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Végétarisme

Letemps. Meghan Murphy : Définir le féminisme. Voici pourquoi il nous faut être radicales dans notre mouvement. Gloria Steinem Meghan Murphy, rédactrice-en-chef du site Feminist Current, explique pourquoi nous avons besoin d’une clarté absolue dans l’articulation linguistique, culturelle et idéologique du féminisme.

Meghan Murphy : Définir le féminisme. Voici pourquoi il nous faut être radicales dans notre mouvement

Il semble que le féminisme frôle, enfin, le succès. Les publications mainstream ne cessent de se gargariser de ce mot; Playboy lui-même vient de prendre le train en marche, invitant quelques plumes connues à couvrir des sujets d’allure vaguement féministe, sur leur plate-forme en ligne récemment rénovée. Quant aux vedettes féminines (et même masculines), elles peuvent rarement éviter d’avoir à se prononcer sur « la question de la femme », indépendamment de l’intérêt qu’elles ont pu feindre ou non par le passé pour le mouvement de libération des femmes.

Ce n’est pas un hasard si un terme directement associé aux femmes est devenu dépolitisé, récupéré et réduit à une dimension d’autonomisation personnelle. Joignez-vous ou non à notre mouvement – c’est entièrement votre choix. WordPress: Tumblr. Pourquoi les faits ne suffisent pas à convaincre les gens qu'ils ont tort. Avez-vous déjà rencontré des gens qui changent d’avis quand vous leur exposez des faits qui sont contraires à leurs convictions ?

Pourquoi les faits ne suffisent pas à convaincre les gens qu'ils ont tort

Moi jamais. Pire, les gens semblent renforcer leurs croyances et les défendre avec acharnement quand il y a des preuves accablantes contre elles. L’explication est liée au fait que notre vision du monde nous semble menacée par des preuves factuelles qui ne vont pas dans son sens. Harcèlement sexuel : non, nous ne « passerons pas à autre chose »

A ceux que le mouvement #metoo ennuie, la chroniqueuse de « La Matinale du Monde » Maïa Mazaurette répond : nous ne nous arrêterons pas.

Harcèlement sexuel : non, nous ne « passerons pas à autre chose »

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maïa Mazaurette Voici vingt-trois jours que vous entendez parler de #metoo, #moiaussi et #balancetonporc. Les révélations continuent, pas pour le plaisir, encore moins par goût pour le bavardage. Le mouvement s’étend parce que les femmes n’ont pas fini de parler, parce qu’il faut parfois du temps pour se décider, parce que nous nous étions habituées au confort du silence. Nous n’avons pas fini le grand déballage et, pourtant, voici vingt-deux jours que certains demandent qu’on « passe à autre chose » – un exemple stupéfiant de « manterrupting », ce néologisme décrivant la manie qu’ont les hommes de constamment couper la parole aux femmes. Le ''trouble de la personnalité borderline'' et l'épidémie de suicide chez les victimes de viols et de maltraitances - ★ Zinzin Zine : le psychologique est politique ★

Cameron Moore (21/01/15) [TW : Suicides, viols, maltraitances] Nous ne tuons pas les victimes de viols et de maltraitances au sein de notre culture, mais nous sommes capables de répondre par tant de maltraitances psychologiques, de coercitions, de culpabilisations des victimes et d'incapacités à les protéger contre de nouveaux préjudices, que nous les poussons au suicide.

Le ''trouble de la personnalité borderline'' et l'épidémie de suicide chez les victimes de viols et de maltraitances - ★ Zinzin Zine : le psychologique est politique ★

En ce moment, je suis furieuseux contre toutes les personnes qui ont maltraité et ont laissé tomber 5 femmes en particulier dont les suicides ont été directement liés aux maltraitances et violences qu'elles ont subi, ainsi qu'à l'échec total des réponses apportées par les institutions, les familles, les écoles, les communautés, les forces de l'ordre, les professionnel·les médicaux, les professionnel·les de la santé mentale et notre société.

Plusieurs des femmes auxquelles je fais référence ont été, à un moment donné, étiquetées comme ayant un trouble de la personnalité borderline. 1. 3. Jennifer L. Karen Korn Sara Penrod. Non, les hommes n’ont pas toujours fait la guerre, par Marylène Patou-Mathis (Le Monde diplomatique, juillet 2015) Sur la question de la violence chez les humains, deux conceptions radicalement opposées s’affrontent. Le philosophe anglais du XVIIe siècle Thomas Hobbes pensait que la « guerre de tous contre tous » existait depuis l’aube des temps (Léviathan, 1651). Pour Jean-Jacques Rousseau, l’homme sauvage était sujet à peu de passions et a été entraîné dans « le plus horrible état de guerre » par la « société naissante » (Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755).

L’image de l’homme préhistorique violent et guerrier résulte d’une construction savante élaborée par les anthropologues évolutionnistes et les préhistoriens du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Elle a été gravée dans les esprits à la faveur du présupposé selon lequel l’humanité aurait connu une évolution progressive et unilinéaire (1). Dès la reconnaissance des hommes préhistoriques, en 1863, on a rapproché leur physique et leurs comportements de ceux des grands singes, gorilles et chimpanzés.

Permaculture

Refugiers/racisme. Recettes. CARAVANE. A quoi rêvent les jeunes filles ? - INFRAROUGE [Déconseillé aux - de 16 ans] PEINTURE. Relation amoureuse. Ecole/éducation/Egalité. HUMOUR. RELIGIONS/DOGMATISME. Le premier rendez-vous gynécologique. Le premier rendez-vous gynécologique J’ai des règles douloureuses et irrégulières… J’ai eu un rapport sexuel sans préservatif… J’ai mal aux seins… Je voudrais prendre la pilule… J’ai mal quand je fais l’amour… , J’ai des pertes foncées et odorantes… , J’ai des démangeaisons… Il y a mille et une raisons pour une première consultation gynéco..

Le premier rendez-vous gynécologique

Seulement voilà… Pour toi, c’est la première fois, et tu es un peu inquiète.

BIEN-ÊTRE et HP

CAPITALISME/DECROISSANCE. Féminisme.