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This Guy Just Changed The Way We See Beauty And The Beast. Mind Blown. Sexism, Strength and Dominance: Masculinity in Disney Films. Raiponce (2010) : Peut-on être à la fois princesse et féministe chez Disney ? Comme La Princesse et la grenouille sorti un an plus tôt, Raiponce témoignait de la volonté de Disney de proposer des princesses plus fortes et actives que les Blanche-Neige, Cendrillon et Aurore des débuts.

Raiponce (2010) : Peut-on être à la fois princesse et féministe chez Disney ?

Mais aussi plus indépendantes que les Ariel, Belle ou Jasmine d’après la seconde vague féministe. L’idée était ainsi de parvenir à créer des personnages de princesses aussi fortes qu’ont pu l’être Mulan ou (dans une moindre mesure) Pocahontas, dont l’appartenance à une ethnicité plus « lointaine » avait pu permettre quelques audaces de la part du studio (plutôt habitué à un sexisme des plus réactionnaires). Et la première bande-annonce[1] ainsi que les images diffusées par Disney pour la promotion du film[2] semblaient effectivement pleines de promesses pour tout-e-s ceux/celles lassé-e-s des éternelles histoires de princesses secondant leurs partenaires masculins pour parvenir à accomplir leur destinée (consistant inévitablement à devenir la femme d’un homme…) . « Raiponce ! [1] [2] Méchants et méchantes chez Disney (2) : Hommes faibles. Si les méchantes sont toujours des femmes fortes, les méchants sont au contraire le plus souvent des hommes faibles.

Méchants et méchantes chez Disney (2) : Hommes faibles

Pas au sens où ils seraient moins redoutables que leurs homologues féminines, mais au sens où ils ne correspondent pas à la norme sexiste qui veut que les hommes soient virils et puissants. En effet, ils sont la plupart du temps efféminés et ne recherchent pas le combat frontal avec le héros. Comme on le verra, il existe quelques exceptions à cette règle. Le méchant est alors moins caractérisé par rapport à son sexe qu’en fonction de son appartenance ethnique et/ou de classe. Le racisme et/ou le classisme prennent alors (apparemment) le dessus sur le sexisme. Une bande d’efféminés D’un point de vue purement physique, on peut d’abord remarquer que les méchants ne sont pas aussi athlétiques et virils que les héros auxquels ils sont confrontés. Prince Jean sur un trône beaucoup trop grand pour lui On retrouve la même idée chez le personnage de Scar dans Le Roi Lion.

Méchants et méchantes chez Disney (1) : Femmes fortes. Dans l’univers manichéen de Disney, le bien et le mal sont facilement identifiables, généralement incarnés respectivement par le héros ou l’héroïne d’un côté, et le méchant ou la méchante de l’autre.

Méchants et méchantes chez Disney (1) : Femmes fortes

Les enfants apprennent ainsi très rapidement ce qu’il convient d’aimer et de haïr, ce qu’il faut devenir et ce qu’il faut au contraire absolument éviter d’être. A force de visionnages et de re-visionnages, ils/elles intègrent de la sorte les normes véhiculées par le studio avec une redoutable efficacité. Le sexisme du Roi Lion. La féminité dans Le Roi Lion L’une des premières choses qui nous frappe en regardant Le Roi Lion, c’est le sexisme banal et structurant de l’histoire.

Le sexisme du Roi Lion

Dès les premières scènes, Le Roi Lion nous fait connaître un monde structuré hiérarchiquement, avec au sommet de la pyramide le monarque absolu, qui règne en bon patriarche sur, non seulement son peuple docile et servile (les autres animaux), mais également ses lionnes, qui jamais ne remettront en question le bien fondé de la place des hommes, ni de la place des femmes. Le Roi Lion comporte un grand total de 3 personnages féminins, contre 9 personnages masculins. Donc, 75% des personnages du Roi Lion sont masculins.

