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Éducation post-secondaire

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A Learning Secret: Don’t Take Notes with a Laptop. “More is better.”

A Learning Secret: Don’t Take Notes with a Laptop

From the number of gigs in a cellular data plan to the horsepower in a pickup truck, this mantra is ubiquitous in American culture. When it comes to college students, the belief that more is better may underlie their widely-held view that laptops in the classroom enhance their academic performance. Laptops do in fact allow students to do more, like engage in online activities and demonstrations, collaborate more easily on papers and projects, access information from the internet, and take more notes. Indeed, because students can type significantly faster than they can write, those who use laptops in the classroom tend to take more notes than those who write out their notes by hand. Moreover, when students take notes using laptops they tend to take notes verbatim, writing down every last word uttered by their professor.

What drives this paradoxical finding? To evaluate this theory, Mueller and Oppenheimer assessed the content of notes taken by hand versus laptop. Travailleurs diplômés peinant à lire et à compter. Près du cinquième des diplômés universitaires québécois et canadiens ne disposent pas des compétences de base en matière de lecture et de calcul.

Travailleurs diplômés peinant à lire et à compter

Un peu plus de 18 % des travailleurs québécois détenteurs d’un diplôme universitaire n’atteignent pas le seuil de compétence en littératie ou en numératie généralement considéré comme minimal pour bien fonctionner dans une société moderne, constate l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) dans une récente publication. Cette proportion frôle les 45 % chez ceux dont le diplôme le plus élevé est celui du cégep et 56 % pour ceux ayant un diplôme d’études secondaires.

Tirées de la plus récente enquête du Programme d’évaluation internationale des compétences des adultes (PEICA) de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), ces proportions sont assez proches de ce qu’on retrouve dans le reste du Canada ainsi que dans la moyenne des pays industrialisés. De l’importance grandissante de savoir lire et compter. Environnement d'apprentissage innovant et développement professionn... La mauvaise éducation. La possibilité qu’ont les futurs enseignants au primaire et au secondaire de reprendre une cinquième fois le Test de certification en français écrit pour l’enseignement (TECFEE) est une insulte à la profession, croit le professeur Égide Royer À une époque pas si lointaine, au Québec, un jeune adulte qui annonçait à ses proches son intention d’entreprendre des études universitaires pour devenir enseignant était à peu près certain que cette déclaration susciterait enthousiasme, admiration et respect.

La mauvaise éducation

En effet, considérait-on, il fallait des qualités rares pour être accepté dans un programme menant à l’enseignement, à commencer par une excellente connaissance du français écrit. Aujourd’hui, les réactions à une annonce du même genre sont généralement plus mitigées, la profession d’enseignant ayant beaucoup perdu de son lustre d’antan. Valoriser la profession«Cette décision me gêne et me déçoit profondément, affirme Égide Royer. Letableau-v2-n5-2013_0.pdf. La valeur d’un diplôme obtenu au Canada par rapport à celle d’un diplôme obtenu à l’étranger. Qui ne réussit pas son entrée à l’université ? La poursuite d’études supérieures devrait être une norme ; c’est ce qu’on essaie de nous faire croire en tout cas, avec des slogans qui n’ont pas fait leur temps, comme « 80 % d’une classe d’âge au baccalauréat » ou bien encore « 50 % d’une génération diplômée de l’enseignement supérieur ».

Qui ne réussit pas son entrée à l’université ?

Et pourtant... D’après les derniers chiffres de la DEPP (Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance), avec la récente suppression des BEP (brevet d’études professionnelles), ce sont 79 % de jeunes d’une génération qui accèdent désormais au niveau du baccalauréat en 2011, et 71 % qui sont effectivement bacheliers. Ces taux ont nettement profité de la refonte du baccalauréat professionnel (+ 7 à 9 points par rapport aux chiffres constatés depuis 1995).

Que signifie « réussir ses études » ? La notion de réussite n’est pas simple à appréhender et « ne pas réussir » ne se limite sans doute pas à une question d’abandon ou d’échec aux examens. En effet. Bonne question.