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Coopérations

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AG2R La Mondiale - Matmut : les raisons du rapprochement. Apple rachète la populaire application Shazam. Amazon cherche à racheter un distributeur en France. Le géant du commerce en ligne américain souhaiterait ouvrir d’ici deux ans une quinzaine de boutiques s’inspirant de son concept de magasin sans caisse Amazon Go. Amazon serait en quête d’une quinzaine d’implantations de commerce physiques en France, et notamment à Paris, selon nos informations. Objectif : ouvrir d’ici deux ans des boutiques, s’inspirant du concept de magasin sans caisse que le géant teste à Seattle (Etat de Washington), Amazon Go. Plus globalement, le géant américain a approché des distributeurs français pour nouer des partenariats ou réaliser une acquisition en France. Des contacts ont ainsi été pris avec Casino, concernant notamment son enseigne Monoprix, mais le français n’a pas donné suite. « Casino n’a pas l’intention de vendre Monoprix », indique-t-on au sein du groupe.

Lire aussi : Comment l’empire Amazon pulvérise la concurrence En quête de partenariats Au Royaume-Uni, aussi, Amazon est en quête de partenariats. Ferroviaire : un protocole d’accord entre Alstom et Siemens en vue d’une « fusion entre égaux » Siemens détiendra 50 % du capital du nouvel ensemble constitué de l’actuel ­Alstom et des activités matériel roulant, signalisation et systèmes ferroviaires de l’allemand. C’est un mariage qui suscite de nombreuses craintes auprès des salariés français. Les deux groupes industriels Alstom et Siemens ont annoncé, mardi 26 septembre, la fusion de leurs activités d’équipementier ferroviaire, à l’issue du conseil d’administration du constructeur français et du conseil de surveillance du conglomérat allemand.

Les constructeurs ferroviaires ont déclaré dans un communiqué commun la « signature d’un protocole d’accord qui garantit l’exclusivité de rapprocher leurs activités de mobilité dans une fusion entre égaux ». Siemens détiendra 50 % du capital du nouvel ensemble constitué de l’actuel ­Alstom et des activités matériel roulant, signalisation et systèmes ferroviaires de Siemens. Lire aussi : Alstom-Siemens : les salariés retiennent leur souffle Critiques « Contexte difficile » Alstom confirme discuter avec Siemens d’un rapprochement.

Le groupe français confirme les informations du « Monde » : il a entamé des discussions avec l’allemand en vue d’un mariage dans le ferroviaire. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Cécile Boutelet (Berlin, correspondance), Isabelle Chaperon et Cédric Pietralunga Le TGV va-t-il battre pavillon allemand ? Alors que Siemens paraissait bien parti pour marier ses activités ferroviaires avec celles du canadien Bombardier, la vapeur s’est inversée ces dernières semaines. C’est désormais avec le français Alstom qu’un rapprochement se profile en vue de créer un géant mondial du train et de la signalisation, pesant 15 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Le projet semble très avancé. Lire aussi : Emmanuel Macron à l’heure des grands choix industriels Selon nos informations, Siemens, conseillé par BNP Paribas, envisage d’apporter à Alstom (épaulé par Rothschild) ses activités ferroviaires, à la fois le matériel roulant et l’activité signalisation.

Contrer la montée des acteurs émergent. Les Galeries Lafayette rachètent La Redoute. La chaîne de grands magasins a fait d’Internet une priorité. Le nouvel ensemble vise un chiffre d’affaires de 5,5 milliards d’euros en 2020. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Cécile Prudhomme Belle récompense pour La Redoute, l’ancien fleuron français de la vente par correspondance, moribond il y a encore trois ans. Les Galeries Lafayette ont annoncé, jeudi 31 août, une prise de participation majoritaire de 51 % dans le site de commerce en ligne, « avec l’objectif d’en réaliser l’acquisition à 100 % à terme » et de créer ainsi « le premier acteur français de l’habillement en valeur », ont indiqué les deux entreprises dans un communiqué.