Outre la domination écrasante des hommes en terme de présence à l’écran, il est plus important d’analyser les différentes représentations des hommes et des femmes dans ce film, et c’est ici qu’apparaît une des étranges « schizophrénie » du Roi Lion. Princesses Disney féministes. Depuis l'intéressante série d'Euterpe sur les princesses Disney et suivantes, j'ai trouvé sur le site I blame the kyriarchydes princesses Disney féministes -détournées évidemment !

Princesses Disney féministes

Le Prince : ...et nous vivrions heureux La Princesse : est-ce que cela signifie que j'aurais ma propre carrière et que je contrôlerai mes finances ? La Princesse : Houah, pardon mais quelle partie de moi, alors que je dors ici seule, implique mon consentement ? Blanche-Neige : Ils n'ont pas arrêté de me dire que je dois haïr les hommes, puisque je suis féministe. Ils n'ont rien voulu entendre de ce que j'ai dit à propos des rôles de genre qui oppriment les hommes et les femmes ! La Princesse : J'ai écrit un essai sur la théorie queer pour mon cours de littérature. With Tangled, Disney Gets Closer to Embracing Feminism.

Over the holidays, I finally got a chance to see the animated movie Tangled.

With Tangled, Disney Gets Closer to Embracing Feminism

I not only laughed at the jokes and enjoyed the fairy tale romp, but I left the theatre with the distinct impression that Disney has taken a few more baby steps on the path to feminism. Just to be clear, I'm suggesting that Disney is getting closer to embracing feminism. They still have quite a long way to go, but it seems that the Disney corporation is warming up to the idea of letting girls have their own adventures. Indulge me, if you will, in a bit of Disney nostaglia. Snow White, Disney's first animated feature-length film, was about a princess who, when thrust from her home in the bleak winter and forced to fend for herself, dreams of only one thing -- a husband.

Mulan (1998) : féminisme et patriarcat chez Disney. Sorti 3 ans après Pocahontas, Mulan est également (comme signalé ailleurs sur ce site dans l’article consacré à Pocahontas) une tentative de lutter contre les accusations de racisme, de sexisme et d’ethnocentrisme.

Mulan (1998) : féminisme et patriarcat chez Disney

Mulan est-elle une tentative plus réussie que Pocahontas ? Sortir de l’ethnocentrisme selon Disney Après avoir été souvent accusés d’ethnocentrisme, les studios Disney ont créé plusieurs héros « exotiques », c’est-à-dire n’étant pas d’origine européenne (Aladdin, Pocahontas…). Cependant, s’il est progressiste de montrer d’autres contrées que l’Europe et les Etats-Unis, l’image qu’en donne Disney n’est pas forcément innocente. La Chine, conforme à l’imaginaire collectif occidental Mulan s’inspire de la légende de Hua Mulan[1] dont les origines et le contexte historique sont incertains. Le film présente donc une image de la Chine idéalisée selon l’imaginaire et les références du public occidental.

The princess syndrome - General - www.theage.com.au. What Disney Princesses Teach Us. Deconstructing Disney: Happily Never After: A Princess Story. Disney Princesses, Capitalism and Feminism. ENTERTAINMENT - Disney princesses don't slay dragons, play sports or go to university.

Disney Princesses, Capitalism and Feminism

Higher academics, athletics don't seem to be on their list of things to do. Snow White, Cinderella, Sleeping Beauty, Aurora, Ariel, Belle, Jasmine, Pocahontas, Mulan and newly added Tiana and Rapunzel... they have all perfected the art of being the damsel in distress. Even the bookish Belle, the runaway Jasmine and the resourceful Pocahontas... they all are beholden to having a man rescue them. Mulan is the only one that actually gets a sword. Girl power? As a franchise Disney has done very well at selling clothes, toys, dolls to your kids. You may laugh when your daughter says she wants to be a princess when she grows up, but what is she really aspiring to? There's also the health issue... all the Disney Princesses are anorexic. Fairy tales have been around for centuries, little girls have always liked pretty dresses, and its no surprise little girls like them.