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Crypto-euro

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Le @Groupe_Casino lance son stablecoin euro : Lugh. Tremble Bitcoin ! Casino débarque en ville avec LUGH (EUR-L), le premier Crypto-Euro. Dans l’étonnement (quasi) général, ce qui s’apparente diablement au futur premier Crypto-Euro historique vient d’être révélé au monde.

Tremble Bitcoin ! Casino débarque en ville avec LUGH (EUR-L), le premier Crypto-Euro

Surprise, les acteurs derrière ce stablecoin inédit ne sont pas ceux auxquels on aurait pu s’attendre. Si la présence de Nomadic Labs (Tezox/XTZ) et de Coinhouse dans le projet nous démontre à quel point nous évoluons en territoire parfaitement crypto-monétaire, ce sont bien la révélation Société Générale, de PwC France et Maghreb et surtout du groupe de supermarché Casino qui le prouvent : nous rentrons décidément dans l’ère de la respectabilité. Caractéristiques, ambitions… on fait le tour du nouveau stablecoin LUGH (EUR-L) en tentant au passage de répondre à la seule question réellement importante : ce jeton sera t-il de taille à se confronter aux ténors du secteur du stablecoin, ou finira t-il abandonné dans un caddie anonyme un samedi après-midi ?

Le crypto-euro, mirage monétaire Par Toutatis ! Cocorico sur la blockchain - La Société Générale choisit Tezos pour tester son crypto-euro. Tezos s’annonce comme le berceau du crypto-euro – La Banque de France accélère ses tests d’euro numérique en partenariat avec la Société Général.

Cocorico sur la blockchain - La Société Générale choisit Tezos pour tester son crypto-euro

Selon les dernières nouvelles, la blockchain Tezos, elle aussi française, a été sélectionnée pour héberger ces tests. La Société Générale pour développer l’euro numérique En juillet dernier, la Banque de France a annoncé les 8 candidats avec lesquels elle travaillerait dans le cadre de ses expérimentations sur un euro numérique. Parmi les candidats, nous retrouvions Forge, la filiale de la Société Générale spécialisée dans les security tokens. Les stablecoins pourraient impacter la souveraineté financière de l'UE pour des décennies, selon la Banque de France. Stablecoins, wanted en Europe ?

Les stablecoins pourraient impacter la souveraineté financière de l'UE pour des décennies, selon la Banque de France

– Face aux risques pour leur « pré-carré » de l’émission monétaire, les grands banquiers centraux commencent à s’inquiéter face aux stablecoins. Euro numérique : la Banque de France donne la liste des 8 candidats retenus - Journal du Coin. D’heureux élus ?

Euro numérique : la Banque de France donne la liste des 8 candidats retenus - Journal du Coin

– La Banque de France vient de dévoiler ce 20 juillet la liste des entreprises retenues pour lancer ses expérimentations autour d’une “monnaie digitale de banque centrale” (MDBC). Après son appel à candidatures, voici les 8 gagnants. MDBC : huit entités pourront se lancer dans l’expérience La Banque de France a donc publié ce matin, sur son site Internet, la liste des huit prestataires retenus pour participer à son projet de monnaie digitale de banque centrale dans les règlements interbancaires. La voici, par ordre alphabétique : Un euro contemporain. La technologie est disruptive.

Un euro contemporain

Pour ce qui est de la monnaie, les cercles d’informaticiens avertis n’arrêtent pas de le répéter depuis 10 ans, depuis la création de Bitcoin. Les stablecoins n’ont pas un taux fixe, mais un taux variable, très stable. Cela permet aux entreprises privées qui en émettent d’avoir un modèle d’affaire. Les institutions publiques s’intéressent à ce type de monnaie. Bien sûr, les idées développées pour de la monnaie cryptographique ayant cours légal n’ont rien à voir avec les stablecoins, dans le sens où une monnaie ayant cours légal a un cours fixe, permet d’éteindre les dettes et de payer les impôts. Europe contre Chine : la course à la monnaie numérique s'intensifie. Gogogo, Gotta Go Fast !

