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Neurosciences et apprentissages

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Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences. D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. Les neurosciences au cœur de la classe ? C’est le titre du livre publié par la Chronique Sociale, rédigé par un collectif de 21 enseignants, sous la direction de Pascale Toscani avec une préface de Bruno della Ciesa (Harvard University Graduate School of Education).

Les neurosciences au cœur de la classe ?

J’ajoute un point d’interrogation au titre, car il est bien évident que le problème des neurosciences, au moment où l’on commence à parler de nouveaux programmes pour 2015, devrait faire l’objet de débats fondamentaux. Les 21 enseignants ont participé à un voyage de formation au Québec et en Finlande, ont suivi pendant deux années des cours de psychologie cognitive, de psychologie clinique et de neurosciences et ont été supervisés par un enseignant chercheur.

Cette équipe a travaillé pendant deux ans en groupe de recherche. J’avoue que je suis entré dans ce livre avec beaucoup d’appréhension et de prudence. J’ai recherché de bonnes raisons d’y consacrer du temps. Quand les neurosciences rencontrent l’éducation. Les Neurosciences éducatives - Documentaire. Les neurosciences ne font pas une politique de l’école. Pas le temps de souffler !

Les neurosciences ne font pas une politique de l’école

Le ministre envoie sans l’ombre d’une concertation une annonce ou une réforme par mois. La trêve des fêtes à peine achevée, la «Blanquer-Dehaene-mania» reprend de plus belle : maxi photos, double page, longue interview du professeur Stanislas Dehaene, spécialiste de neurosciences désigné pour diriger le Conseil scientifique de l’Education nationale (CSEN) ! La composition sidérante de ce conseil de 21 membres vaut le détour. Des neurosciences à l'école ? - Imagine demain le monde. Les neurosciences éducatives sont de plus en plus médiatisées.

Des neurosciences à l'école ? - Imagine demain le monde

Plébiscitées par certains, source d’interrogation ou d’inquiétude pour d’autres, elles méritent certainement qu’on en débatte. Le regard croisé de Stanislas Morel, sociologue, et de Pascale Toscani, docteure en sciences cognitives. Mise en avant de la méthode de lecture syllabaire, grand retour de la dictée… En France, avec l’arrivée du nouveau ministre de l’Education, une discipline revient en force dans les médias et les couloirs d’écoles : les neurosciences cognitives au service de l’éducation. Popularisées notamment par Céline Alvarez, linguiste et auteure à succès (Les lois naturelles de l’enfant) et porteuses du label « prouvées scientifiquement », ces méthodes d’apprentissage ne font toutefois pas l’unanimité.

Comment les neurosciences révolutionnent l'école. Pour résoudre une partie des maux de l'école, Jean-Michel Blanquer mise sur les neurosciences.

Comment les neurosciences révolutionnent l'école

Ce terme, un peu barbare pour les non-initiés, s'invite dans la plupart de ses discours depuis son arrivée à la tête du ministère de l'Education nationale. Le 10 janvier, il présentait les 21 membres pluridisciplinaires de son nouveau conseil scientifique, présidé par Stanislas Dehaene, professeur au Collège de France et grand spécialiste des sciences cognitives. L'une des missions de cette instance consultative sera d'aider les élèves à mieux apprendre, en s'appuyant sur cette discipline émergente fondée sur l'étude du cerveau. INTERVIEW >> "La plasticité cérébrale est la clef des apprentissages" Les neurosciences sont-elles trop présentes à l'école ? Notre vision : changer l’école avec les neurosciences cognitives. Notre équipe est composée d’experts de l’éducation. Nous sommes bénévoles, engagés et extrêmement actifs depuis maintenant cinq années.

Nous sommes soutenus et conseillés par d’éminents spécialistes universitaires et institutionnels. Notre vision d’un système éducatif plus adapté à tous les élèves est claire et peut se résumer en quelques axes que nous présentons ci-dessous. Merci de les partager avec nous. « Les enseignants doivent devenir des experts de la dynamique cérébrale de leurs élèves. Quand les neurosciences transforment la classe. Le conseil scientifique de l’éducation nationale ayant pour président Stanislas Dehaene, spécialiste des neurosciences, a été installé hier.

Quand les neurosciences transforment la classe

Certains enseignants s’appuient déjà sur les apports de cette discipline pour infléchir leurs pratiques. Très utilisée en médecine, l’imagerie par résonance magnétique (IRM) est aussi employée depuis une vingtaine d’années, notamment par Stanislas Dehaene (lire les repères), pour analyser le fonctionnement du cerveau dans les processus d’apprentissage. Les neurosciences sont-elles l'avenir de l'école ? 13 conseils pour mieux apprendre, par le neuroscientifique Stanislas Dehaene. Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences. L'école et les neurosciences : mythes et réalité. À chaque sortie de rapport PISA, la France de l’éducation déprime à l’idée que le pays des Lumières se trouve de plus en plus bas dans les classements mondiaux.

L'école et les neurosciences : mythes et réalité

Pourquoi n’arrivons-nous pas à éduquer nos enfants correctement ? Pourquoi un tel taux d’illettrisme ? Pourquoi ce piètre niveau de raisonnement mathématique ? Pourquoi tant de violence dans les collèges ? Que faire pour améliorer la situation ? Ecole : l’utilisation des neurosciences interroge des enseignants. Les neurosciences, une révolution à l’école ?