Le nouvel ensemble, qui totalise aujourd’hui un chiffre d’affaires de 4,5 milliards d’euros, vise 5,5 milliards en 2020. La chaîne de grands magasins signe là sa première grande acquisition depuis la fin des années 1990. Complémentarité Lire aussi : La bataille entre Amazon et Walmart s’intensifie Développement international. Naissance du numéro un mondial des solutions de paiement - Les Echos. PSA finalise le rachat d’Opel et de Vauxhall. L’acquisition des filiales européennes de General Motors avait été annoncée en mars. Conclue avec plusieurs mois d’avance, elle permet au groupe français de devenir le deuxième constructeur automobile européen. Le constructeur automobile français PSA a annoncé, mardi 1er août, avoir conclu le rachat des filiales européennes de l’américain General Motors (GM), Opel et Vauxhall (qui développe les modèles Opel au Royaume-Uni). « Le Groupe PSA annonce aujourd’hui la finalisation (…) du rachat des filiales Opel et Vauxhall de GM, dont le projet avait été signé le 6 mars dernier », a annoncé le groupe français dans un communiqué.

PSA avait alors annoncé un accord avec GM destiné à acquérir sa filiale automobile européenne, déficitaire. Le groupe français tablait sur une conclusion de l’opération avant la fin de l’année. Dans son communiqué, PSA a salué, mardi, « la forte mobilisation des équipes engagées sur cette opération ». Le deuxième acteur européen du secteur. Le lancement de Joon pourrait tourner à la brouille entre Air France et KLM. Le président du CE de KLM estime que l’accord conclu entre le SNPL et la direction d’Air France risque d’« amputer la croissance de la compagnie néerlandaise ». Rien ne va plus entre Air France et KLM ! Aux Pays-Bas, les critiques fusent contre la stratégie de la compagnie française. L’annonce du lancement de Joon, la filiale à coûts réduits préparée par Air France, a mis le feu aux poudres. Dans un entretien, publié mardi 25 juillet, par le quotidien néerlandais Der Volkskrant, Jan-Willem van Dijk, président du comité d’entreprise (CE) de KLM, estime que Joon pourrait « porter préjudice » à KLM.

La flotte de la future filiale, dont le lancement est prévu fin octobre, doit principalement évoluer sur des lignes déficitaires ou abandonnées par Air France. Elle aura aussi pour tâche de séduire les « millennials », une clientèle plus jeune que celle d’Air France. Lire aussi : La compagnie à bas coûts d’Air France s’appelle Joon Le fossé se creuse entre les deux compagnies.

L’enseigne Fnac en partie cédée à l’allemand Ceconomy (Metro) Actionnaire de référence, la famille Pinault vend ses 24,3 % pour 452 millions d’euros à l’ex-division du groupe Metro. Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le | Par Juliette Garnier et Denis Cosnard Aux yeux de beaucoup, c’est une icône française. Une enseigne un peu mythique, fondée en 1954 par deux anciens militants d’extrême gauche, André Essel et Max Théret, pour rendre les produits culturels accessibles à tous. Surprise : la Fnac, cet « agitateur culturel » fusionné depuis peu avec Darty, va devenir en partie allemande. Son principal actionnaire actuel, le groupe Artémis, holding de la famille Pinault, a annoncé mercredi 26 juillet la vente de ses parts à Ceconomy, le champion allemand de la vente d’électroménager. Ancienne division du ténor germanique de la distribution Metro, Ceconomy a acheté toutes les actions détenues par les Pinault, soit 24,3 % du capital, pour 452 millions d’euros. Mettre un pied en France Pas de banquier d’affaires.

Boeing conclut un contrat de 1 milliard de dollars avec Dassault Systèmes. Après deux ans de compétition, le marché décroché par l’éditeur français de logiciels engage le constructeur américain sur trente ans par tranches de dix ans renouvelables. Le constructeur aéronautique américain Boeing a conclu un contrat de 1 milliard de dollars (857 millions d’euros) avec l’éditeur français de logiciels Dassault Systèmes pour moderniser son système de production, affirme Le Figaro dans son édition du mardi 25 juillet. D’après le journal, détenu par le groupe Dassault, cet accord engage l’avionneur américain « sur trente ans, par tranches de dix ans renouvelables ».