Europe contre Chine : la course à la monnaie numérique s'intensifie

– Alors que le gouverneur de la Banque de France vient tout juste d’annoncer des tests d’une monnaie numérique dès 2020, la BCE publie à son tour un rapport de 3 pages sur la création d’un crypto-euro. Pendant ce temps-là, le gouvernement chinois pousse autant qu’il peut l’expérimentation blockchain dans son pays. “Pressés” vous avez dit ? Un euro numérique, ça urge ! Alors que nous pensions le candidat chinois bien engagé (comme nous allons le voir juste après), le coureur européen fait une remontée fulgurante pour obtenir la première monnaie numérique de banque centrale (CBDC). La Banque de France veut tester un crypto-euro dès 2020.

Après la Banque centrale européenne (BCE) il y a à peine quelques jours, c’est la Banque de France qui appelle désormais à expérimenter un crypto-euro le plus tôt possible.

La Banque de France veut tester un crypto-euro dès 2020

Une expérimentation devrait ainsi être lancée dès 2020, mais exclusivement pour les institutions financières. La Banque centrale européenne veut son crypto-euro. Que ce soit en Chine, aux États-Unis ou en Europe, la course à la monnaie numérique de banque centrale (CBDC) est bel et bien lancée !

La Banque centrale européenne veut son crypto-euro

Benoît Cœuré, membre du Directoire de la Banque centrale européenne (BCE), pousse d’ailleurs autant que possible le développement d’un euro numérique. La BCE et l’euro doivent se mettre au numérique Ce 26 novembre, lors d’une conférence commune entre la BCE et la Banque nationale de Belgique, Benoît Cœuré s’est exprimé sur l’impérieuse nécessité de favoriser la création d’une CBDC européenne. Un paradoxe pour quelqu’un qui avait exprimé son profond rejet de Bitcoin, qui serait « le rejeton maléfique de la crise financière » selon lui. Lors de son discours, Benoît Cœuré a d’abord expliqué ce qui serait pour lui le principal bénéfice que pourrait apporter un “crypto-euro” : Méfiance absolue envers les stablecoins privés et étrangers. La Banque de France pousse la tokenisation au niveau des instances européennes.

Just do it – Le premier sous-gouverneur de la Banque de France a délivré un discours pressant les instances européennes d’adopter les technologies blockchains et DLTs (Distributed Ledger Technologies).

La Banque de France pousse la tokenisation au niveau des instances européennes

Selon lui, elles pourraient “contribuer à remédier aux limites actuelles des infrastructures existantes”. La Banque de France dit oui à la “blockchain” Denis Beau, le premier sous-gouverneur de la banque de France, a donné un discours lors d’une conférence de l’AFME (Association for Financial Markets in Europe). Selon lui, l’Europe doit se presser d’expérimenter pour jauger de l’utilité (ou non) de ces technologies novatrices. Naturellement, la création de nouveaux cadres réglementaires est vue comme une nécessité, puisque se reposer sur le cadre existant serait potentiellement limitant. En effet, ce seraient bien la fintech en général (et pourquoi pas une de ses briques blockchain) qui pourrait à terme impacter considérablement le secteur financier dans son ensemble : En réponse au libra, l'Europe veut accélérer sur la dématérialisation de l'euro.

Le projet des banques européennes pour contrer Visa et Mastercard. La Deutsche Bank et 200 banques allemandes veulent un euro numérique. Une association de plus de 200 banques allemandes appelle unanimement, et urgemment, à créer un euro numérique.

La Deutsche Bank et 200 banques allemandes veulent un euro numérique

Elles le souhaitent « programmable », pour mieux en garder le contrôle. Un « EuroCoin » très désiré par les banques allemandes. « Cryptomonnaies » de banque centrale… vraiment ? Je n’aime pas beaucoup le terme « cryptomonnaie », d’une part parce qu’il est source de contresens [1] et d’autre part parce qu’il désigne aujourd’hui à peu près tout et n’importe quoi. S’il s’agit de parler de l’innovation apportée par Bitcoin, ne faudrait-il pas plutôt parler de monnaie numérique de pair à pair (P2P Money) ? Ou de cash électronique ? Ou encore de monnaie numérique décentralisée ? Que penser de l’idée d’un crypto-euro ? Analyse et propositions. Début septembre, Bruno Le Maire a appelé à réfléchir à la création d’une « monnaie numérique publique » gérée par les banques centrales. Ce projet a rapidement été surnommé « cryptomonnaie publique » voire « crypto-euro », sans que Bruno Le Maire n’ait en réalité prononcé ces termes.

Stablecoin. Tezos (XTZ)