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Mes philosophies

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If you’re so smart, why aren’t you rich? Turns out it’s just chance. The distribution of wealth follows a well-known pattern sometimes called an 80:20 rule: 80 percent of the wealth is owned by 20 percent of the people. Indeed, a report last year concluded that just eight men had a total wealth equivalent to that of the world’s poorest 3.8 billion people. This seems to occur in all societies at all scales. It is a well-studied pattern called a power law that crops up in a wide range of social phenomena. But the distribution of wealth is among the most controversial because of the issues it raises about fairness and merit. Why should so few people have so much wealth? The conventional answer is that we live in a meritocracy in which people are rewarded for their talent, intelligence, effort, and so on. But there is a problem with this idea: while wealth distribution follows a power law, the distribution of human skills generally follows a normal distribution that is symmetric about an average value.

The same is true of effort, as measured by hours worked. Théière de Russell. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'idée est celle d'une hypothétique théière en orbite autour du Soleil, entre la Terre et la planète Mars ; selon Russell, y croire (et demander aux gens d'y croire) sous prétexte qu'il n'est pas possible de prouver sa non-existence est insensé. Si l'image de la théière est de Russell, cet argument ne lui est cependant pas spécifique ; on le trouve par exemple au XVIIIe siècle au tout début du testament de Jean Meslier.

Principe[modifier | modifier le code] Selon Bertrand Russell[modifier | modifier le code] Dans un article intitulé « Is There a God? En 1958, Russell a développé cette analogie: « Je devrais me dire agnostique ; mais, à toutes fins pratiques, je suis athée. Selon Richard Dawkins[modifier | modifier le code] Photomontage reprenant l'une des illustrations de la plaque de Pioneer et remplaçant le parcours de la sonde par la théière de Russell.

Il mentionne aussi la théière de Russell dans son livre Pour en finir avec Dieu. . « [...] Philosophie analytique. Gottlob Frege, dont les travaux inspireront la philosophie analytique. L'expression « philosophie analytique » désigne un mouvement philosophique qui se fonda dans un premier temps sur la nouvelle logique contemporaine, issue des travaux de Gottlob Frege et Bertrand Russell à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, pour éclairer les grandes questions philosophiques. Sa démarche s'appuie sur une analyse logique du langage cherchant à mettre en évidence les erreurs de raisonnement que celui-ci peut induire et faisant ainsi de la « clarification logique de la pensée » le but de la philosophie selon le mot de Carnap. La philosophie de type analytique est pratiquée majoritairement dans le monde anglophone et quelques autres pays, et est assez peu présente en France.

Jules Vuillemin est un des premiers philosophes français à s'intéresser à la philosophie analytique et à en adopter des aspects stylistiques et méthodiques, notamment la formalisation logique. Austin, J. 1970. Réalisme scientifique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Réalisme. Le réalisme scientifique est la position métaphysique selon laquelle le monde décrit par la science est le monde « réel » ou « véritable ». Dans le contexte de la philosophie des sciences, le réalisme scientifique est une thèse à la fois ontologique (concernant l'être des choses) et épistémologique (concernant la connaissance) qui doit permettre d'expliquer comment les sciences parviennent avec succès à prédire les phénomènes. Pour le réalisme scientifique, le succès prédictif des sciences s'explique par le fait qu'il existe une réalité indépendante de notre esprit dont la nature est celle qui est décrite par la science.

Les thèses du réalisme scientifique[modifier | modifier le code] Lorsqu'on a postulé l'existence d'un monde extérieur indépendant de notre esprit, se pose alors le problème des relations entre ce monde et les descriptions que l'on peut en faire. . ↑ C. Physicalisme. Le physicalisme, d'après le néologisme allemand « Physikalismus »[1] forgé vers 1930 par Rudolf Carnap[2], est la thèse, ou doctrine, selon laquelle toutes les connaissances sont réductibles, au moins théoriquement, aux énoncés de la physique. Les sciences humaines et sociales dont l'art, tout comme les sciences de la nature, qui ont chacune leur vocabulaire et leurs concepts spécifiques, pourraient être retranscrites dans la langue de la physique. Dans la première définition du physicalisme, qui est celle du Cercle de Vienne, une telle langue consiste en un ensemble d’énoncés se rapportant à des objets physiques, à leurs propriétés ainsi qu’à leurs caractéristiques spatio-temporelles.

Ce langage se réduit à des protocoles ou comptes-rendus d'expérience et à des énoncés logiques qui n'ont de sens que par rapport à des objets possibles. Le physicalisme a été aussi appelé « théorie de l'unité de la science » ou « théorie de la science unitaire »[5]. Voir aussi[modifier | modifier le code] The philosophy of Stoicism - Massimo Pigliucci. Wondering how to be a Stoic? Here is a blog devoted to a continuous exploration of Stoic theory and practice. For a longer source on this topic, read this book: How to Be a Stoic: Using Ancient Philosophy to Live a Modern Life. Stoicism 101, a one-hour video on the basics of Stoicism is also a terrific place to start. There is a free downloadable version of Epictetus' Manual here Seneca's Moral Letters to his friend Lucilius are also available online with a free downloadable version.