Il porte sur « l’utilisation systématique » du logiciel « 3DEXPERIENCE pour concevoir les produits de demain, pour moderniser l’intégralité du système de production et pour déployer de nouveaux services ». Interface unique Ce logiciel permet de regrouper sur une interface unique toutes les étapes de production, de la conception à la gestion des sous-traitants.

Avance d’Airbus en matière de commandes d’appareils. Google s’associe avec Lyft, le grand rival américain d’Uber. C’est une étape supplémentaire dans l’affrontement que se livrent Alphabet et Uber. Dimanche 14 mai, le New York Times a révélé l’existence d’un partenariat entre Waymo, la filiale de la maison-mère de Google qui développe des véhicules sans conducteur, et Lyft, la deuxième plate-forme américaine de voitures avec chauffeur (VTC). L’information a été confirmée par les deux entreprises. L’accord porte sur le déploiement d’un réseau de taxis autonomes, qui viendrait à terme concurrencer celui que souhaite lancer Uber. Les deux sociétés sont complémentaires. « Waymo dispose aujourd’hui de la meilleure technologie de conduite autonome », rappelle Lyft, qui ne possède pas des ressources suffisantes pour financer un tel effort de recherche et développement.

Contrairement à sa rivale, la start-up californienne mise donc sur des partenariats. L’officialisation de ce rapprochement intervient alors que les relations entre Waymo et Uber n’ont jamais été aussi tendues. Photo: Raido. Air France s’allie à Singapore Airlines. Les deux compagnies annoncent un accord de partage de codes, première étape de leur rapprochement. Ce n’est pas encore la bague au doigt, mais les deux compagnies se tiennent déjà par la main. Air France et Singapore Airlines ont annoncé, jeudi 13 avril, un accord de partage de codes (un accord de codeshare, dans le jargon des compagnies aériennes). Il pourrait s’agir d’une première étape avant d’envisager une union plus large. Ce type de partenariat va permettre aux deux compagnies d’étendre leur réseau en ajoutant tout ou partie des destinations opérées par l’autre partenaire.

Pour cette première approche, les deux nouvelles associées, prudentes, n’ont pas voulu brûler les étapes. Les deux partenaires avaient tout pour s’entendre. . « Un gros marché business » Le rapprochement avec Singapore « va nous permettre d’offrir de très belles connexions à nos passagers en Australie. Lire aussi : Airbus appelle les passagers au secours de l’A380 De très longues négociations. Automobile : après le rachat d’Opel, PSA devient numéro deux en Europe.

PSA et General Motors ont officialisé l’acquisition de la filiale de l’entreprise américaine, donnant naissance au deuxième groupe automobile européen. PSA a annoncé lundi 6 mars être parvenu à un accord avec General Motors (GM) afin d’acquérir sa filiale automobile européenne déficitaire pour 1,3 milliard d’euros, ce qui va donner naissance au deuxième constructeur de véhicules du Vieux Continent.

Outre le rachat des marques Opel et Vauxhall, qu’il espère faire revenir dans le vert d’ici à 2020, PSA (marques Peugeot, Citroën et DS) va reprendre conjointement avec la banque française BNP Paribas la filiale financière de GM Europe pour 900 millions d’euros, a-t-il précisé dans un communiqué. Déficit chronique « La valeur de transaction pour PSA, y compris Opel-Vauxhall et 50 % des activités européennes de GM Financial, sera de 1,8 milliard d’euros », a détaillé le groupe automobile français qui a engrangé un bénéfice net de 2,15 milliards d’euros en 2016.

