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Hyperconnectivité

L'addiction numérique chez les adolescents. Equipe addiction numérique. Les addictions, plaisir et perte de contrôle. Tabac, drogues, alcool…, les addictions concernent la dépendance à des substances agissant sur le cerveau. Mais pas seulement, car certains comportements sont aujourd’hui analysés comme des addictions à part entière. L’addiction se définit comme la répétition d’actes susceptibles de provoquer du plaisir et de soulager un malaise intérieur. Elle est marquée par la dépendance à un objet matériel ou à une situation recherchés, et se caractérise par sa persistance en dépit des conséquences négatives. Employé de façon courante par les Anglo-Saxons (to be addict to signifie s’adonner à), le terme a surtout été utilisé en France à partir des années 1990 dans le domaine de la psychopathologie, après avoir désigné aux États-Unis, dans les années 1970, les conduites de dépendance aux substances psychoactives (tabac, alcool, drogue).

Causes endogènes et/ou exogènes Les facteurs de protection sont considérés comme des modérateurs du risque et de l’adversité. . • Les Addictions comportementales. Dépendance à Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne.

Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil.

D. Psychologie : La course à l’e-influence, une addiction socialement acceptable. #Gloups. S’il est des articles qu’on lit d’un trait, la gorge un peu serrée et en ravalant sa salive à la fin, celui d’Isabelle Bouttier¹, publié récemment par l’excellente revue Tank, en fait incontestablement partie. C’est que la fondatrice de Web Image&Sens, qui fut sémiologue et coach dans une vie antérieure, n’y va pas par quatre chemins pour décrire les ressorts psychologiques et autres traits qui caractérisent les socionautes influents, ainsi que la course à l’e-influence !

Alors évidemment, quand il se trouve qu’on est soi-même blogueur et twitto assidu, comme le personnage fictif autour duquel l’auteure a construit son article (un certain « Paul »²), difficile de ne pas se sentir visé par cette description sans concession de l’e-influence et par son portrait au vitriol de ces e-influenceurs autoproclamés dont les réseaux regorgent. Alors, aliénation ou pas ? Quelle seraient, si tant est que l’on puisse parler d’addiction, les signes avant-coureurs de la dépendance ? Reseaux sociaux, progrès ou danger ? Salut a tous,J'ai assisté hier soir sur LCP à une émission dont le thème était les réseaux sociaux et leurs "pièges". Avec, comme intervenant, le président (je crois) de la CNIL et un philosophe.L'idée même du réseau social semble tout à fait excellente au premier abord. Les implications de l'utilisation de ce type d'outil, qui se profilent actuellement, me rendent cependant nettement plus dubitatif.Finalement, ce qui est en train d'arriver, c'est surtout une augmentation significative de brouhaha et de cacophonie, accompagné de menaces très réelles pour la vie privée.

Numérique et comportement : Entretien avec Michel Lejoyeux. Professeur de psychiatrie, de psychologie mais également spécialiste en addiction, Michel Lejoyeux nous parle de cet attrait parfois extrême que nous avons pour les nouvelles technologies. Appelée par certains addiction au numérique ou pathologie mentale, qu’en est-il réellement et comment s’en prémunir ? Spécialiste des comportements, Michel Lejoyeux est l’auteur de plusieurs ouvrages de développement personnel. ARTE : On parle aujourd’hui de l’attrait poussé pour le numérique comme d’une addiction voire d’une pathologie dans certains cas. Quel est votre positionnement ?

Je pense qu’il ne s’agit pas d’une addiction au sens où on l’entend quand on parle d’alcool ou de drogues. Quels sont les effets observables au niveau cognitif de l’addiction au numérique ? Même s’il faut rester prudent aujourd’hui avec cette notion d’addiction, on peut en revanche remarquer lors d’une IRM, une zone d’activation dans le centre cérébral du plaisir. La prévention sur l’addiction doit être globale. Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels.

L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Je m'abonne. Hyperconnectivité | GREA - Groupement Romand d'Etudes des Addictions. De quoi parle-t-on ? L'essor des mondes numériques modifie notre comportement. Nous leur consacrons plus de temps et sommes quasi en permanence face à un écran, connectés à internet : smartphone, tablette, ordinateur, console, tv, etc. Vous en doutez ? Si vous prenez le train, regardez autour de vous. La multiplication des écrans génère potentiellement des risques d’usage excessif. Le terme de cyberaddiction est sujet à controverse.

Ce que l’on sait Les cas d’usage excessif et problématique existent. Pour la Suisse, des études chiffrent à plusieurs dizaines de milliers le nombre d’usagers d’internet qui présentent des signes d’addictions (voir faits et chiffres). Il est toutefois difficile de définir précisément et quantitativement à partir de quand l’usage d’internet et des médias électroniques est problématique. Comment sensibiliser les jeunes ? Dans le domaine des médias électroniques, les jeunes possèdent une expertise. Le projet In medias.