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SARS-cov2 aka COVID

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DEFINE_ME. Étude Comcor : nouveaux résultats sur les lieux de contamination au SARS-CoV-2 et analyse de l’efficacité des vaccins à ARN messager sur le variant Delta. Quel est l’impact du port du masque par les enseignants ? Institut Pasteur scenarios COVID19 Automne Hiver 2021. Covid-19 : efficacité vaccinale - EPI-PHARE. Pour évaluer l’efficacité de la vaccination à prévenir les formes graves de Covid-19, EPI-PHARE a mené parallèlement deux études en vie réelle en utilisant les données du SNDS (Système National des Données de Santé), l’une chez 15,4 millions de personnes âgées de 50 à 74 ans (7,7 millions vaccinées comparées à 7,7 millions non vaccinées) l’autre chez 7,2 millions de personnes âgées de 75 ans et plus (3,6 millions vaccinées comparées à 3,6 millions non vaccinées).

Covid-19 : efficacité vaccinale - EPI-PHARE

Les deux cohortes ont été suivies jusqu’au 20 juillet 2021. Chez les personnes vaccinées âgées de 50 à 74 ans, 53,6% (n=4 158 306) avaient reçu le vaccin Pfizer, 7,1% (n=553 676) Moderna et 39,2% (n=3 042 930) AstraZeneca. Impact des variants et de la vaccination - Modélisation COVID-19 Institut Pasteur. Le début de l’année 2021 a été marqué par une nouvelle phase de la pandémie.

Impact des variants et de la vaccination - Modélisation COVID-19 Institut Pasteur

D’un côté, l’émergence de variants plus transmissibles a rapidement fait craindre qu’une dégradation de l’épidémie était possible. De l’autre, la vaccination est apparue comme une source d’espoir devant conduire, à terme, à la réduction de la morbi-mortalité et du stress sur le système de santé. Nous revenons sur les analyses de modélisation que nous avons réalisées depuis le début de l’année pour mieux caractériser la menace que posent les variants et construire des scénarios permettant d’explorer comment les variants, les vaccins et les mesures de contrôle allaient impacter la dynamique de l’épidémie durant la première moitié de 2021.

Pourquoi il y a peu de chances pour que le coronavirus SARS-CoV-2 perde sa virulence / The conversation, septembre 2021. Depuis le début de la pandémie de Covid-19, des avis bien arrêtés sont régulièrement émis sur l’évolution de la virulence du SARS-CoV-2.

Pourquoi il y a peu de chances pour que le coronavirus SARS-CoV-2 perde sa virulence / The conversation, septembre 2021

Pour beaucoup, elle devrait forcément diminuer puisque « de tous temps » virus, bactéries et autres parasites auraient perdu de leur virulence en s’adaptant à leurs hôtes. Malheureusement, cette « intuition » ne résiste pas à l’analyse, car elle nécessite de voir le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), le bacille de la tuberculose, l’hématozoaire du paludisme ou encore la grippe comme des exceptions. En fait, on a beau chercher, difficile de trouver des « parasites » (pour utiliser un terme de biologie de l’évolution) qui se conforment à cet axiome, baptisé « loi de la virulence décroissante » au début du XXème siècle.

Virus SARS-CoV-2 : la transmission aérienne est confirmée, comment s’en protéger simplement / The conversation, septembre 2021. Alors que la rentrée scolaire a eu lieu, que les entreprises voient revenir leurs salariés au bureau, mais que la Covid-19 est toujours là, beaucoup se posent des questions sur les risques à se retrouver à nouveau à plusieurs dans des espaces confinés.

Virus SARS-CoV-2 : la transmission aérienne est confirmée, comment s’en protéger simplement / The conversation, septembre 2021

Présence et viabilité du coronavirus SARS-CoV-2 dans l’air, situations propices à son accumulation, lutte contre sa propagation… Voici ce qu’il faut retenir de sa capacité de transmission et ce qu’il faut faire pour se protéger. Deux vecteurs de contamination. European Centre for Disease Prevention and Control. Traitements contre le Covid-19 : les scientifiques affûtent leurs armes. De nombreux travaux sont menés dans les laboratoires pour mettre au point des médicaments contre le SARS-CoV-2.

Traitements contre le Covid-19 : les scientifiques affûtent leurs armes

De nouvelles stratégies thérapeutiques, qui visent le virus ou les protéines cellulaires qu’il parvient à détourner à son profit, sont à l’essai et pourraient apporter des traitements plus efficaces et adaptés aux patients. « L’ennemi invisible » n’est pas encore désarmé. Pour tous les spécialistes, le SARS-CoV-2 va continuer à circuler parmi nous un peu à la manière des virus de la grippe et du rhume. Que répondre à ceux qui hésitent à se faire vacciner contre la Covid-19 ? Judith Mueller est médecin épidémiologiste, professeur à l’École des hautes études en santé publique (EHESP) et chercheur à l’Institut Pasteur.

Que répondre à ceux qui hésitent à se faire vacciner contre la Covid-19 ?

