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Brainstorming

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Remue-méninges

La véritable histoire du brainstorming. Claudine est la gérante du bar « les bons copains » à Vern sur Seiche.

La véritable histoire du brainstorming

Le bar a eu son heure de gloire. À une époque, c’était le rendez-vous incontournable du village. Oui, mais voilà, ce temps-là est révolu et les clients ont déserté le bar, à part quelques habitués qui résistent fièrement. Dépitée, mais pas abattue, Claudine ne baisse pas les bras et forte des conseils qu’elle a pu glaner sur l’excellent blog lifeisaserisousgame.com elle décide d’organiser un brainstorming, cette technique de créativité si populaire, qui lui permettra de générer les idées qui sauveront son bar.

Elle convoque donc un samedi matin à la fraiche ses plus fidèles clients pour les mettre à contribution. Pour démarrer sur de bonnes bases, Claudine affiche les règles du jeu d’un atelier de créativité : Et c’est parti pour la séance de créativité intense. Nadine propose de diminuer le prix du café pour attirer plus de clients. Aussitôt, Bernard rebondit : « et on pourrait faire participer les gens du village ! Brainstorming : pratique collective et individuelle. Une croyance est bien ancrée : un brainstorming se déroule en groupe.

Brainstorming : pratique collective et individuelle

J'en ignore l'origine mais une chose est certaine, Alex OSBORN (concepteur du brainstorming) n'a jamais milité pour une pratique exclusivement collective. Pour preuve, deux extraits de "L'imagination constructive" (Alex Osborn) : "Il peut être utile de signaler une conception fausse de la délibération en groupe. Certains ont pensé, par erreur, que l'effort commun vise à remplacer le travail personnel. En fait, la délibération en équipe ne se recommande que pour compléter la production personnelle d'idées.

"" Atelier collaboratif et brainstorming : Attention aux idées de merde ! Avant tout chose, un grand merci à notre illustrateur préféré, Marc Bourguignon qui nous offre ce magnifique sketchnote.

Atelier collaboratif et brainstorming : Attention aux idées de merde !

Notre époque est de plus en plus collaborative. Nous voyons fleurir un peu partout des démarches qui impliquent de plus en plus les parties prenantes : innovation participative, innovation collaborative, démarche participative… De plus en plus de décideurs réalisent que le collectif permet de créer une dynamique et un engagement que l’on ne retrouve pas dans d’autres démarches. Dans les collectivités, les initiatives fleurissent pour mobiliser les citoyens autour d’enjeux de la ville comme en témoigne l’initiative « La Loire et nous » à Nantes. La nécessité d’avoir une démarche collaborative est donc aujourd’hui admise par beaucoup d’entre nous. Tout d’abord, il faut bien veiller à éviter les biais du travail en groupe comme le conformisme ou le groupthinking qui tirent la performance d’un groupe vers le bas.

La solution pour en finir avec les brainstorming qui ne servent à rien. Bon, ici on ne vous parlera pas de la première phase d’un atelier durant laquelle on génère plein d’idées.

La solution pour en finir avec les brainstorming qui ne servent à rien

Si vous cherchez des pistes pour vous renouveler sur cette partie-là, allez faire un tour ici , vous devriez trouver votre bonheur. Non ici, on va vous parler de la fin de l’atelier, cette partie fatidique où l’on devrait sortir avec des actions. Vous noterez l’emploi du conditionnel dans ma phrase. Effectivement, on devrait sortir avec des actions concrètes directement actionnables à la fin du brainstorming mais la réalité est souvent bien différente. Car… Combien d’ateliers n’aboutissent à rien ? Il faut se le dire, l’avantage du post-it c’est qu’il pousse à la synthèse : essayez d’écrire une dissertation avec un marqueur sur un post-it, ça devient compliqué.

Au-delà de l’aspect déceptif de ce genre d’atelier, ça peut même être dangereux. En finir avec le yakafokon Premier conseil pour éviter ce piège : ne repartez jamais d’un atelier avant d’avoir fermé l’entonnoir. Brainstorming is not dead ! Aimé, utilisé, détourné, détesté.

Brainstorming is not dead !

Le brainstorming est un des temps collaboratifs les plus pratiqués en entreprise. Et un des plus critiqués. Une chose est sûre, cette méthode fascine tout autant qu’elle interroge. Tâchons de comprendre ensemble pourquoi ! Brainstorming. Le brainstorming[1] ou remue-méninges (ou tempête d'idées) est une technique formalisée de résolution créative de problème sous la direction d'un animateur.

Brainstorming

La technique du brainstorming a été conçue et a commencé à être développée en 1939 par Alex Osborn, vice-président de l'agence de publicité américaine BBDO. C'était à l'origine une méthode de réunion de groupe soigneusement préparée puis tout aussi soigneusement exploitée pour trouver un nombre important d'idées publicitaire et promotionnelles pour les clients et ceux potentiels de l'agence[2]. C'est une technique controversée.

Pour certains, c'est un mythe comme l'a écrit Jonah Lehrer dans un article sur le GroupThink publié par The New Yorker en 2012[3]. Un « remue-méninges »[4],[5]'[6] est par ailleurs et plus spécifiquement une réunion informelle de collecte d'idées ou, pour les enfants, un casse-tête. Étymologie et traductions[modifier | modifier le code] Cartes mentales. Le design thinking. Brainstorming Techniques. Tableaux blancs. Post-it. Animer un brainstorming Archives. LES OUTILS DE MAKESTORMING !