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Presse écrite

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Bien mener une interview. Compo fichearticle 478767. Petit panorama du dessin de presse by CLEMI Bordeaux on Prezi. A_la_une. 19. La relecture. La double relecture est une obligation vertueuse : aucun texte ne doit paraître avant d’avoir été relu et, au besoin, corrigé par quelqu’un d’autre que son auteur.

19. La relecture

Les correcteurs professionnels sont en voie de disparition. C’est regrettable parce qu’aucun logiciel de correction ne remplacera jamais le regard d’un prote, comme on appelait naguère le correcteur en chef. Il appartient aujourd’hui aux équipes rédactionnelles d’organiser elles-mêmes la relecture et la correction des textes avant parution. Il n’y a aucune exception à la règle: quel que soit son auteur – un stagiaire ou le directeur du journal – aucun article n’obtient le droit d’être publié avant d’avoir été soumis à une relecture critique. La relecture est l’ultime valeur ajoutée. La relecture corrige les fautes d’orthographe et les fautes de syntaxe, remédie aux confusions et aux pléonasmes, redresse les maladresses, harmonise l’emploi des majuscules, etc. Conclusion : le dictionnaire est le livre de chevet du journaliste.

Une éthique du reportage. Rappelons d’abord les « balises » posées de manière générale à la Presse et aux journalistes.

Une éthique du reportage

La loi Depuis deux siècles, multiples interdictions et sanctions pour « délits de presse ». Cela va de la publication d’articles touchant les secrets de défense nationale et l’apologie des crimes de guerre au compte rendu des procès de mineurs ; de la démoralisation de l’enfance et de la jeunesse aux informations « dangereuses pour la morale, la vie familiale, la santé publique » ; des offenses aux chefs de l’État, souverains étrangers, corps constitués, magistrats et fonctionnaires à la diffamation, l’injure, l’outrage aux bonnes moeurs... Une jurisprudence nourrie par des centaines de procès apporte à ces termes assez généraux et flous, des précisions ponctuelles qui reflètent - à travers l’interprétation du texte législatif - l’évolution de la société et de ses conceptions.

Ces balises - et notre liste n’est pas exhaustive - constituent le volet juridique de la responsabilité du journaliste. Je dessine. Les procédures d’étude du dessin de presse sont globalement communes à toute lecture d’image fixe.

Je dessine

On commencera donc par la phase de description qui est essentielle. Il s’agit de recenser tous les éléments qui composent un dessin. L’interprétation d’une image ne se faisant pas sans l’intervention du langage verbal, on partira des phénomènes de réception par les élèves. Leurs verbalisations (expression verbale du signifié, du ressenti, du sens) permettront d’accéder à l’interprétation. On peut répartir les signifiants et les signifiés en deux colonnes en regard l’une de l’autre. Le dessin de presse ne peut cependant pas être isolé de son contexte (journal, hebdomadaire, magazine) et du moment précis de sa publication, car il fonctionne souvent en contrepoint du texte dont il dépend.

Critères de relecture. De la dépêche à l’article. Fiche clemi dessin de presse. Le DESSIN DE PRESSE, comment bien l'utiliser dans la presse écrite. Quelques conseils pour la bonne utilisation des des dessins - Accordez au dessin un bon espace!

Le DESSIN DE PRESSE, comment bien l'utiliser dans la presse écrite

Cela lui donne beaucoup plus d'impact et donne du " panache " à votre publication. Aussi, beaucoup de lecteurs apprécieront de pouvoir " lire " aisément les détails ! - Soyez donc attentif à ne pas laisser grand espace vierge tout autour. - Eviter de déformer le rapport longueur-largeur en le manipulant avec la souris. Pour cela, dans la plupart des programmes, gardez la touche CTRL enfoncée. - Intégrez de préférence le dessin aux textes (habillage) et ne le positionnez pas à côté de cadres, tableaux, photos, encarts publicitaires ou texte trop gras qui " l'écraseraient " !... Fiche enseigner avec caricature Trisson 2013. Le dessin de presse, son histoire et pourquoi il doit continuer à exister.

C’était le 7 janvier 2015, c’est presque encore hier.

Le dessin de presse, son histoire et pourquoi il doit continuer à exister

Douze personnes sont décédées à Paris, tuées par balle par deux hommes armés qui ont fait irruption dans la rédaction de Charlie Hebdo. Parmi eux se trouvaient Charb, Cabu, Wolinski, Honoré et Tignous : leur job, ce n’était pas de formuler l’actu en mots mais en images. Ces grands noms du journal étaient célèbres pour leurs dessins de presse dérangeants, ceux pour lesquels ils ont été attaqués. À lire aussi : Je suis Charlie Hebdo, le choc des images et la colère des mots Le dessin de presse, c’est quoi ? Le dessin de presse, comme son nom l’indique, c’est un dessin publié dans un média et qui a été créé pour ça. Il aborde l’actualité, mais avec un regard décalé, moins sérieux que peut l’être celui des articles ou des reportages, et donc souvent humoristique, voire cynique. . « Il vise généralement à provoquer, à faire réfléchir, à émouvoir ou encore à dénoncer. » Il est réalisé à la main, en noir et blanc ou en couleurs. Cabu (Jean Cabut)