Elle répond ici aux principales questions que se posent ceux qui hésitent à se faire vacciner, et revient sur certaines craintes légitimes. « La technologie des vaccins à ARNm est trop récente et la mise sur le marché a été trop rapide. » Si elle ne fait la une des journaux que depuis peu, la technologie des vaccins à ARN messager (ARNm) est développée depuis plus de vingt ans pour lutter contre d’autres maladies – par exemple contre le Zika (maladie virale dont le vecteur est un moustique, similaire à la dengue). Mais les essais cliniques chez les humains n’avaient pas été réalisés, faute de financement. La merveilleuse histoire de l’ARN messager et de son pouvoir vaccinal.

L’ARN messager (ARNm) est à la une de tous les médias depuis l’élaboration de vaccins anti-Covid d’une très grande efficacité en des temps records.

La merveilleuse histoire de l’ARN messager et de son pouvoir vaccinal

Mais pour mieux comprendre ce qui se passe aujourd'hui, il faut rebrousser chemin et revenir à la genèse de cette découverte fascinante qui est longtemps restée à l'écart. Dans les années 1980-90 des chercheurs ont ainsi eu l’intuition que l’administration locale d’un ARNm pouvait être d’une grande utilité en cancérologie et en immunologie en induisant de façon ponctuelle la production d’une protéine active ou immunogène, et donc une réponse immunitaire, le principe de base de la vaccination. Il est possible de faire rentrer ce type de molécule dans nos cellules, tout comme les séquences d’ADN (acide désoxyribonucléique) mais à l’inverse de ce dernier l’ARNm ne peut pas rentrer dans le noyau où réside le matériel génétique.

Avis conseil scientifique 6 juillet 2021 actualise 8 juillet 2021. Les masques antivirus face à la physique. Covid-19 : vacciné, peut-on s’infecter et transmettre le virus ? Des études sur des populations largement vaccinées, en Israël et au Royaume-Uni, confirment « in vivo » la protection promise par différents vaccins.

Covid-19 : vacciné, peut-on s’infecter et transmettre le virus ?

Le risque que les personnes vaccinées transmettent le virus serait aussi potentiellement réduit. Explications avec trois experts de l’Institut Necker Enfants Malades. Une fois par mois, retrouvez sur notre site les Inédits du CNRS, des analyses scientifiques originales publiées en partenariat avec Libération.

Covid-19 : ces variants qui ont changé la donne. Plus contagieux et parfois résistants aux anticorps, certains variants de SARS-CoV-2 remplacent progressivement les souches historiques.

Covid-19 : ces variants qui ont changé la donne

Alors que ce virus, apparu récemment chez l’humain, s’adapte à son nouvel hôte, les chercheurs de nombreuses disciplines scrutent sans relâche son évolution. Alors qu’on pouvait commencer à espérer une sortie de la crise sanitaire en quelques mois, l’apparition cet hiver de différents variantsFermerOrganisme qui se distingue du virus d’origine par une ou plusieurs mutations. Quand celles-ci modifient son impact (en termes de transmissibilité, de virulence ou d’échappement immunitaire), on parle de « variant d’intérêt ». du virus du Covid-19 l'a, au contraire, fait repartir de plus belle. Covid 19 “Le refus du vaccin est foncièrement politique” Covid-19 : que respirons-nous sous nos masques jetables ?

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Covid-19 : que respirons-nous sous nos masques jetables ?

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Près d'un an après que l'on a identifié le coronavirus SARS-CoV-2, les chercheurs n'ont toujours pas déterminé comment il a pu se transmettre à l'espèce humaine. Le virologue Étienne Decroly fait le point sur les différentes hypothèses, dont celle de l’échappement accidentel d’un laboratoire. Tandis qu’on assiste à une course de vitesse pour la mise au point de vaccins ou de traitements, pourquoi est-il si important de connaître la généalogie du virus qui provoque la pandémie de Covid-19 ? Étienne Decroly1 : SARS-CoV-2, qui a rapidement été identifié comme le virus à l’origine de la Covid-19 est, après le SARS-CoV en 2002 et le MERS-CoV en 2012, le troisième coronavirus humain responsable d’un syndrome respiratoire sévère à avoir émergé au cours des vingt dernières années.

Une piste pour empêcher les formes sévères de Covid-19. Les cas les plus sévères de Covid-19 seraient associés à un important stress oxydatif. Les chercheurs proposent des pistes pour identifier au plus vite les malades susceptibles d’évoluer vers ces formes graves, et un traitement pour les prendre en charge. « Neutrophiles » : le grand public connaît peu ce nom, pourtant cette famille de globules blancs jouerait un rôle clé dans la réaction du corps face au Covid-19. « Les neutrophiles en circulation dans le sang sont les premières cellules à être recrutées en cas d’intrusion virale au niveau d’un tissu. Les neutrophiles en circulation dans le sang sont les premières cellules du système immunitaire à être recrutées dans le tissu infecté. Vaccination et immunothérapie [SVT²-révisions BAC]