background preloader

Sur les toîts

Facebook Twitter

Un jardin alimentaire sur le toit: le guide. Le guide. Guide du jardin sur les toits. Potagers sur les toits à Bruxelles. Potage-Toit. Ce projet a pour but la valorisation des espaces plats et inutilisés (toits, terrasses, balcons ou autre) par la création de potagers écologiques (sans pesticide, engrais chimique de synthèse et sans OGM), hors sol, visant une production destinée à être commercialisée pour la consommation locale (cantine, maison de retraite, restaurant, mini marché citoyen, épicerie sociale, etc.) ou une production individuelle.

Potage-Toit

L’idée de cultiver sur les toits n’est pas nouvelle : il existe déjà, depuis plusieurs années, des projets similaires dans le monde (Montreal, Quebec, New York, Shangai, etc.), mais en Europe c’est plutôt le début. Pour plus d’info vous pouvez consulter l’article: Exemples dans le monde. Le projet est une initiative de l’association « Le début des haricots » ( je vous conseille de lire cet article pour connaitre mieux nos actions pour l’environnement à Bruxelles), et s’inspire des « Urbainculteurs » du Quebec notamment pour les méthodes de culture en sacs de géotextile. Limites. Les jardins sur les toits. Toits Vivants ← projet d'agriculture participative, sur toitures et terrasses. Comment bien cultiver sur les toits? Une école d'ingénieurs teste à Paris. Des fermes sur les toits à Paris. Pourquoi ne pas développer, en ville, une agriculture urbaine?

Des fermes sur les toits à Paris

Et même créer une filière agricole, du producteur au consommateur, en plein Paris? C’est possible, et ce projet, a priori un peu fou, est en passe de se réaliser. C’est celui d’une jeune société parisienne, UrbAgri, fondée par Virginie Dulucq. Un projet si sérieux qu’il vient d’être récompensé par le prix Créatrices d’avenir décerné par la région Île-de-France et la préfecture régionale. Cette agriculture urbaine se niche sur le toit des immeubles, dans les friches, les zones délaissées. Une filière agricole en pleine ville Mais Virginie Dulucq estime que l’idéal est de disposer de 600 m² et d’une profondeur de terre de 50 cm. Les prix seront ceux du marché mais avec les gains spécifiques de l’économie solidaire.

Deux projets retenus démarrent au mois d‘avril Un tel projet ne pouvait être porté que par une jeune femme volontaire comme Virginie Dulucq (33 ans). Virginie Dulucq ne fait pas les choses à moitié. Agriculture sur les toits : une solution innovante pour cultiver en pleine ville. L'association Potager sur les toits a investi le toit de l'école AgroParisTech en plein cœur de Paris. 600 mètres carrés transformés en jardin expérimental dans lequel poussent toutes sortes de légumes.

Agriculture sur les toits : une solution innovante pour cultiver en pleine ville

Objectif : prouver les bénéfices de l'agriculture urbaine. Aubergines, tomates, fraises des bois… le toit d'AgroParisTech a été transformé en véritable jardin par l'association Potager sur les toits. L'ingénieur "Agro" Nicolas Bel y mène des expériences pour cultiver en pleine ville. Cet espace, il rêve en effet de l'exploiter à des fins agricoles en valorisant les résidus organiques de la ville. Et le potentiel de développement est bien là : selon la Mairie de Paris, 314 hectares de toitures seraient végétalisables au sein de la capitale. Agriculture urbaine : l'avenir est sur les toits. Et si on transformait le toit de votre immeuble en potager ?

Une ferme Lufa sur un toit de Montréal (Fermes Lufa) Une batavia fraîchement cueillie qui craque sous la dent est un plaisir simple mais difficile à satisfaire pour un citadin.

Et si on transformait le toit de votre immeuble en potager ?

A mesure que les villes s’étendent et que les bonnes terres agricoles s’épuisent, l’appétit des consommateurs pour les produits frais et locaux se fait plus pressant. Pourquoi ne pas développer des cultures maraîchères en ville sur l’espace inutilisé des toits ? L’idée En Amérique du Nord, l’agriculture urbaine est en plein essor. Depuis, les jardins sur les toits de la « Grosse Pomme » ont fait souche et pris de l’ampleur.

Une ferme sur un toit, « l’agriculture de l’avenir » Son créateur, Mohamed Hage, un jeune informaticien né au Liban, aime raconter s’être inspiré de la lufa (ou loofah), une variété de courge grimpante qu’il voyait pousser, enfant, jusque sur le toit de sa maison natale : « Pour moi, c’était tout naturel de construire une serre sur un toit. Autres articles. Jardins sur les toits.