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Chine - Exportations de biens et services (% du PIB) Définition. Les exportations de biens et services regroupent la valeur de l'ensemble de biens et services destinés à l'étranger. Cette donnée inclut la valeur des marchandises, du frêt, des assurances, transports, etc. Étant exprimées en pourcentage du PIB, on peut mieux comprendre la part des exportations dans l'économie de ce pays. Source. La Banque Mondiale Autres statistiques pertinentes sur le même thème [Chine] Exportations de biens et services (% du PIB) Pour l'ensemble de la période 1960-2014, on enregistre une moyenne annuelle de 13,66.

C'est en 2006 qu'on enregistre le plus haut niveau (35,65) et c'est en 1970 qu'on enregistre le plus bas niveau (2,52). Le changement enregistré entre la première et la dernière année est de 420%. Pour effectuer ce calcul, nous disposons des résultats pour 55 années de la période 1960-2014. Pour les utilisateurs de R, il est possible d'obtenir la statistique dans un format adéquat pour une récupération immédiate dans R. VIDÉO - Le produit intérieur brut de la première puissance du monde (en termes de pouvoir d'achat) a augmenté de 7,4% sur l'ensemble de 2014. Jusqu'en 2010, la croissance s'était maintenue au-dessus de 10% pendant trois décennies.

En 2012 et 2013, elle était de 7,7%. De notre correspondant à Pékin, La croissance chinoise est tombée à son plus bas niveau depuis un quart de siècle en 2014. Le rythme de croissance de l'économie chinoise, devenue en 2014 la première puissance mondiale devant les États-Unis en termes de pouvoir d'achat, a atteint son niveau le plus bas depuis 1990. De nouvelles mesures de soutien en vue La croissance économique chinoise s'est maintenue à 7,3% sur un an au quatrième trimestre 2014, un chiffre légèrement supérieur aux attentes. En novembre, la banque centrale avait pris de court les marchés en abaissant pour la première fois en plus de deux ans ses taux d'intérêts.

Vers un abaissement de la prévision de croissance 2015. La croissance chinoise au plus bas depuis 25 ans. La croissance chinoise au plus bas depuis 24 ans. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Harold Thibault (Shanghaï, correspondance) A 7,4 %, la croissance chinoise a ralenti en 2014, et a atteint son rythme de progression annuelle le plus faible depuis 1990. La République populaire manque de peu l'objectif qu'avait fixé le gouvernement chinois, une progression de 7,5 % de son PIB, une première, là aussi, depuis seize ans. En comparaison, l'économie chinoise avait progressé de 7,7 % en 2013. Au printemps 2014, les dirigeants chinois avaient pris soin de faire précéder pour la première fois leur objectif de la mention « zuoyou », c'est-à-dire « environ », déjà conscients du risque politique qui planait sur leur capacité à atteindre cette cible.

Lire aussi : Le Fonds monétaire international reste pessimiste sur la croissance mondiale Pékin a, pour parvenir à maintenir ce niveau de croissance, déjà dû multiplier les efforts. Chine : les importations s'effondrent, l'excédent commercial explose. « Les marchés ont peur d’une nouvelle faiblesse de l’économie chinoise » LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Brice Pedroletti (Pékin, correspondant) L’inquiétant plongeon des places chinoises se poursuit. Lundi 24 août, la Bourse de Shanghaï a clôturé sur une chute de 8,49 %, à 3 209,905 points tandis que la Bourse de Shenzhen a terminé sur une chute de 7,7 % à 1 882,462 points.

De son côté, celle de Tokyo enregistre un repli de 4,61 %, sa plus forte baisse quotidienne depuis juin 2013, tandis que les places européennes souffraient à l’ouverture lundi matin. Les places européennes suivaient la tendance, y compris le CAC 40, qui perdait à a mi-journée plus de 5 % après une chute de 6,57 % la semaine dernière, sa plus mauvaise performance hebdomadaire depuis décembre 2014. Le nouvel accès de faiblesse des places de Shanghaï et de Shenzhen intervient alors que l’indice principal de la première a déjà perdu 11,54 % la semaine dernière, suite à la détérioration attendue et redoutée de l’indice manufacturier chinois PMI pour le mois d’août. Croissance en berne. Trois questions pour comprendre l’effondrement de la Bourse chinoise et des marchés mondiaux. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Les marchés asiatiques ont plongé, lundi 24 août, entraînés par une nouvelle débâcle de la Bourse de Shanghaï, qui a perdu 8,5 % en clôture, son plus net recul en séance depuis 2007.

Concrètement, que se passe-t-il ? La baisse de ce lundi a été déclenchée par la conviction de plus en plus forte des investisseurs qu’un atterrissage brutal de l’économie chinoise, locomotive de l’économie mondiale pendant les dernières années, est désormais inévitable. Lire aussi : « Les marchés ont peur d’une nouvelle faiblesse de l’économie chinoise » Que la Bourse dévisse de la sorte signifie que les investisseurs ont décidé que les valeurs cotées sur la place chinoise valaient moins qu’avant.

