de s’écouler. En jeu, des militants d’un nouvel antiracisme, suractifs sur les réseaux sociaux et le terrain et bêtes noires notamment de Manuel Valls et d’une partie du Parti socialiste attaché à une laïcité dogmatique : réactifs, politisés, déterminés et décoloniaux. Petit retour en arrière : le 30 mars dernier, Laurence Rossignol est invitée par Jean-Jacques Bourdin sur RMC contre la « mode islamique », ces marques de vêtements qui ont lancé des lignes d’habits recouvrant le corps.

Sa démonstration ? Le voile « enferme le corps de la femme ». Comparer les femmes voilées aux "nègres pour l'esclavage" : merci, madame Rossignol. Laurence Rossignol interviewée par Jean-Jacques Bourdin sur RMC le 30/03/16 (capture) À rebours de mes compatriotes "franco-musulman.e.s" et/ou "négres.sses", je souhaiterais, madame la ministre, vous remercier, vous exprimer, même, ma reconnaissance la plus sincère. Mes mots ne sauraient qu'imparfaitement traduire la gratitude que je ressens, et pour cause. Vous m'avez révélée à moi-même, madame la ministre, et peut-être même plus que vous ne l'auriez cru ni même voulu. Je préfère croire à un simple "dérapage" Pour en finir avec le contrôle politique du corps des femmes. Soumises, aliénées, dangereuses… les qualificatifs ne manquent pas pour nous définir. Jeudi 31 mars, chez Bourdin direct, sur RMC/BFMTV, la ministre Laurence Rossignol s’est fait le relais d’une parole décomplexée généralisée faite d’amalgame, de sexisme, de négrophobie et d’islamophobie genrée.

Eu égard à sa fonction de ministre d’État, de surcroît des droits des femmes, nous attendions d’elle de défendre la cause de toutes les femmes, y compris nous, celles qu’elle catégorise, sans avoir tiré les leçons du passé colonial français, de « Franco-musulmanes », de « femmes voilées », de « nègres ». Alors que nous sommes d’abord des femmes – c’est notre identité première –, Laurence Rossignol a fait le choix de la nier et de nous enfermer dans des « cases ». Tout commence par une comparaison. « Mais bien sûr, il y a des femmes qui choisissent, hein, il y avait des nègres afri… des nègres américains qui étaient pour l’esclavage ». Pourquoi la reconnaissance faciale est discriminante. Google Photos qui confond une jeune femme noire avec un gorille. Le site de partage de photo Flickr qui ajoute les tags “animal” et “singe” sur un homme noir.

Un appareil Nikon, détectant les clignements des yeux, qui prend des yeux bridés pour des yeux fermés. La liste d’erreurs absurdes de reconnaissance faciale est longue. Il ne s’agit pas seulement de simples bourdes technologiques, mais d’un vrai problème de discrimination selon Motherboard, la plateforme de Vice dédiée à la technologie. D’autant plus que ce type de technologie devient omniprésente. Les fabricants expliquent que ces logiciels se basent sur des “algorithmes standard” selon le magazine Time. Le problème majeur n’est pas technique. “Cette technologie n’a pas été conçue pour vous”

Fania Noël : « Ne nous libérez pas, on s’en charge » Au Collectif contre l’islamophobie, de la suite dans les données. Les arguments des défenseurs de la mode musulmane. Les arguments des défenseurs de la mode musulmane. Rokhaya Diallo : "Laurence Rossignol devrait suivre un cours intensif d'histoire de l'esclavage" Rokhaya Diallo : "Laurence Rossignol devrait suivre un cours intensif d'histoire de l'esclavage" Pourquoi la "Beurette" dérange-t-elle ? Samedi 25 mars, aux alentours de 20 h, une centaine de jeunes des banlieues lyonnaises saccageaient le Red Room, une discothèque située au nord de la ville, où Booba devait venir faire un showcase.

Quelques semaines plus tôt, Bassem Braiki, un blogueur connu sous le pseudo Chronic 2 Bass, avait appelé au boycott de son concert, l’accusant de manquer de respect aux femmes maghrébines dans deux de ses punchlines : “J’encule vous tous/Ma pute prépare le couscous”, sur le morceau A4 et “J’vais à la chicha pour les Beurettes” sur les titres Vrai et Génération Assassin. Sihame Assbague : la révolte tous azimuts. Fania Noël : le combat entre soi. «Je suis afroféministe anticapitaliste anticolonialiste anti-impérialiste anti-mixité…» Bref, «anti». Contre le racisme, les actes se font toujours attendre. Le racisme comme système. La Photo Qui A Secoué Le Brésil.

La légalisation du cannabis aux Etats-Unis, c’est encore les Blancs qui en profitent. «Les indigènes de la république sont nos amiEs», par Thierry Schaffauser. Au lancement du «Printemps républicain» : «N'ayez pas peur du mot "islamophobe"» Non, la mode n'en a pas fini avec l'exotisme. Aimé Césaire : "Le racisme commence avec la colonisation car il a fallu légitimer cette entreprise" Islamologie et radicalisation mieux étudiées à l’université.

Standards de beauté

Héritage colonial/Impérialisme. Humour/Liberté d'expression. Appropriation culturelle. Humanitaire. Face à Zemmour, enfin des anti-Zemmour ! Black Girls Are Tired of These Phrases – And Here's Amandla Stenberg's Perfect Summary of Why. Pour une utilisation décomplexée du mot noir. Noir, pas black by ARTE Radio.

(20+) Le racisme «anti-blanc» n'est «pas une expérience de masse» Pourquoi deux interprétations de la laïcité coexistent en France ? The Awful Origins of the Fetishized 'Submissive Asian Woman' Stereotype. Bill Cosby sexually assaulted me. I didn’t tell because I didn’t want to let black America down. Nicole Ferroni : "La gentrification ... l'invasion par le bobo ?" Malaise à "Libération" après la chronique de Luc Le Vaillant. Why 'Two Wrongs Don't Make a Right' Doesn't Apply to Racism. Dix ans après les émeutes de 2005 : “La police, c’est de la racaille légale”

Que Taubira "reparte dans sa brousse": le dérapage raciste d'une élue de Talant en Bourgogne. Profs en territoires perdus de la République: pourquoi il faut regarder ce documentaire  Le «grand remplacement», totem extrême. Suisse : poussée de la droite populiste aux élections législatives. "Race blanche", race noire : un concept biologique biaisé. Autopsie d'un mythe. Même face à la justice, Marine Le Pen est bien la fille de son père. Un cirque tzigane harcelé par de mystérieux visiteurs dans le XVIe arrondissement. La mise au point de Smain Laacher. Une « répliques » de trop. Is "Expat" the New White ? - Une heure de peine... La photo couleur, une technologie racialement biaisée. Le biais racial de la photographie couleur.

Une banane de travers - Les Indivisibles. « Stop le contrôle au faciès » répond aux propos d’Alain Vidalies pour Respect Mag. This Is What Rihanna's BBHMM Video Says About Black Women, White Women and Feminism - « Bande de filles », un film encensé pour de mauvaises raisons. Le racisme comme système. Beautés noires : La femme noire et le white gaze. De Ferguson aux « zones urbaines sensibles » : la militarisation de la police n’est pas une spécificité états-unienne. « Dérive identitaire de gauche au nom de la laïcité » Hommes noirs, femmes noirtes : une misogynoir née avant la honte. This Is Why #AllLivesMatter Is Ridiculous – And Offensive.

Pour Disney, la colonisation est un conte de fées. Le lycée Averroès s’accroche à sa «normalité»