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Carole Martinez

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Dans La terre qui penche Carole Martinez illumine la mort de l'enfance. Carole Martinez et Sorj Chalandon parlent d’enfance aux Champs libres de Rennes le 24 octobre 2015.

Dans La terre qui penche Carole Martinez illumine la mort de l'enfance

Carole Martinez Là, la romancière, bercée par les contes de ses aïeules peut donner libre cours à son imagination fantastique et broder des histoires merveilleuses autour des vies méconnues de femmes rebelles et oubliées. Dans La terre qui penche, deux voix dressent le personnage de Blanche. La vieille âme, du fond de son tombeau commence le récit par la fin, en évoquant la crue meurtrière de La Loue le jour de la Sainte Judith. Elle écoute ensuite le récit de l’enfant qu’elle a été et tente de combler les failles de sa mémoire. Mais est-ce vraiment le temps qui altère les souvenirs ?

Avec l’âge, la mémoire recompose les souvenirs en sublimant les moments délicieux de l’enfance. Blanche, enfant jumelle orpheline de mère rêve d’apprendre à lire et à écrire, mais son père n’y voit que les risques d’ouvrir les portes au diable qui « s’insinue dès que la femme est désoeuvrée ». Le top 5 de Carole Martinez - Culture / Next. 1.

Le top 5 de Carole Martinez - Culture / Next

L’oratorio de Noël de Göran Tunström Le sublime, la folie, la grâce. Un gigantesque souffle romanesque nous emporte sur trois générations. 2. Tandis que j’agonise de William Faulkner Des voix soliloquent autour du cercueil d’une mère. 3. J’avais 18 ans quand j’ai trouvé ce livre chez les parents de mon ex. Vidéo. "La terre qui penche": la petite fille qui voulait lire et écrire. Ouvrir le dernier roman de Carole Martinez expose le lecteur à un risque: celui de ne pouvoir le refermer avant d'avoir atteint la dernière page alors qu'il en connaît pourtant la fin.

Vidéo. "La terre qui penche": la petite fille qui voulait lire et écrire

Son héroïne Blanche est une enfant aux cheveux rouges et au caractère en acier trempé qui parle dans son sommeil et révèle d'étranges pensées. Sa mère ayant été emportée par le grand Mal, l'enfant fut élevée par sa nourrice qui pour la réchauffer prit l'habitude de la faire dormir dans un four. Lorsque l'enfant eut atteint sa onzième et dernière année, son père, un rustre avec lequel elle ne s'entendait guère, se mit en tête de la marier. CritiquesLibres.com : critiques de livres. Pour votre premier roman " Le cœur cousu", vous avez eu 9 prix dont 4 décernés par les lycéens.

CritiquesLibres.com : critiques de livres

Pour le 2ème " Du domaine des murmures", vous avez eu en 2011 le prix Goncourt des lycéens. Vous plaisez visiblement à la jeunesse ! Oui apparemment, et ça me fait plaisir car ce n'était pas quelque chose que j'imaginais. Quand on écrit, on n'écrit pas spécifiquement pour les uns ou les autres, et j'étais loin de penser qu'avec " Du domaine des murmures" l'histoire d'une recluse, j'allais embarquer les lycéens. J'ai été la première surprise. Dans " Le cœur cousu" vous explorez l'amour familial et dans " Du domaine des murmures" c'est l'inverse. Oui, c'est exactement cela.

Vous vouliez vous inspirer de Barbe Bleue au départ ! Blog Radio Classique : Le blog d\’Olivier Bellamy. Le 11 septembre 2015 à 10:05 par Olivier Bellamy … les têtes aussi.

Blog Radio Classique : Le blog d\’Olivier Bellamy

What did you expect ? Carole Martinez, La terre qui penche : Une écriture onirique et poétique. Blanche, une jeune fille pétillante et vive, trop sans doute pour sa condition de future châtelaine, fête ses douze ans au château familial.

Carole Martinez, La terre qui penche : Une écriture onirique et poétique

La sélection du « Monde des livres » En pleine rentrée littéraire, l’équipe du « Monde des livres » vous propose quatre romans, une BD et un essai.

La sélection du « Monde des livres »

Roman. « Quand le diable sortit de la salle de bain », de Sophie Divry Après la magnifique et mélancolique Condition pavillonnaire, Sophie Divry revient avec un texte drôle, ultra-inventif, un peu foutraque même – et qui pourra sans doute en agacer certains –, sur fond de précarité économique et de graves problèmes de société. De quoi s’agit-il ? Du diable que l’on tire par la queue quand on est aujourd’hui un écrivain ou un artiste, des factures pas prévues, des combines et de la faim qui tenaille parfois, des invitations à dîner qui n’arrivent pas, de l’indigence des relations virtuelles, du RSA, de l’écriture et de son inutilité sociale, du vide sidéral du Net, de la musique d’attente du serveur de Pôle emploi, de tout et de rien et surtout de rien, parce que c’est un sujet si riche, une vraie corne d’abondance, la pauvreté !

Florence Noiville. Carole Martinez - La terre qui penche. Rentrée littéraire : Carole Martinez, les murmures de l'enfance. Carole Martinez ressuscite les ombres du passé. Carole Martinez : "La Terre qui penche" Rentrée littéraire : Carole Martinez en équilibre. La Terre qui penche.