Click here to find them. Finally, here is a link to The Meditations, by Marcus Aurelius. For both modern and ancient sources, click here. Interested in a whole course on the basics of Stoicism? Définition PANCAPITALISME. Malthusianisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le malthusianisme est une doctrine politique prônant la restriction démographique, inspirée par les travaux de l'économiste britannique Thomas Malthus (1766–1834). Le terme est utilisé pour la première fois par Pierre-Joseph Proudhon en 1849.

À l'origine doctrine hostile à l'accroissement de la population d'un territoire ou d'un État et préconisant la restriction volontaire de la natalité, le mot « malthusianisme » désigne aussi par extension toute attitude réservée devant la vie et le développement. Contextes[modifier | modifier le code] Le malthusianisme est issu de la pensée de Thomas Malthus craignant les effets dévastateurs du développement libre, supposé exponentiel, de la population humaine. Le « modèle malthusien » de formation du revenu minimal des économistes classiques n'a rien à voir avec le « comportement malthusien », restriction volontaire, non seulement de procréation, mais aussi de production. John B. POLITICAL THEORY - Marx. Socialisme scientifique. Définitions et historique[modifier | modifier le code] Dans le Manifeste du Parti communiste, Marx et Engels jugent sévèrement les formes de socialisme et de communisme « critico-utopiques » présentes dans les œuvres d'auteurs comme Saint-Simon, Owen ou Fourier : à leurs yeux, ces idées se sont perdues dans la réalisation expérimentale de leurs utopies, en négligeant la lutte des classes[2].

L'ensemble des socialistes pré-marxistes tend par la suite à être qualifié de « socialisme utopique », par opposition au socialisme scientifique revendiqué par les marxistes[3]. Le premier auteur à utiliser l'expression « socialisme scientifique » - ainsi que celle de « socialisme utopique » - n'est cependant pas Marx, mais l'un de ses adversaires politiques, Pierre-Joseph Proudhon[4], qui écrit en 1840 dans Qu'est-ce que la propriété ?

Marx pense son œuvre à l'aune de la science : Le Capital se veut un traité scientifique. Voir aussi[modifier | modifier le code] Athéisme. Au sens large, l'athéisme est défini comme l'absence[1] ou le refus[2] de toute croyance en quelque divinité que ce soit. Le terme s'oppose donc au théisme, toutefois cette définition ainsi posée ne permet pas de le distinguer clairement de l'agnosticisme, de l'antithéisme et de l'apathéisme avec lesquels il peut être confondu. Ainsi, l'athéisme se définit comme la considération qu'il n'existe aucune notion de divinité plausible, prouvable et donc réelle[3],[4],[5], ceci tant pour un dieu unique que pour un ensemble de divinités intégrées dans un même mythe. Au sens fort toutefois, l’athéisme désigne l'affirmation d'inexistence d'une divinité.

Cette conception de l'athéisme a changé suivant les auteurs et les époques. Qualifiés tour à tour d'apostats, d'hérétiques, de blasphémateurs, de mécréants ou encore d'infidèles (kufr), les athées ont été et sont toujours largement victimes de persécutions et de discriminations, légales ou non, y compris dans des pays développés et laïques[6]. Néguentropie. Selon le principe de néguentropie de l'information, l'information ne peut être obtenue qu'en empruntant de la néguentropie à un système physique, par l'intermédiaire d'un appareil de mesure[pas clair][1].

Pour désigner la néguentropie, dans certains contextes, on emploie aussi parfois le nom de syntropie (nom proposé par Albert Szent-Györgyi)[réf. souhaitée]. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme de « néguentropie » a été créé plus tard, dans le contexte d'un grand débat scientifique, par plusieurs physiciens, dont, en 1944, l'autrichien Erwin Schrödinger, dans son ouvrage Qu'est-ce que la vie ? Pour expliquer la présence de « l'ordre » à l'intérieur des êtres vivants et leur tendance à s'opposer au chaos et à la désorganisation qui régit les systèmes physiques, puis développé et mis en perspective à partir des travaux du mathématicien Claude Shannon par le physicien français Léon Brillouin, dans son ouvrage La Science et la théorie de l'information (1956)[3],[4].

