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Secondaire 3

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Article de vulgarisation scientifique ironique

Fichier__3aad09989551__Article_vulgarisation_scientifique. Les ados qui refusent d'apprendre. 1. Les adolescents s'opposant toujours à leur professeur et refusant les apprentissages, qu'ils considèrent comme « inutiles », sont dans l'empêchement de pensée. © wavebreakmedia / Shutterstock.com© wavebreakmedia / Shutterstock.com L'essentiel - Certains adolescents ne se plient pas aux contraintes des apprentissages et ne savent pas utiliser leurs capacités de réflexion. - L'accès à la pensée abstraite et au raisonnement a lieu à un moment où le jeune doit se forger une identité en tenant compte de nombreuses transformations physiques et sociales, inhérentes à l'adolescence. - Le stress ou l'anxiété, qui accompagnent parfois l'entrée au collège, peuvent inhiber le développement de la pensée : des thérapies ou activités avec d'autres adolescents et des soignants sont alors bénéfiques. L'auteur Nicole Catheline est pédopsychiatre au Centre hospitalier Henri Laborit, à Poitiers.

Bénédicte Salthun-Lassalle est journaliste scientifique à Cerveau & Psycho. Du même auteur L'empêchement de pensée. CHER VICE - JE SAIS POURQUOI LE SKATE EST DEVENU CHIANT | VICE | France. “It was fun, you know – Before it got too serious” Jay Adams Cher Vice, Dans les années 80 et 90, un skater, c’était un kid suburbain, gaufré et légèrement inconscient. Quinze ans plus tard, un « skateur » (avec un « u »), c’est aussi un mec à cheveux longs, jean slim et bracelet punk qui – l’état des lacets ne ment jamais – circule à skateboard, mais ne skate pas.

À vous couper la board sous les shoes : qu’est ce qu’il a bien pu se passer en 20 piges pour que le skate ressemble aujourd’hui à tant d’autres sports (normalisation, médiatisation, financiarisation) ? J'ai ma petite idée. « Style was everything » - Skip Engblom (Z-Boys) Les Z-Boys, géniteurs californiens du skate moderne, accordaient une importance principale – en fait quasi-exclusive – au style, considéré comme le prolongement d’une personnalité : Nathan Pratt « voulait surtout avoir du style », et pour Tony Alva, « le style était la chose la plus importante ».

Spectacularisation et loi du marché Voila le problème. Amicalement, Pourquoi l'Ipod abîme le cerveau. L'auteur Sébastien Bohler est journaliste à Cerveau&Psycho Du même auteur Aujourd’hui, des millions de personnes, surtout des adolescents et de jeunes adultes, écoutent de la musique au moyen d’écouteurs intra-auriculaires, souvent à des intensités élevées pour masquer le bruit ambiant des transports ou de l’environnement. Cette pratique serait plus néfaste qu’on ne le supposait : une expérience réalisée à Münster en Allemagne et à Okazaki au Japon montre que ce type d’écoute diminue, sans doute de façon irréversible, la qualité de perception des sons. L’effet étudié par Hidehiko Okamoto et ses collègues se nomme « élargissement de l’accordage de fréquence ». Il peut être perçu comme un émoussement des capacités auditives. Dans pareil cas, le cerveau inhibe automatiquement la perception du bruit qui suit le son pur, ce qui est le fondement de la discrimination auditive, laquelle permet de détacher un son de l’ambiance sonore.

Qui croit au paranormal ? L'essentiel - De nombreuses personnes croient à des forces surnaturelles et à des phénomènes tels que la voyance, la télépathie ou l'apparition de fantômes. - Les « expériences surnaturelles » reposent probablement sur des processus psychologiques normaux, telle notre tendance à chercher une cause à des phénomènes inexpliqués. - Les recherches indiquent que les personnes ayant un hémisphère droit particulièrement dominant sont davantage sujettes aux perceptions paranormales. L'auteur Richard Wiseman a été prestidigitateur avant d'étudier la psychologie à Londres et de devenir professeur de psychologie, à l'Université du Hertfordshire en Angleterre.

Avez-vous déjà vu le visage de Jésus-Christ sur une chips ? Selon un sondage datant de 2005, trois Américains sur quatre croient en l'existence de phénomènes paranormaux ; une personne sur trois déclare avoir déjà vécu un événement paranormal. Des résultats... non reproductibles Les premiers résultats qu'il obtint furent prometteurs. Les raisons de la colère. Les colères de César. Le front plissé, les yeux exorbités, le poing serré : Uderzo a bien observé les signes extérieurs de la colère. Thomas HÜLSHOFF est professeur de médecine sociale à l’Université catholique NW de Münster. Vous vous êtes certainement déjà mis en colère. Aussi connaissez-vous ce sentiment de tension accumulée qui précède la crise, puis l'explosion d'énergie incon­trôlée, mais spécifique, de cet état d'esprit.

La question est posée : la colère est-elle un instinct destructeur à réfréner ou un trop-plein d'agressivité qui déborde à un moment salutaire ? Les explosions de fureur ne se produisent pas par hasard : la colère se manifeste toujours lorsque vous n'atteignez pas votre objectif ou que vous êtes blessé dans votre amour-propre. Réaction d'hostilité, la colère est dirigée contre une cause précise. La colère procède de multiples sentiments. Les trois échelons de la colère La colère se traduit par trois grands types de manifestations physiologiques. Fichier__f59d284cc27c__AVS_Cahier_activites_.pdf. Penser au dessert prépare les muscles. Tandis que le dessert approche, la seule pensée de le déguster bientôt suffit à éveiller les papilles des amateurs de sucré. Mais pas seulement leurs papilles : leurs muscles aussi seraient stimulés et commenceraient à stocker du sucre, à en croire la récente étude de Yasuhiko Minokoshi et Tetsuya Shiuchi, de l’Institut national des sciences physiologiques au Japon, et leurs collègues.

Le sucre – sous sa forme la plus simple, le glucose – est la source d’énergie de nos organes et de nos muscles. La consommation d’un plat sucré entraîne une augmentation temporaire de la glycémie, c’est-à-dire de la concentration de glucose dans le sang. Chez les individus sains, la glycémie à jeun est stable et comprise entre 0,7 et 1,2 gramme de glucose par litre de sang ; après un repas, elle peut atteindre 1,4 gramme par litre. L'équipe japonaise a trouvé un autre système de régulation – cérébral cette fois – du glucose sanguin. Sans titre. Révision texte explicatif.

Revues de vulgarisation scientifique

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