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Colombie: Les toits potagers, nouvelle source d’alimentation ?

Colombie: Les toits potagers, nouvelle source d’alimentation ?
Colombie / / Amérique du sud Pour améliorer leur quotidien, les habitants des quartiers pauvres de Soacha se sont inspirés des toits verts qui fleurissent désormais un peu partout dans le monde, en y ajoutant une touche personnelle : plutôt que de semer des fleurs ou du gazon, ils préfèrent y planter des légumes. Exemple de toits convertis en potagers à Toronto. © Sookie Agriculture et recyclage Frappés de plein fouet par le déluge attribué à la Niña, des milliers de réfugiés sont relogés à la hâte dans des maisons tout aussi précaires que celles qu’ils ont perdues. Les légumes sont semés dans des bouteilles en plastique récupérées, unies entre elles par des tubes conduisant l’eau d’une plante à l’autre. Des quantités qui permettent non seulement de subvenir aux besoins familiaux, mais aussi de revendre l’excédent pour arrondir les fins de mois difficiles. Nourriture, développement et dépollution Ce type de toiture offre les mêmes caractéristiques que les toits verts conventionnels.

Portraits d'un Nouveau Monde Une catastrophe écologique planétaire Les déserts occupent 18% du territoire chinois : 78% sont naturels, 22% sont le fait de l'activité humaine. Presque tous longent le parcours du train K43-T69 qui traverse la Chine d'ouest en est, de Pékin à Kashgar en passant par la Mongolie-Intérieure, le Ningxia, le Gansu et enfin le Xinjiang. C'est en empruntant ce « train de la désertification » que Patrick Alleyn, journaliste et Benoit Aquin, photographe nous font découvrir l'une des plus grandes catastrophes écologiques mondiales. Les Chinois, responsables de la création de nouveaux déserts Fermiers et bergers chinois ont transformé à ce jour 400 000 kilomètres carrés de terres agricoles et de prairies verdoyantes en nouveaux déserts - soit l'équivalent des trois-quarts de la superficie de la France. Le sol fertile, une fois dénudé, est emporté par les vents dans des tempêtes de poussière aux proportions historiques, s'abattant sur la capitale, Pékin, puis sur le Japon et la Corée. Crédits

Tokyo : Légumes bio sur les toits Les enseignes des restaurants brillent dans la nuit, comme leurs étoiles du guide Michelin, qui les ont élevés dans le firmament des toqués en damant toutes les autres grandes capitales du monde. Les chefs français profitent de cette appétence, d'ailleurs avec succès. Mais le plus étonnant dans la mégalopole se situe au-dessus de nos têtes : rizières au dernier étage d'un building à Roppongi, terrain de prédilection des noctambules et des amateurs d'art contemporain, abeilles nichant dans des ruches sur les toits du quartier chic de Ginza, potagers jouant le tout-bio au-dessus des rues estudiantines... Après une industrialisation forcenée, des outrages urbanistiques et une bulle spéculative financière et immobilière éclatée, l'ancienne Edo a réagi. Opposé aux légumes dénaturés, il initie les milieux urbains à la réalité de l'activité agricole. En prime, les fruits et légumes ne reçoivent ni pesticides, ni produits chimiques contre les maladies et les insectes.

le sol une ressource durable?   Rooftop Farms in Brooklyn, New York Posted on 11 September 2009 by urbangardencasual.com By Vanessa Richins I once had a very detailed exchange on a forum about urban gardening in New York. I had been promoting the idea of people growing their own food as one angle to help curb obesity, and explained that I felt that most people could at least participate in some form of urban gardening, whether it was one small pot on a windowsill, joining a community garden, or turning your balcony into a small garden. She insisted that it couldn’t be done in New York, that there were too many problems. I tried showing her blogs about people successfully growing produce on rooftops right there in New York City. I remembered that discussion when I came across a story describing Rooftop Farms, a 6000 sq foot rooftop farm that produces organic vegetables. Work on the garden began in December 2008. So far it sounds like a smashing success. Have you ever kept a rooftop garden?

sol cellulose 2nd1 Vert Feuille: L'épanouissement de la vie en communauté durable au Bangladesh Green Leaf: The blossoming of sustainable community living in Bangladesh “Shobuj Pata” stands for ‘Green Leaf’ in Bengali, the official language of Bangladesh. Shobuj Pata is a habitation project that has been planned for completion by 2015 by one of the largest developers in the country, Rupayan Housing Estate Ltd. It aims at providing its residents the best of modern living combined with green concepts through a sustainable community living. The site plan has provisions for green spaces, courtyards, commercial areas, parks and parking along with a conventional center, school, mosque and a city square housing a market. The trio of JET Architecture, JCI Architects and Terraplan Landscape Architects has taken up the challenge of designing the Green Leaf project using innovative technology to make it economic and feasible. The building envelope has been designed with vegetation and vernacular textures. Via: Bustler Enjoyed this post? Categories: Architecture Tags:

Agriculture urbaine : l'avenir est sur les toits chine sols degrades

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