Ecole : l’utilisation des neurosciences interroge des enseignants

Pas pour Bertrand Picolet, enseignant dans la banlieue lyonnaise, qui a le sentiment d’être « déjà dans le bain ». Si ce professeur des écoles trentenaire conçoit que l’apport des sciences cognitives puisse être une « découverte pour le grand public » – à la faveur de l’inauguration, mercredi 10 janvier, du Conseil scientifique de l’éducation nationale présidé par Stanislas Dehaene, titulaire de la chaire de psychologie cognitive au Collège de France –, lui a le sentiment que « les neurosciences ont déjà trouvé leur place dans bon nombre de classes ». Article réservé à nos abonnés Lire aussi Comment Jean-Michel Blanquer travaille et s’entoure pour repenser l’école Cécile Hémous, qui enseigne en petite section de maternelle en Gironde, n’a pas non plus le sentiment d’une « découverte ».

Se saisir des connaissances sur le fonctionnement du cerveau pour adapter leurs gestes professionnels, leur approche en classe, tous deux y sont « prêts ». Neurosciences cognitives et apprentissage: opportunités et contraintes - ARFOR - Association Romande des Formateurs. Dr. Olivier Jorand, privat-docent à l’université de Lausanne et formateur d’adultes FSEA nous ouvre la porte des neurosciences. En effet, les neurosciences cognitives, en tant qu’elles se trouvent à la croisée de différentes disciplines, notamment entre les sciences du cerveau et les sciences de l’apprentissage, peuvent aujourd’hui contribuer à ouvrir de nouvelles perspectives pour le monde de la formation, de la pédagogie, de l’andragogie, etc., et à éclairer les pratiques enseignantes, tout en enrichissant notre compréhension intuitive de nos vies mentales (mémoire, attention, émotions, décision, troubles, etc.), ainsi que les questions de la vie de tous les jours qui y sont relatives.

Gérard Pommier : « Les neurosciences sont utilisées par certains en contradiction avec leurs résultats les plus assurés » Dans une tribune au « Monde », le psychanalyste juge que les difficultés dans l’acquisition des savoirs sont bien davantage liées à des questions sociales et familiales que neurobiologiques.

Gérard Pommier : « Les neurosciences sont utilisées par certains en contradiction avec leurs résultats les plus assurés »

LE MONDE | 07.02.2018 à 06h00 • Mis à jour le 07.02.2018 à 15h12 | Par Gérard Pommier (Psychiatre, psychanalyste, directeur de recherche à Paris-VII) [Le ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a porté en début d’année sur les fonts baptismaux un nouvel organisme : le conseil scientifique de l’éducation nationale, dont il a confié la présidence à Stanislas Dehaene, professeur de psychologie cognitive au Collège de France. Objectif de ce scientifique : « Tenter de dégager des facteurs qui ont prouvé leur effet bénéfique sur l’apprentissage des enfants. » Même si les chercheurs en sciences cognitives n’occupent que six des vingt et un sièges dudit conseil, cette nouvelle orientation du ministère de l’éducation nationale suscite de vives polémiques. Tribune. Neurosciences à l'école : la controverse.

C’est la grande controverse éducative contemporaine: quelle place donner aux neurosciences et aux sciences cognitives à l’école ?

Neurosciences à l'école : la controverse

D'une certaine manière, le ministre de l’Éducation nationale a déjà tranché : il vient d’installer un Conseil scientifique de l’éducation qui fait la part belle aux spécialistes des neurosciences, avec à sa tête le chercheur le plus en vue sur la question, Stanislas Dehaene. Mais des voix s’élèvent pour critiquer ce qui pourrait être une vision limitée de l’éducation : le milieu social, les moyens donnés à l’école, le niveau et la qualité de la formation des enseignants ne sont-ils pas des facteurs décisifs pour expliquer la réussite ou l’échec des enfants ? La passion actuelle pour les neurosciences ne risque-t-elle de le faire oublier en essentialisant l'enfant et en évacuant la dimension politiques des choix en terme d'éducation?

Apprentissage de la lecture et neurosciences. Le cerveau à tous les niveaux. Neurosciences et sciences de l’éducation - Archives 2016 - Archives actu - Actualités et agenda. Dernière mise à jour le 4 juillet 2018.

Neurosciences et sciences de l’éducation - Archives 2016 - Archives actu - Actualités et agenda

Les neurosciences sont-elles l'avenir de l'école ? Les neurosciences, la grande illusion en éducation (1) Chaque fois, leur(s) auteur(s) pense(nt) avoir découvert la panacée : l’idée géniale qui va « révolutionner » le système éducatif ! Dans le même temps, la pédagogie se conçoit encore trop souvent sous influence. Elle fut longtemps regardée comme une retombée de considérations politiques sous couvert de philosophie ; en 1882, il fallait transformer des paysans en « bons » ouvriers ou en « bons » soldats. Dans les années 60, elle devint dépendante de la psychologie, Piaget fut érigé en maître à penser de la classe. En prolongement, ce fut le tour des sciences cognitives. Aujourd’hui la mode est aux « neurosciences »...

D’éminents chercheurs qui font des recherches sur les mécanismes neurobiologiques qui sous-tendent la cognition (perception, motricité, langage, mémoire, raisonnement, émotions...) dictent comment on doit apprendre et par là les conditions de l’enseignement. Les médias, toujours avides de sensationnel[2], leur emboitent automatiquement le pas, sans jouer leur rôle critique. Qu’est-ce que l’intelligence artificielle? - Vidéo. Prismes 12 2010 hep vaud - neurosciences et pédagogie. Cahiers pédagogiques - Neurosciences et pédagogie.