Bertrand Russell. Bertrand Russell en 1916 Signature modifier - modifier le code - modifier Wikidata Bertrand Arthur William Russell, 3e comte Russell, né le 18 mai 1872 à Trellech (Monmouthshire, pays de Galles), et mort le 2 février 1970 près de Penrhyndeudraeth, au pays de Galles, est un mathématicien, logicien, philosophe, épistémologue, homme politique et moraliste britannique. Russell est considéré comme l'un des philosophes les plus importants du XXe siècle. Sa pensée peut être présentée selon trois grands axes. La logique est le fondement des mathématiques : Russell est, avec Frege, l'un des fondateurs de la logique contemporaine.

Il soutient l'idée d'une philosophie scientifique[49] et propose d'appliquer l'analyse logique aux problèmes traditionnels, tels que l'analyse de l'esprit, de la matière (problème corps-esprit), de la connaissance, ou encore de l'existence du monde extérieur. Biographie[modifier | modifier le code] Bertrand Russell peint par Roger Fry en 1923. Photographie de Russell à 4 ans.

Aristote. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portrait d'après un original en bronze de Lysippe. La nature (Phusis) tient une place importante dans la philosophie d'Aristote. Selon lui, les matières naturelles possèdent en elles-mêmes un principe de mouvement (en telos echeïn). Par suite, la physique est consacrée à l'étude des mouvements naturels provoqués par les principes propres de la matière. Au-delà, pour sa métaphysique, le dieu des philosophes est le premier moteur, celui qui met en mouvement le monde sans être lui-même mû.

De même, tous les vivants ont une âme, mais celle-ci a diverses fonctions. Les plantes ont seulement une âme animée d'une fonction végétative, celle des animaux possède à la fois une fonction végétative et sensitive, celle des hommes est dotée en plus d'une fonction intellectuelle. À sa mort, sa pensée connaît plusieurs siècles d'oubli.

Au xxe siècle, sa philosophie connaît un regain d'intérêt. Biographie Les années de jeunesse Vers 367 av. En 343 av. La logique. Dialectique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dialectique (appelée aussi méthode ou art dialectique) est une méthode de discussion, de raisonnement, de questionnement et d'interprétation qui occupe depuis l'Antiquité une place importante dans les philosophies occidentales et orientales. Le mot « dialectique » trouve son origine dans le monde grec antique (le mot vient du grec dialegesthai : « converser », et dialegein : « trier, distinguer », legein signifiant « parler »). Elle aurait été inventée par le penseur présocratique Zénon d'Élée[1], mais c'est surtout son emploi systématique dans les dialogues de Platon qui a popularisé l'usage du terme.

La dialectique s'enracine dans la pratique ordinaire du dialogue entre deux interlocuteurs ayant des idées différentes et cherchant à se convaincre mutuellement. Histoire[modifier | modifier le code] La dialectique dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Chez les présocratiques[modifier | modifier le code] Cleantech.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les cleantech (abréviation de clean technology) sont les techniques et les services industriels qui utilisent les ressources naturelles, l’énergie, l’eau, les matières premières dans une perspective d’amélioration importante de l’efficacité et de la productivité. Cette approche s’accompagne d’une réduction systématique de la toxicité induite et du volume de déchets, et assure une performance identique aux technologies existantes ou supérieure à celles-ci. Terminologie[modifier | modifier le code] Le terme cleantech correspond à la terminologie utilisée par les fonds d’investissements américains et signifie littéralement « technologies propres ».

La multiplicité des termes consacrés montre que la terminologie ne s’est pas encore tout à fait stabilisée, comme c'était le cas pour le terme NTIC voici une dizaine d’années quand il s’agissait de décrire l’émergence du vaste secteur couvrant aussi bien l’Internet que les Télécoms[2]. Asexualité. L’asexualité, dans son sens le plus large, est l’état d’une personne (asexuelle) qui ne ressent pas d'attirance sexuelle pour une autre personne et/ou pour elle-même. L'asexualité a aussi été définie comme un désintérêt pour le sexe[1],[2] ou comme une absence d'orientation sexuelle. Une étude couramment citée et publiée en 2004 estime la prévalence de l'asexualité à 1 % au Royaume-Uni[3],[4]. L'asexualité est distincte de l'abstinence sexuelle et du célibat qui sont généralement motivés par des facteurs tels que les croyances personnelles ou religieuses[5].

L'orientation sexuelle d'une personne, à la différence des pratiques sexuelles, est souvent considérée comme étant « persistante »[6]. De plus, certaines personnes asexuelles ont des rapports sexuels bien qu'elles ne ressentent pas d'attirance sexuelle. Depuis l'avènement d'internet, les personnes asexuelles se sont regroupées autour de sites ou de réseaux sociaux. Définitions[modifier | modifier le code] (en) Anthony F. La recherche de transfert | La recherche. Alexis de Tocqueville. Technogaianism. Techno-progressisme. Philosophie analytique. Rasoir d'Ockham. Scepticisme scientifique. Humanisme évolutif.

Technocratie. Naturalisme (philosophie) Scientisme. Humanisme. Humanisme séculier. Positivisme.