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Les maîtres de la parole

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Quand Eugène Sue dévoilait “Les Mystères de Paris”… - Livres. Eté 1842.

Quand Eugène Sue dévoilait “Les Mystères de Paris”… - Livres

Le premier épisode des “Mystères de Paris” parait. Pour la première fois dans un feuilleton, le dandy noceur Eugène Sue donne vie à une faune inconnue de la littérature : le petit peuple de Paris, qui vit dans des conditions épouvantables. Le succès est fulgurant. Plongée dans un “monde d'entrailles”, un Paris disparu. Sur les traces d'Eugène Sue ? Rééditions et hommages furent, de tout temps, rares et les souvenirs se troublent. « La statue est toujours à la même place. Books are now in your hands.

Comment créer un fichier ePub ? IDBOOX tout savoir sur les eBooks et les tablettes. La Souris Qui Raconte propose des histoires et contes en ligne pour enfant. Et si l'on créait ensemble une forge libre pour les métiers de l'édition ? Voilà, on y est. Après la musique, c’est désormais la sphère du livre qui est pleinement impactée, voire bousculée, pour l’arrivée inopinée et intempestive du numérique. Le second connaîtra-t-il les mêmes difficultés et résistances que le premier ? On en prend le chemin… Sauf si l’on décide de s’inspirer fortement de la culture et des outils du logiciel libre.

Le samedi 24 septembre prochain, dans le cadre du BookCamp Paris 4e édition, Chloé Girard animera avec François Elie un atelier intitulé « Fabrication mutualisée d’outils libres pour les métiers de l’édition ». Il s’agira de réflechir ensemble à comment « soutenir et coordonner l’action des professionnels du livre pour promouvoir, développer, mutualiser et maintenir un patrimoine commun de logiciels libres métiers » en développant notamment un forge dédiée destinée à « l’ensemble des acteurs de l’édition (éditeurs, distributeurs, diffuseurs, privés, publics, académiques…) » L’expérience et l’expertise du duo sont complémentaires.

Les Papiers posthumes du Pickwick Club/Tome I/I. Les Pickwickiens. Le premier jet de lumière qui convertit en une clarté brillante les ténèbres dont paraissait enveloppée l’apparition de l’immortel Pickwick sur l’horizon du monde savant, la première mention officielle de cet homme prodigieux, se trouve dans les statuts insérés parmi les procès-verbaux du Pickwick-Club. L’éditeur du présent ouvrage est heureux de pouvoir les mettre sous les yeux de ses lecteurs, comme une preuve de l’attention scrupuleuse, de l’infatigable assiduité, de la sagacité investigatrice, avec lesquelles il a conduit ses recherches, au sein des nombreux documents confiés à ses soins. « Séance du 12 mai 1831, présidée par Joseph Smiggers, Esq. V.P.P.M.P.C[1]. a été arrêté ce qu’il suit à l’unanimité..

Le cocu imaginaire / Dubut de Laforest ; illustrations de Fernand Besnier. Le faiseur d'hommes - Frédéric Gilbert, J. L. Dubut de Laforest. Les Mystères de Paris/Partie I. I. Le tapis-franc[modifier] Un tapis-franc, en argot de vol et de meurtre, signifie un estaminet ou un cabaret du plus bas étage. Un repris de justice, qui, dans cette langue immonde, s’appelle un ogre, ou une femme de même dégradation, qui s’appelle une ogresse, tiennent ordinairement ces tavernes, hantées par le rebut de la population parisienne ; forçats libérés, escrocs, voleurs, assassins y abondent. Un crime a-t-il été commis, la police jette, si cela se peut dire, son filet dans cette fange ; presque toujours elle y prend les coupables.

Ce début annonce au lecteur qu’il doit assister à de sinistres scènes ; s’il y consent, il pénétrera dans des régions horribles, inconnues ; des types hideux, effrayants, fourmilleront dans ces cloaques impurs comme les reptiles dans les marais. On a frémi pour les colons et pour les habitants des villes, en songeant que si près d’eux vivaient et rôdaient ces tribus barbares, que leurs habitudes sanguinaires rejetaient si loin de la civilisation. La comtesse de Salisbury - Alexandre Dumas. Books are now in your hands. Jean-Louis Dubut de Laforest. Pourquoi investir sur des auteurs vivants quand les morts sont aussi rentables ? L’exploitation des auteurs morts par les Majors de la culture nuit à la création, empêchant la diffusion d’une traduction, ou la représentation d’une pièce de théâtre.

Pourquoi investir sur des auteurs vivants quand les morts sont aussi rentables ?

Le domaine public est en train de disparaître, on le cède irrationnellement à des Majors. Les licences libres constituent-elles la seule alternative pour les auteurs qui ne souhaitent pas que « leur mort nuise » à l’exploitation de leurs œuvres et au domaine public ? Il y a urgence à soutenir de nouveaux entrepreneurs innovants sur de nouveaux modèles de diffusion, respectueux des auteurs et de leur public. L’article du Journal des Arts : « Le droit d’auteur et ses abus » publié en 2003 entre étrangement en écho avec l’affaire François Bon et Gallimard, on se demande même s’il ne l’anticipait pas. Tous ces débats sur les abus du droit d’auteur ne sont pourtant pas nouveaux. La vente de l’exploitation exclusive du droit d’auteur à des entreprises culturelles est une atteinte au droit d’auteur lui-même. Jérémie Nestel. Les Mystères de Paris (roman)

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Les Mystères de Paris (roman)

On a beaucoup parlé de l’invention du roman au XIXe siècle : Stendhal, Balzac, Dumas, Flaubert, Gautier, Sand ou Hugo. On oublie souvent Eugène Sue. Pourtant, les Mystères de Paris a eu une place unique dans la naissance de ce genre de littérature : ce n’est pas seulement un roman fleuve qui a tenu en haleine des centaines de milliers de lecteurs pendant plus d’un an (jusqu’aux illettrés qui s’en faisaient lire les épisodes ou ses lecteurs qui faisaient la queue devant le Journal des débats pour connaître la suite des aventures), c’est aussi une œuvre majeure dans l'émergence d’une certaine forme de conscience sociale.

Un écrivain bourgeois[modifier | modifier le code] La Vieille Fille. La Vieille Fille (Balzac) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Vieille Fille (Balzac)

Cette œuvre est dédiée au beau-frère de Balzac, ingénieur du corps royal des ponts et chaussées, Eugène Midy de la Greneraye Surville. Cependant, Balzac a offert le manuscrit de ce roman à la comtesse Guidoboni-Visconti[1], en 1844.