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Linguistique

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Académie française. Whistle Prononciation en Anglais. Dictionnaire : qu’est-ce qui justifie l’entrée de nouveaux mots. Comme chaque année, la presse nous livre les listes de nouveaux mots qui font leur entrée au dictionnaire (@lerobert_com et @Larousse_Fr).

Dictionnaire : qu’est-ce qui justifie l’entrée de nouveaux mots

Mais quels sont les critères qui président à cette sélection par ces éminents lexicographes ? Si l’on en croit le HuffintonPost, ils sont au nombre de deux : « être populaire et souvent repris dans les médias et être en rapport avec l’actualité sans risque de disparaître rapidement ». Des critères pour la lexicographie Des critères qui semblent de prime abord éminemment subjectifs. Et c’est effectivement souvent le cas. Grâce à Google Books, pourtant, la lexicographie pourrait devenir un peu plus une science. Dans leur très stimulant livre, Michel et Aiden consacrent tout un chapitre à une approche scientifique de la lexicographie.

Notre langue ne cesse de s’enrichir Les chercheurs peuvent désormais mieux établir la naissance, l’évolution voir la disparition des mots. Non seulement notre langue change, mais elle grandit.Pourquoi ? Hubert Guillaud. De l’influence de la technologie sur la littérature. Dictionnaire des synonymes. Dictionnaire Electronique des Synonymes (DES) Tapez l'unité lexicale recherchée puis cliquez sur Valider ou tapez sur Entrée Rechercher : prendre en compte définition espace sémantique 5 synonymes comptabiliser, considérer, enregistrer, retenir, tenir compte de 1 antonyme faire fi de Classement des premiers synonymes 4 cliques • * Avant toute consultation, merci de lire cet avertissement • Présentation du DES • Proposer de nouvelles relations synonymiques ou antonymiques • Nous aider en faisant un don pour le développement du DES • NB : asséner, combattif, évènement, interpeler, imbécilité, etc. : voir rectifications orthographiques de 1990 • Taille et couleur :

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Leet speak. « NOW IS THE TIME » en leet speak.

Leet speak

Le leet speak (en leet speak : 1337 5|*34|<), de l'anglais « elite speak » (littéralement, « langage de l'élite »), est un système d'écriture utilisant les caractères alphanumériques ASCII d'une manière peu compréhensible pour le néophyte (appelé noob et déclinaisons) pour s'en démarquer. Le principe est d'utiliser des caractères graphiquement voisins des caractères usuels, par exemple « 5 » au lieu de « S », « 7 » au lieu de « T » et, pour les fanatiques, « |_| » au lieu de « U » ou « |< » au lieu de « K », sans respect de l'orthographe ou des majuscules. Ce système d'écriture se retrouve chez certains geeks technophiles, utilisateurs de jeux en réseau et demosceners. Origine[modifier | modifier le code] La graphie leet speak est née à la fin des années 1980, sous l'impulsion des programmeurs informatiques sur les bulletin board systems (BBS), moyen qui n'autorisait que des informations de type textuel.

Par exemple, leet speak peut s'écrire : Non, on ne mémorise pas moins bien sur Kindle que sur papier ! La question de savoir si la lecture numérique est différente de la lecture papier agite depuis de nombreuses années chercheurs et commentateurs.

Non, on ne mémorise pas moins bien sur Kindle que sur papier !

Aux cris d’orfraie des Cassandre répondent ceux de leurs contempteurs, comme le soulignait déjà le dossier que je consacrais au sujet en 2009. Récemment, une étude a fait le tour de la presse internationale (Guardian, New York Times, Rue89…) et j’étais un peu énervé de la synthèse qui en était faite, qui semblait un nouveau pavé dans la mare du sempiternel débat autour de l’électronique et du papier… En fait, le constat qu’on mémorise moins bien au format numérique qu’au format papier me semble si éloigné de la réalité des pratiques et des constats des experts (« Quand on observe de près les effets des écrans sur le cerveau, on constate que le support informatique ne change pas grand-chose à la lecture » dit Stanislas Dehaene), que j’ai voulu en savoir plus.

Qu’est-ce que cela signifie ? Quelque chose d’assez simple et d’assez logique en fait. Publier à l’ère des Big Data. Via un anodin tweet à l’occasion de la Foire de Francfort, le cyberlibraire et fournisseur de supports de lecture électronique Kobo a publié un passionnant livre blanc (.pdf) sur les Big Data appliquées au monde de l’édition.

Publier à l’ère des Big Data

Kobo y explique que l’analyse des données va devenir la base de la compétition, de la productivité et de l’innovation, même dans le monde de l’édition. Pourquoi ? Parce que les données vont permettre de connaître l’engagement des clients avec le livre. Elles vont permettre de savoir quels livres électroniques n’ont pas été ouverts, lesquels ont été lus jusqu’au dernier mot, à quelle vitesse… On pourrait croire que ces informations ne concernent pas les éditeurs, puisque pour eux, l’important est que le livre soit vendu. Et bien Kobo fait brillamment la démonstration du contraire. Connaître l’engagement des lecteurs avec les auteurs (et pas seulement les ventes), va permettre aux éditeurs de savoir sur quels auteurs, sur quelles franchises investir. Hubert Guillaud.