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Nouveaux modèles disruptifs

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Brave, le navigateur anti-pub qui fait bondir la presse américaine. Voila qui ne devrait pas ravir les grands journaux américains. Lundi 1er août, la start-up Brave Software a annoncé une levée de fonds de 4,5 millions de dollars (4,1 millions d’euros). Cette somme devrait lui permettre d’assurer le développement puis la mise à jour du navigateur Internet qu’elle prévoit de lancer officiellement en septembre. Sa particularité: rémunérer les internautes en remplaçant les bannières publicitaires affichées sur les sites Web par des annonces que la société aura elle-même vendues. Brave, dont une première version pour les développeurs est disponible depuis janvier, proposera deux modes de navigation.

La société californienne s’engage à reverser aux éditeurs 55% des recettes publicitaires. Son fondateur, Brendan Eich, ancien directeur de la technologie puis éphémère directeur général de Mozilla, le concepteur du populaire navigateur Firefox, assure ainsi que le modèle est gagnant-gagnant. Photo: Brave Software Signaler ce contenu comme inapproprié. Révolutionnaire : le brainstorming est mort, place au brainwriting ! "La révolution Blockchain" : entre fantasme et réalité. Lorsque l'on tente de s'informer sur le sujet, on se rend vite compte que la Blockchain, c'est complexe. À chaque fois que l'on croit y comprendre quelque chose de nouveau, c'est le double de questions en plus et le doute sur ce que l'on avait compris la dernière fois.

Peut-être que le terme « Bitcoin » vous est plus familier ? Cette monnaie digitale a beaucoup fait parler d'elle à ses débuts pour son utilisation dans le trafic de drogue ou le blanchiment d'argent. En effet, les malfaiteurs ne s'y étaient pas mépris en pariant sur la robustesse, la fiabilité et la sécurité de cette monnaie. Quel rapport avec la Blockchain ? Mais qu'est-ce que la Blockchain Bitcoin ? Imaginez la Blockchain comme un grand cahier. Ces transactions sont transparentes (visibles par tous) mais anonymes. Cette Blockchain est un registre de transactions qui sont regroupées en « blocs » et ajoutées au fur et à mesure à la chaîne de blocs, formant ainsi la « Blockchain ». Bitcoin, ce nouvel « or digital »

La blockchain expliquée à un enfant de 5 ans. Pour mieux faire comprendre le fonctionnement et le potentiel de la technologie blockchain le Collectif Bam et Blockchain France ont utilisé la métaphore d’un scénario qui parle à tous : la corvée de vaisselle. Nous reproduisons ce texte avec leur aimable autorisation. Léo, Jules, Marie et Elsa sont 4 frères et soeurs vivant dans la même maison.

Comme dans beaucoup d’autres familles, la corvée de vaisselle, imposée par les parents, est un sujet sensible et propice à de nombreuses discordes. Entre celui qui prétend avoir effectué sa corvée plus souvent, celle qui a oublié son tour, et le dernier qui affirme avoir plus travaillé il y a deux semaines, le cassetête est infini ; la confiance envers les uns et les autres disparaît peu à peu. Ainsi le dilemme prend souvent fin avec l’intervention autoritaire des parents, qui ont le dernier mot. Pour résoudre ce problème, le père a une idée. Malheureusement ce principe fonctionne bien si l’honnêteté est de mise dans la maison. La renaissance digitale du travail : une aventure phygitale. L’évolution de l’environnement de travail à l’ère digitale ne concerne pas comme beaucoup trop le pensent que le poste de travail, l’intranet.

Il ne faut pas s’attendre à ce qu’un outil fonctionne dans un contexte où ses hypothèses ne sont pas valides et, à ce titre, repenser l’environnement de travail sans prendre en compte la transformation du contexte de travail, de la nature même du travail, n’est pas d’une grande utilité et, en plus, ne fonctionnera pas. Il ne s’agit pas de construire un poste de travail nouveau mais un poste pour un travail nouveau. Pas un poste de travail nouveau mais un poste pour un travail nouveau Vous vous souvenez peut être qu’il y a trois ans, j’avais commenté «The Digital Workplace», de Paul Miller, fondateur de l’IBF (Intranet Benchmarking Forum) et du Digital Workplace Group, relevant qu’au-delà de la dimension outil, la Digital Workplace était surtout une manière de voir et vivre le travail.

Les gens sont en train de donner un nouveau sens au travail. Lean Startup: la méthode qui plante 93 start-up sur 100. Il y a de nombreux présupposés qui sont admis sans discussion dans l’écosystème des start-up, des concepts et des phrases répétées à l’envi, qui tournent souvent «à vide» et qui dans les faits n’ont pas d’effets vraiment concluants. L’univers des start-up s’est doté ces dernières années de méthodes et d’outils très séduisants et unanimement adoptés.

Pourtant, la plupart des start-up continuent de se planter lamentablement… Dans un contexte économique sérieux, les professionnels se poseraient certainement des questions quant à leurs méthodes et leurs outils. Mais l’écosystème des start-up pense qu’il est normal et rationnel d’encourager et d’organiser le plantage de 97% des projets.