. « Quand vous entendez aux informations que le cours des valeurs ou que la Bourse monte, les journalistes font référence à un indice. La conséquence, dans un premier temps, est que de grandes entreprises chinoises voient leur valeur boursière baisser. C’est grave ? Chine : derrière le plongeon des marchés, la crise de l’économie réelle. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Claire Guélaud L’économie mondiale peut-elle résister à la crise chinoise, à l’effondrement du prix des matières premières et au plongeon des Bourses ?

Ou faut-il croire Jacques Attali, qui voit poindre une « dépression planétaire » ? Vendredi 21 août, l’annonce d’une contraction marquée de l’activité manufacturière en Chine – la plus forte depuis 2009 – a ravivé les craintes sur l’état réel de la deuxième économie mondiale et prolongé le blues des marchés. En une semaine, le Dow Jones plonge de 5,8 % et le CAC 40 de 6,57 %. Et ce ne sont pas quelques enquêtes conjoncturelles pas si mauvaises sur la zone euro qui suffiront à les rasséréner. La croissance s’est faite rare et faible. Le « hard landing » chinois plombe la croissance mondiale La croissance à deux chiffres de l’ancien empire du Milieu ne pouvait durer. La crise chinoise vue par les économistes. Libéralisation de son économie, relance de sa croissance? Certains analystes relativisent l’événement et le risque de relance de la « guerre des monnaies », pour d’autres, la Chine est un facteur de risque majeur pour l’économie mondiale. - La Chine face à la « stagnation séculaire », par Andrew Sheng et Xiao Geng.

Pour les économistes à l’Asia Global Institute de l’université de Hongkong , le retour de la confiance dans l’économie chinoise passe par la poursuite des réformes. - Chine: la fête est finie, par Arturo Bris. Le krach boursier de l’été montre que le risque chinois est devenu incontournable pour l’économie mondiale, constate le professeur de finance à l’IMD Business School de Lausanne. - Chine: les vraies questions à se poser, par Mariana Mazzucato.

. - Le yuan: quelle dévaluation, par Dominique de Rambures. . - Comment interpréter la chute de la Bourse mondiale ? A lire aussi: - « Ça va remonter. . - Pékin n’a plus les moyens de soutenir sa croissance, par Claire Guélaud. La Chine intensifie les mesures prises pour stimuler la consommation. La Chine va faire des plans de relance pour relancer sa croissance. Pour relancer sa croissance la Chine va augmenter et gonfler sa demande intérieure, car côté demande extérieure apparemment ce n’est pas l’extase. Et au fait, c’est qui qui fait la demande extérieure de la Chine? Oui, bravo, c’est ça, l’Europe et les Etats-Unis. Charles SANNAT BEIJING, 11 novembre (Xinhua) — La Chine intensifiera ses efforts pour consolider la consommation et stimuler la demande intérieure face à la tendance continue à la baisse induite par le ralentissement de la croissance, selon une circulaire publiée mercredi, à l’issue d’une réunion régulière du Conseil des affaires d’Etat, présidée par le Premier ministre chinois Li Keqiang.

Le gouvernement accélérera la réforme et l’innovation pour dynamiser la consommation, indique le document publié. La Chine encouragera les entreprises à adopter les nouvelles technologies et de nouveaux matériaux pour améliorer la qualité de leurs produits, selon la circulaire. Chine : Le défi de la consommation intérieure | Chinecroissance. Par les temps qui courent, on se contente de peu.

La Chine se satisfera donc de 6 %. La croissance chinoise a, en effet, bien ralenti durant les trois premiers mois de l’année. S’il fallait un argument pour finir d’enterrer la théorie du découplage, le directeur des prévisions économiques du Centre d’information d’Etat chinois l’a donné sans sourciller la semaine dernière. Un PIB trimestriel en hausse de seulement 6 %, voilà qui serait le taux de croissance le plus faible depuis 1992, date de la création de cet indicateur.

Ce n’est pas le seul chiffre en berne. Ces données sur le commerce chinois sont révélatrices de la situation du pays : il n’est pas immunisé contre la crise. Cependant, la taille et la structure de l’économie chinoise lui évitent trop de désagréments. La Chine possède surtout un réservoir de consommation intérieure.

Enfin, hormis quelques bandes côtières et agglomérations urbaines, surpeuplées et asphyxiées, tout est à construire dans la Chine intérieure. Face à l'essoufflement de l'économie, Pékin prépare un plan de relance. INFOGRAPHIE - La consommation peine à prendre le relais des exportations comme moteur de la croissance. Pékin s'apprête à dégainer de nouveau l'artillerie lourde pour enrayer le ralentissement plus fort que prévu de sa machine économique. Un chiffre, publié lundi, symbolise cet essoufflement de la Chine: les ventes de voitures ont reculé de 0,5 % en avril, sur un an.

Les autorités chinoises préparent un nouveau plan de relance basé sur les vieilles recettes de l'investissement massif et des incitations fiscales afin de sauver son objectif de croissance annuel de 7 %, déjà en péril, selon l'agence Reuters. Des mesures traditionnelles de dopage en porte-à-faux avec les ambitions de réforme et de montée en gamme de la seconde économie mondiale espérée par le président Xi Jinping et le premier ministre Li Keqiang, à leur arrivée au pouvoir en 2013. L'heure est jugée suffisamment grave au politburo, qui a annoncé des «ajustements» politiques lors d'une réunion fin avril.