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Communication

Facebook Twitter

Sans titre. Publié le 14/10/2011 • Par Sophie Maréchal Virginie Fauvel • dans : Dossiers d'actualité Le 11 octobre 2011 Jaime Larivedroite souhaitait sur le mur de son profil Facebook « un bon quinzième anniversaire à la Zone franche Urbaine de la Rive Droite ».

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Enfant légitime de la rive droite de la Communauté Urbaine de Bordeaux, Jaime a pourtant failli se nommer Jaime les Hauts de Garonne ! Une intention louable du Groupement d’intérêt public du grand projet des villes (GPV) de : Sans titre. « Aujourd’hui, toutes les collectivités ont intérêt à avoir un compte Facebook », estime Franck Confino, expert en réseaux sociaux et en communication des collectivités locales.

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Voilà qui est dit ! Pourtant, on a toujours mille et une bonnes raisons pour ne pas franchir le cap ! Aux collectivités qui pensent que le débat va dégénérer, que c’est un effet de mode, que c’est chronophage, que cela ne concerne pas toute la population, qui craignent de ne pas avoir la maîtrise de leur e-reputation etc. écoutez plutôt ce conseil de Franck Confino : « Si vous ne vous lancez pas dans les réseaux sociaux, ils vous rattraperont d’une façon ou d’une autre.

Donc mieux vaut en être l’initiateur ! » 1 collectivité sur 2 sur les réseaux – Sachant que seule 1 collectivité sur 2 a intégré les médias sociaux dans sa stratégie de communication internet, il y a du pain sur la toile. Le community manager – Une fois établie, la stratégie va certainement prévoir de recruter le fameux « community manager ». Sans titre. Les réseaux sociaux se sont bien ancrés dans la communication institutionnelle, du moins celle des moyennes et grandes collectivités territoriales(1) : aujourd’hui, une majorité d’entre elles se servent des réseaux sociaux.

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Selon le baromètre Ideose, un peu plus de la moitié possèdent un compte Twitter en 2015 et elles sont environ 64% à utiliser Facebook pour s’adresser à leurs administrés. Des statistiques qui prennent en compte l’ensemble des villes préfectures, des départements et des régions. Parmi les différentes possibilités offertes, le site de Mark Zuckerberg reste le moyen de communication le plus apprécié. Ainsi : Sans titre. Il a fallu un peu de temps, mais désormais, rares sont les collectivités absentes des réseaux sociaux.

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Tel est l’enseignement majeur de l’observatoire social média des territoires (étude portant sur les pratiques de 38000 collectivités locales ). Avant de franchir le pas vers Facebook, Twitter, Instagram et d’autres, toutes ou presque ont pris position sur Internet. Ainsi, toutes les régions, tous les départements, toutes les métropoles et les grandes villes et 90% des intercos ont un site internet.

Certes, dans les villes de moins de 10 000 habitants les écarts se creusent. « 41% des communes de moins de 10 000 habitants n’ont pas de site internet et seules 9% sont présentes sur les réseaux sociaux », constate Franck Confino, coordinateur de l’observatoire social media des territoires. Pas de mystère sur les raisons de ces absences : animer un site internet ou des réseaux sociaux demande du temps, de l’expertise et des moyens qui font défaut au sein des petites collectivités.

Sans titre. Les moyennes et grosses collectivités territoriales ont, dans leur grande majorité, commencé à adapter leur communication aux moyens disponibles.

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Selon le baromètre Ideose, plus de la moitié d’entre elles possèdent notamment un compte Facebook. Idem concernant Twitter. Mais toutes n’ont pas une utilisation approfondie de ces outils et beaucoup se limitent à ces deux-là, alors qu’il en existe une multitude offrant divers avantages. Surpuissant Facebook La spécificité de Facebook, celle qui doit en faire un réseau social central dans la communication des collectivités territoriales, tient évidemment à son nombre d’utilisateurs. Selon les chiffres présentés par Facebook en septembre dernier, il existe plus de 30 millions d’utilisateurs actifs – des personnes qui interagissent au moins une fois dans le mois – en France. Le deuxième avantage concerne les usages développés par les utilisateurs. Utiliser efficacement Facebook suppose de respecter quelques bonnes pratiques. Ceux qui montent. Sur les réseaux sociaux, les stratégies des collectivités s’affinent.

Qu’il semble loin le temps où les collectivités s’interrogeaient sur la pertinence de prendre position sur les réseaux sociaux.

Sur les réseaux sociaux, les stratégies des collectivités s’affinent

Le comment a, en effet, depuis longtemps supplanté le pourquoi. Ce faisant, les recettes s’affinent et les résultats se font sentir, batteries d’indicateurs à l’appui. Le graal était donc là ? Peut-être pas tout à fait, parce qu’il ne suffit pas « d’y être » pour « y réussir ». « Fake news » : quel impact dans les territoires ? Sans titre. Quand communicant et combattant ne font qu'un. Communication territoriale : chasse aux fake news.

La digitalisation ne semble avoir aucune limite.

communication territoriale : chasse aux fake news

C’est ce que montre, une fois encore, l’étude annuelle de Hootsuite et We Are Social sur l’usage du web et des réseaux sociaux, parue en 2019 : 4,39 milliards d’internautes dans le monde, 3,48 milliards d’utilisateurs des réseaux sociaux, plus de six heures par jour passées sur internet… Faut-il s’en réjouir ou le déplorer ? Les avis resteront divisés, mais avec une certitude. Nul ne peut ignorer plus longtemps cette tendance.