Le cadre des discussions se précise entre Orange et Canal+ Safran rachète Zodiac pour 9 milliards et crée un nouveau géant français de l’aéronautique. Retour des grandes manœuvres dans l’aéronautique. 6 ans après une tentative de rapprochement avortée, le français SAFRAN (SAF-63,62 € -5,43 %) (ex-Snecma) va lancer une offre publique d’achat amicale de 8,6 milliards d’euros sur son compatriote Zodiac Aerospace. Cette opération, qui se traduit par une prime de 26% pour les actionnaires de la cible (le prix d’OPA est de 29,47 euros par action Zodiac) donnera naissance à "un leader mondial sur l’ensemble de la chaîne de valeur des aéronefs", n°3 mondial dans l’aéronautique avec un chiffre d’affaires combiné de plus de 21 milliards d’euros, réparti entre la propulsion et les équipements aéronautiques, pour un résultat opérationnel courant de 2,7 milliards. Il sera même n°2 pour les seuls équipements aéronautiques, avec des ventes cumulées de 10 milliards d’euros.

Présent dans plus de 60 pays, la nouvelle entité emploiera 92.000 collaborateurs, dont 45.000 dans l’Hexagone. >> A la découverte de Safran, ce géant méconnu de l'aéronautique. Les « mashups » entre entreprises, un puissant levier de croissance. Capital Strategy, Sponsorisé par EY, Stratégie Le 16/01/2017 Joint-venture et fusion-acquisition auraient-elles fait leur temps ? Une chose est sûre, un nouveau modèle d’alliance fait de plus en plus d’émules : les « mashups ». Dans un monde où certaines zones géographiques connaissent une croissance atone, l’innovation est une nécessité pour l’avenir des entreprises. Les progrès technologiques, l’influence grandissante des réseaux et la nécessaire exploitation de sommes d’informations considérables doivent conduire les entreprises à s’organiser autrement. Les dirigeants sauront-ils se lancer dans ces nouvelles démarches d’innovation et intégrer flexibilité et anticipation dans leurs réflexions de développement corporate ?

Fusion-acquisition, joint-venture : trop peu flexibles ? Les spécificités de ces deux opérations sont donc à l’opposé de l’agilité recherchée par les modèles dits de « test and learn » favorisés par nombre de nouveaux entrants. L’action Toshiba chute avant l’annonce de résultats catastrophiques. L’action du conglomérat industriel japonais Toshiba dévissait de plus de 10 %, mardi 27 décembre au matin à la Bourse de Tokyo, du fait d’informations laissant craindre des dépréciations importantes sur les activités nucléaires de la société aux Etats-Unis. Le titre évoluait en début de séance autour de 395,1 yens (– 10,76 %), après être même brièvement descendu à 371,1 yens (– 16,25 %). Toshiba a publié un document confirmant qu’il s’apprêtait à enregistrer des pertes exceptionnelles dont le montant pourrait être annoncé après un conseil d’administration qui se tient ce mardi.

L’entreprise a précisé être en train d’évaluer la possibilité de dévaluer ses actifs relatifs à la société Stone & Webster (S&W) rachetée il y a un an à l’américain CB&I par sa filiale locale Westinghouse. Une acquisition encombrante. Air France-KLM et Alitalia divorcent. La séparation entre les deux compagnies aériennes sera effective à partir du 13 janvier 2017. Alitalia et Air France-KLM divorcent après une quarantaine d’années de vie commune. L’un des plus longs mariages de l’aviation va donc prendre fin à l’initiative de la compagnie italienne. La séparation sera effective dès le 13 janvier 2017. Ce divorce est tout sauf une surprise. Alitalia avait dénoncé dès le printemps 2015 l’accord de coentreprise qui la lie encore pour quelques semaines au groupe franco-néerlandais.

Lire aussi : Pour sauver Alitalia, Etihad lui impose de réduire ses effectifs et sa dette Ce divorce est la conséquence logique du rachat d’Alitalia par Etihad, la compagnie aérienne d’Abou Dhabi qui détient, depuis début 2015, 49 % du capital du transporteur italien. L’ombre d’elle-même Du côté du groupe Franco-néerlandais, le divorce d’avec la compagnie italienne ne provoque pas de larmes. Alitalia doit par ailleurs faire face à de nouvelles difficultés économiques. Renault-Nissan s’allie à Microsoft pour la voiture connectée.