L’idée étant que des 3% de «survivants» émergeront sans doute les Google ou les Facebook de demain. Le business model Il y a cette idée qu’une start-up peut commencer sans modèle économique : elle le découvrira en cours de route par le jeu d’essais et d’erreurs. Lean Startup Le Growth Hacking A propos. Blockchain : la fin du Big data ? Si la production des données numériques dans le monde a le vent en poupe, 90% de ces données ont été produites dans les deux dernières années, Facebook y est bien pour quelque chose. Le plus grand réseau social en ligne a récolté 300 petabytes de données personnelles depuis son commencement, cent fois la quantité que la Bibliothèque du Congrès a pu collecter en deux siècles !

Dans l’ère du big data, les données sont avidement rassemblées et analysées : les entreprises et les organisations les utilisent pour personnaliser des services, optimiser les processus de prise de décisions, prévoir des tendances futures et plus encore. Aujourd’hui, les données sont un actif de valeur de l’économie mondiale. La préoccupation est croissante, concernant la vie privée des utilisateurs. Les chercheurs ont développé des techniques diverses visant à sécuriser la vie privée et les données personnelles. On connaît l’adage : «Lorsqu’un service est gratuit sur le web, le client c’est vous.» A propos. Pourquoi Google a conçu un « bouton rouge » pour désactiver des intelligences artificielles. Des chercheurs de Google DeepMind Oxford ont prévu une manière de désactiver un programme d’IA, sans que celui-ci ne réussisse à la contourner.

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une intelligence artificielle (IA) est-elle capable d’empêcher un humain de la désactiver ? C’est de ce postulat que sont partis deux chercheurs pour réfléchir à une façon d’éviter que cela n’arrive. Laurent Orseau travaille pour DeepMind, l’entreprise de Google spécialisée dans l’intelligence artificielle qui est notamment à l’origine d’AlphaGo, le programme ayant réalisé l’exploit, en mars, de battre l’humain au jeu de go. Les deux chercheurs s’intéressent au cas de ces « agents » capables d’apprendre, qui fonctionnent avec un système de « récompenses », qui les pousse à atteindre un but. Lire le décryptage : L’intelligence artificielle, une élève de plus en plus douée « Réfléchir à un certain futur » Mais quels sont réellement les besoins concernant ce type de dispositif ? Ethique et communication. L'étude du web social révèle la violence de la transformation numérique des entreprises.

Comment la relation entre start-up et grandes entreprises apparaît-elle dans les medias sociaux ? C’est ce que Linkfluence a cherché à savoir avec l'agence Publicis Nurun en scrutant les échanges sur le sujet entre le 1er avril 2015 et le 1er avril 2016. Résultat, la start-up a analysé un million de conversations, qui ont été vues 450 millions de fois en un an. Ces échanges font majoritairement transparaitre, avec des termes souvent violents, l’inquiétude des grandes entreprises face à l’injonction de transformation. Linkfluence a d’abord filtré les conversations provenant des start-up et des entreprises du CAC 40, ou les évoquant, puis a observé uniquement celles qui parlaient des relations entre ces deux types de structures.

Guerre, tsunami, s’adapter ou mourir… Résultat, le terme privilégié dans les échanges en français, c’est… l’ubérisation. La concurrence, plus que la coopération La concurrence prime d’ailleurs sur la coopération dans les échanges. L’économie collaborative, une marotte de plus pour jeunes aisés ? Une étude du Pew Research Center dresse un portrait des usagers de la « share economy », l’économie collaborative.

Cette enquête réalisée auprès de 4 787 adultes américains se présente comme « la première étude globale sur la portée et l’impact de l’économie collaborative ». Le Pew Research Center a enquêté sur l’ensemble des services « partagés, collaboratifs et à la demande » auxquels les usagers accèdent grâce à des outils numériques (applications, sites de troc et d’échange de services, etc.). L’étude se concentre en particulier sur trois types de services les plus populaires aux Etats-Unis : les transports (Uber, Lyft), les services de location ou d’échange de logements (Airbnb, HomeAway) et le financement participatif ou « crowdfunding ».

Un confort pour jeunes bourgeois diplômés Premier constat : ces services sont massivement investis par une population jeune, diplômée, plutôt aisée et urbaine. La « share economy » peine à se faire un nom En France, le « jeune urbain diplômé » Mesdepanneurs la plateforme web de dépanneurs à domicile. Parce que trouver un plombier de quartier ou d’autres dépanneurs fiables n’est pas toujours évident, Mesdepanneurs réunit des artisans sérieux sur une plateforme unique. Recourir à ce genre de site est l’assurance de tomber sur un professionnel qui résoudra réellement vos problèmes domestiques d’urgence. Avec des dépanneurs triés sur le volet et un système bien rodé, les usagers sont à l’abri des différentes arnaques du dépannage d’urgence à domicile. Besoin d’un plombier de quartier ? Mesdepanneurs est la solution à votre problème.

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