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Black Friday: Quid d'un «Green Friday» ? Le «Black Friday», vaste opération de promotions venue des Etats-Unis, décolle en France depuis 2016.

Black Friday: Quid d'un «Green Friday» ?

L’édition 2018 devrait battre de nouveaux records. En face, la résistance s’organise avec le «Green Friday» qui tente d’alerter les consommateurs sur les impacts, notamment écologiques, de cette frénésie consumériste. Lancé pour la première fois en 2017, ce «Green Friday» devrait lui aussi prendre de l’ampleur cette année avec une centaine d’ateliers de réparation, de couture et de « Do-it-yourself » organisés un peu partout en France. Jusqu’où ira cette année le «Black Friday» ? Venue des Etats-Unis, où elle est traditionnellement organisée au lendemain de Thanksgiving, cette journée de promotions massives, qui touchent aussi des produits habituellement peu soldés (ordinateurs, smartphones…) a démarré timidement en France en 2013. A Envie, on fera tout pour que la prophétie ne se réalise pas.

Quelle forme prendra cette année le « Green Friday » ? Nous ne sommes pas anti-consommation. Produits “C’est qui le patron ?!” : quand Intermarché et Carrefour “déconnent” sur leurs prix. Il y a de quoi se poser des questions.

Produits “C’est qui le patron ?!” : quand Intermarché et Carrefour “déconnent” sur leurs prix

Dans la quasi totalité des distributeurs de France - Carrefour, Intermarché, Auchan, Cora, U et Leclerc - les produits de la gamme “C’est qui le patron ?!” Sont parfois vendus à un prix supérieur à celui affiché sur le paquet. Comme l’a remarqué Olivier Dauvers, spécialiste de la grande distribution, sur son blog. Via une analyse de l’ensemble des sites de “drive” et en faisant un focus sur les produits “C’est qui le patron ?!” , ce dernier a ainsi relevé 203 prix “déconnants”. Le principe de la marque est le suivant : les éleveurs s’engagent à suivre un cahier des charges mis au point par les internautes sur l’origine, la qualité nutritive du produit, les conditions d’élevage des animaux et bien sûr la rémunération des agriculteurs. C'est qui le patron ! La marque du consommateur, – Rejoignez-nous ! Cash investigation - Toxic fringues / intégrale. 4 euros: c'est le prix à payer si vous sortez du magasin sans rien acheter.

Attention sortie payante.

4 euros: c'est le prix à payer si vous sortez du magasin sans rien acheter

Voici le message - original - qu'affiche un magasin australien depuis le 1er février, selon le site dailyfinance. Objectif: dissuader les consommateurs de se servir du magasin comme moyen de se renseigner sur un produit avant de l'acheter ailleurs -souvent sur Internet- moins cher. Une pratique très en vogue, que l'on appelle le "showrooming". Cette stratégie a été mise en place face à la recrudescence des personnes "qui utilisent ce magasin comme point de comparaison avant d'acheter ailleurs".

La direction de ce magasin a donc décidé d'agir pour mettre fin à cette pratique de repérage. Une très mauvaise solution selon le site qui déplore "la stratégie la plus erronée" en matière de lutte anti-showrooming. Miser sur la qualité du service client Une démarche qui s'avèrerait sans doute plus fructueuse si l'on en croit les études faites sur l'attachement des consommateurs au service client. Lire aussi: la boutique connectée a de l'avenir. Site pilote des incroyables comestibles en France. Incredible Edible Todmorden - Reportage (VO-ST / Français) La montée de la consommation collaborative.

« La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs », explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative).

La montée de la consommation collaborative

Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un « mouvement ». Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar) . « La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons », affirment ses défenseurs.

Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net. Film Français Complet 2013 Les Arnaques de la grande distribution Reportage VF] Consommer à en mourir.flv. ENJEUX D'AVENIR,La grande distribution. Barry Schwartz on the paradox of choice.

Les enfants de la surconsommation 1/3. Les enfants de la surconsommation 2/3. Les enfants de la surconsommation 3de3.