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Mario Monti présent à la réunion de la Trilatérale ce week end! - Vigi-Infos: "Résister,c'est Créer"!

Jean François Copé est membre de la Trilatérale! - Vigi-Infos: "Résister,c'est Créer"! Le dîner ne figure pas à l'agenda officiel. L'hôte et ses invités tiennent à cette discrétion. Début novembre 2011, alors que la crise de l'euro est à son comble, François Fillon prend le temps de recevoir à Matignon un groupe obscur d'une trentaine de personnes dont les noms sont presque tous inconnus du grand public, mais pas des initiés. Ce soir-là, le Premier ministre de Nicolas Sarkozy planche sur l'état de la France devant les membres d'un petit club qui ne fait jamais la une des journaux: le Bilderberg. Gotha politico-financier occidental Comparés au Bilderberg, d'autres forums internationaux bien plus célèbres, tels la Trilatérale ou Davos, auraient autant d'influence qu'une fête de patronage. Le grand ordonnateur du dîner n'est autre qu'Henri de La Croix, comte de Castries, PDG du groupe d'assurances Axa et premier Français à présider le Bilderberg. Groupe ultramondain ou confrérie d'influence planétaire ? Groupe ultramondain ou confrérie d'influence planétaire ? 100 invités

Ukraine : Arseni Iatseniouk, membre de la Commission Trilatérale, est nommé Premier Ministre Le millionnaire Arseni Iatseniouk (Arseniy Yatsenyuk) a été désigné mercredi soir à la tête du gouvernement ukrainien d’union nationale, jusqu’aux élections présidentielles anticipées prévue le 25 mai. Quelques semaines avant ces événements, il participait à une réunion de la Commission Trilatérale au sujet de l’Ukraine. Arseni Iatseniouk débute sa carrière politique en 2001, comme ministre de l’Économie de Crimée, république autonome russophone au bord de la mer Noire qui clame aujourd’hui son opposition au renversement du régime Ianoukovitch. Après un passage par la Banque centrale, il est ensuite nommé ministre de l’Économie (2005-2006) puis des Affaires étrangères (2007). La Commission Trilatérale est une organisation privée qui fut créée en 1973 à l’initiative des principaux dirigeants du Groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations, parmi lesquels David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski. Paul : Plan savamment orchestré !

Zbigniew Brzeziński Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Zbigniew Brzeziński Zbigniew Brzeziński le 14 mars 1977. Biographie[modifier | modifier le code] Origines et éducation[modifier | modifier le code] Début de carrière[modifier | modifier le code] Auteur de plusieurs études et analyses sur le bouleversement et le rôle des États-Unis dans le monde, il devient conseiller politique au Département d'État de 1966 à 1968. Dans Between Two Ages: America's Role in the Technetronic Era (1970), il affirme qu'une politique de coopération plus étroite entre les pays riches est nécessaire pour prévenir l'instabilité globale émergeant de l'accroissement des inégalités. Il cofonde alors, avec le multi-milliardaire David Rockefeller, la commission Trilatérale en 1973, qu'il dirige jusqu'en 1976. Conseiller de Carter[modifier | modifier le code] Brzeziński voyage aussi à Pékin en 1978 afin d'amorcer la normalisation des relations sino-américaines, prolongeant ainsi la diplomatie du ping-pong initiée par Nixon.

1973 - Commission Trilatérale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Fondation[modifier | modifier le code] L’idée de la création de cette organisation fut initialement émise en juin 1972 par David Rockefeller, lequel fut rapidement rejoint par Zbigniew Brzezinski. La Commission Trilatérale fut officiellement créée à Tokyo le 1er juillet 1973. À cette époque, le leadership mondial des États-Unis commençait à être fragilisé dans le secteur industriel et commercial par les performances de l’Allemagne et du Japon, l’idée était de substituer à la direction américaine un partenariat trilatéral[1]. Dans sa brochure "Présentation de la Trilatérale par la Trilatérale" émise en 1977, la Commission se définit elle-même comme « une organisation orientée vers la prise de décision » entre les « démocraties industrielles », définies comme « une communauté ayant son identité propre et constituant un enjeu vital ». Répartition des sièges[modifier | modifier le code] Le groupe européen[modifier | modifier le code]

Pouvoirs opaques de la Trilatérale, par Olivier Boiral Il y a trente ans, en juillet 1973, à l’initiative de M. David Rockefeller, figure de proue du capitalisme américain, naissait la Commission trilatérale. Cénacle de l’élite politique et économique internationale, ce club très fermé et toujours actif de hauts dirigeants a suscité nombre de controverses, surtout à ses débuts (1). La Commission entend alors devenir un organe privé de concertation et d’orientation de la politique internationale des pays de la triade (Etats-Unis, Europe, Japon). Sa charte fondatrice résume : « Centrée sur l’analyse des enjeux majeurs auxquels font face l’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest et le Japon, la Commission s’attache à développer des propositions pratiques pour une action conjointe. Les thèmes débattus au sein de cette oligarchie de la politique internationale, dont les réunions annuelles se déroulent en différentes villes de la Triade, le sont dans une discrétion qu’aucun média ne semble plus vouloir troubler. (9) On citera, par exemple, MM.

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