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Transformation des apprentissages

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Comment les changements pédagogiques sont mis en oeuvre. Pour paraphraser un célèbre général, des réformes annoncées on en trouve, des changements concrets on en cherche !

Comment les changements pédagogiques sont mis en oeuvre

Une constante des travaux qui se sont penchés sur les réformes éducatives est en effet de conclure à une grande disproportion entre l’ampleur des changements espérés au regard des changements effectifs dans les pratiques quotidiennes. Pourquoi tant d’échecs ou de déceptions ? La pente naturelle du décideur consiste à incriminer les corps intermédiaires, les corporatismes ou même les acteurs éducatifs qui seraient rétifs à toute évolution pour de trop nombreuses raisons contraires à l’intérêt général. L’inclination fréquente des praticiens pour la contestation est justifiée à leurs yeux par le manque de concertation ou la méconnaissance de la réalité du terrain qui caractérise trop souvent les initiatives politiques. Veille et Analyses de l'ifé.

Dossier de veille de l'IFÉ : Le changement, c'est comment ?

Veille et Analyses de l'ifé

N°107, janvier 2016 Auteur(s) : Olivier Rey Télécharger la version intégrale du dossier (version PDF) Résumé : Les réformes éducatives sont de plus en plus fréquentes depuis les années 1980, en France comme dans les autres pays développés que nous connaissons les mieux. Pour citer ce dossier : Olivier Rey (2016). Vous pouvez faire part de vos réactions à ce Dossier, suggérer des pistes complémentaires ou demander des précisions, en laissant un commentaire sous l'article correspondant dans le blog : ' Éduveille'

Mon cerveau, ce héros... et ses mythes. De "l'effet Mozart' à la croyance que l'on n'utilise que 10% de son cerveau, les neuro mythes sont partout et particulièrement dans l'enseignement.

Mon cerveau, ce héros... et ses mythes

Philosophe de formation mais chargée de mission à La main à la pâte et membre associée à l'Institut Nicod, Elena Pasquinelli nous invite à découvrir les neuro mythes et à les comprendre pour mieux les combattre. Un combat devenu nécessaire parce qu'ils justifient de façon banale le maintien de préjugés et qu'ils empêchent du coup l'Ecole de tirer parti des avancées scientifiques. "Ce voyage au royaume des mythes ne sera pas un voyage de tout repos et il présente des risques", écrit E Pasquinelli. En fait, son petit livre, publié aux éditions Le Pommier, se lit très agréablement. Le risque c'est qu'il détruit des mythes bien ancrés dans nos têtes, qu'il en fait découvrir d'autres et qu'il nous invite à exercer notre esprit critique. Son ouvrage n'est en rien une remise en question des neurosciences.

Je ne crois pas. Les 10 compétences d’un enseignant moderne. On parle souvent des compétences des élèves, un sujet de plus en plus dans l’ère du temps.

Les 10 compétences d’un enseignant moderne

Dans ce cas pourquoi ne pas s’intéresser aussi aux compétences des enseignants ? A l’ère de la pédagogie différenciée et de l’utilisation des TICE en classe, quelles devraient être les compétences indispensables à un enseignant moderne pour mener à bien sa mission. L'école de demain vue par Marcel Lebrun. Ecologie de l’attention. Sous la direction de Bernard Stiegler et Igor Galligo (Université Paris 1 / IRI / ENSAD) L’apparition et le développement des medias numériques et audiovisuels dans nos environnements domestiques et urbains fait aujourd’hui l’objet de plusieurs inquiétudes auprès de la communauté scientifique et intellectuelle à propos des effets qu’ils engendrent sur nos capacités attentionnelles.Les études menées par Dimitri Christakis et Frederic Zimmerman sur la synaptogenèse mettent l’accent sur les liens entre la formation du cerveau et l’environnement multi-médiatique dans lequel il évolue aujourd’hui.

Ecologie de l’attention

A cette distinction s’y ajoute une autre : savoir lire c’est nécessairement savoir aussi bien écrire, et réciproquement, tandis que le spectateur audiovisuel classique est généralement réduit à une position de consommateur non producteur. Ce séminaire est organisé avec la participation de : Mercredi 13 novembre 2013 : Séance d’ouverture. Entre flou conceptuel et enjeu commercial : quelle validité scientifique pour les styles d’apprentissage. En lisant un récent billet sur l’imposture des théories sur les styles d’apprentissage, on apprend qu’une querelle est lancée sur le sujet depuis 2010.

Entre flou conceptuel et enjeu commercial : quelle validité scientifique pour les styles d’apprentissage

En réalité, ce sentiment de mystification fait débat depuis plus longtemps puisqu’en 2004, l’équipe britannique de Franck Coffield a publié une étude pour le compte du Learning & Skills Research Center qui remettait déjà en question la validité de ces théories. Le concept même de style d’apprentissage est marqué depuis le début des investigations dans ce domaine par les divergences théoriques, épistémologiques et méthodologiques qui divisent les courants de recherche. Cette confusion est souvent due à la faiblesse empirique des recherches et le manque de fiabilité (peu d’études réplicatives) et de validité (manque d’analyses factorielles confirmatoires) attribué aux instruments de mesure.

Dans l’étude de Coffield, 13 des modèles les plus connus , sélectionnés parmi plus d’une centaine, sont passés au crible. Références : Apprendre/désapprendre : sur la ligne de crête des apprentissages numériques. A l’occasion de la parution de la 3e édition du Digital Society Forum consacrée aux nouvelles formes d’apprentissages (la première édition était consacrée aux nouvelles relations, la seconde à la famille connectée), en partenariat entre la Fing (et notamment son média, InternetActu.net), Psychologies Magazine et Orange, nous republions le texte introductif du sociologue d’Orange Labs, Dominique Cardon, qui revient sur les rapports entre éducation et technologies.

Apprendre/désapprendre : sur la ligne de crête des apprentissages numériques

Une bonne introduction aux deux principales problématiques de l’apprentissage : qu’est-ce qu’apprendre et qu’est-ce que change le fait d’apprendre avec le numérique… En elles-mêmes, les Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement (TICE) ne sont causes de rien, ne rendent pas les enseignants plus pédagogues, les enseignés plus performants ou la société plus savante. Regarder ailleurs Qu’apprendre ? Alors, si le savoir est dans le réseau, toujours à portée de main, que faut-il apprendre ?