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Analyse Transactionnelle

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« Le parent hyperconnecté à son portable risque de devenir un parent déconnecté de son enfant » Tribune.

« Le parent hyperconnecté à son portable risque de devenir un parent déconnecté de son enfant »

La surexposition des jeunes enfants aux écrans numériques est considérée par les pédiatres comme un problème de santé publique. Le chercheur au CNRS Michel Desmurget dénonçait dans Le Monde du 23 octobre 2019 le risque de « crétinisation digitale ». Enquête sur la vie après un lynchage en ligne : « Humilier l’ego social, c’est blesser l’autre profondément » Article réservé aux abonnés Patrice Marco est un fou de chasse.

Enquête sur la vie après un lynchage en ligne : « Humilier l’ego social, c’est blesser l’autre profondément »

A 57 ans, ce « retraité rentier », membre d’une association de chasse à l’arc dans les Pyrénées, adore marcher des heures pour contempler les bêtes ou les traquer. Dans ses montagnes, il chasse isards, marcassins, cerfs et biches. En Afrique du Sud, au Canada ou en Nouvelle-Calédonie, il traque ours, ­zèbres, girafes, buffles et autruches. « Salir est un acte de méchanceté qui n’a rien à voir avec la justice » François Jost est sémiologue et professeur émérite en sciences de l’information et de la communication à Paris-3. Plagiat, racisme ou sexisme… La traque des justiciers de la mode sur Instagram. Kalen Hollomon pour M Le magazine du Monde Ce jour de janvier 2019, le regard de Zec Elie Meiré s’arrête sur son smartphone.

Plagiat, racisme ou sexisme… La traque des justiciers de la mode sur Instagram

Sur Instagram, cet Allemand de 20 ans, qui a créé tout seul chez lui une petite marque de vêtements, COLRS, remarque un ensemble pour homme jaune vif couvert de messages noirs et de dessins colorés, façon graffitis. La tenue en question est signée Off-White, la marque de Virgil Abloh, le très en vogue designer américain également à la tête des collections masculines de Louis Vuitton. « J’ai mis deux secondes à comprendre que c’était exactement le même ensemble que j’avais créé six mois plus tôt ! J’étais hors de moi. Voir ce type piquer des idées à un débutant et capitaliser dessus pour le vendre à la masse… J’ai appelé ma mère et mes amis. » Les mystérieux et puissants effets du placebo. L’« online shaming », version moderne du goudron et des plumes sur les réseaux sociaux. Si vous pensiez encore que le tricot n’est qu’une affaire de grands-mères en rocking-chair, détrompez-vous : depuis les années 1990, il revient en force à la faveur d’un désintérêt pour les objets manufacturés et de l’émergence de plates-formes numériques permettant la diffusion des savoir-faire.

La menace du « happy slapping » plane sur les établissements scolaires. Pinterest. Quatre applis pour reprendre le contrôle de son téléphone. Collège sans portable : « On ne pouvait pas vivre sans, maintenant on se parle » Parents’ Smartphone Addiction Linked to Children’s Behavioral Problems, Study Shows. Boundless Mind Wants to Fix America's Smartphone Addiction. The headquarters of Boundless Mind looks as if it were created by a set designer to satisfy a cultural cliché.

Boundless Mind Wants to Fix America's Smartphone Addiction

The tech startup is run out of a one-car garage a few blocks from California’s Venice Beach. On the morning I visited, in March, it was populated by a dozen screens–phones, tablets, monitors–and half as many 20-something engineers, all of whom were male and bearded, and one of whom wore a cowboy hat. Someone had written in blue marker across the top of a whiteboard in all caps: You’re building amazing sh-t. But that, more or less, is where the Silicon Valley stereotypes end. Ramsay Brown, 29, and T. Every day, we check our phones an average of 47 times–every 19 minutes of our waking lives–and spend roughly five hours total peering at their silvery glow.

Smartphone Addiction. Smartphone usage has steadily increased since the launch of the first iPhone in 2007.

Smartphone Addiction

For most people, phone use has become a cornerstone of daily life. However, that also brings to the light the psychological implications of smartphone addiction and how deep it runs. There’s no clear definition of smartphone addiction. The context in which the term is used could be attributed to the frequency of usage, a direct correlation to depression and/or stress, the extent of withdrawal symptoms as a result of reduced usage and potential similarities to drug-addiction and/or alcoholism. So Connected, So Isolating A popular, unsettling idea is that smartphones have replaced normal human interaction.

Bad Apple: shareholders call to end child smartphone addiction in open letter – The New Economy. Génération Y. Américaines sur quatre générations : la jeune mère représente les milléniaux (environ 24 ans en 2008).

Génération Y

Les milléniaux[1] (de l’anglais : millennials), ou génération Y, regroupent l'ensemble des personnes nées entre le début des années 1980 et la fin des années 1990. Le consensus se trouve sur 1984 comme année de début et 1996[2] comme année de fin. Ils succèdent à la génération X et précèdent la génération Z. Concept[modifier | modifier le code] Le baladeur numérique symbole de la génération Y.

Le terme « génération Y» apparait pour la première fois dans un éditorial du magazine américain spécialisé dans la publicité Advertising Age[3]. Internet : les bienfaits de la déconnexion. Écoutez l’émission de RFI « 7 milliards de voisins » sur la déconnexion diffusée le 19 décembre dernier, en partenariat avec The Conversation France.

Internet : les bienfaits de la déconnexion

Mes yeux s’ouvrent et contemplent les palmiers sur fond bleu qui miroitent sous l’éblouissant soleil australien. C’est une belle journée qui commence tranquillement. Machinalement, je cherche mon smartphone des mains sur la table de nuit pour consulter mes messages en attente. Je ne suis pas encore levée que déjà le monde me demande. Je sens une tension diffuse se propager dans ma poitrine, descendre le long de mes bras, et atteindre le bout de mes doigts qui pianotent sur l’écran digital. For The Children's Sake, Put Down That Smartphone : Shots - Health News. Katherine Streeter for NPR It's not just kids who are overdoing screen time.

For The Children's Sake, Put Down That Smartphone : Shots - Health News

Parents are often just as guilty of spending too much time checking smartphones and e-mail — and the consequences for their children can be troubling. Dr. Jenny Radesky is a pediatrician specializing in child development. When she worked at a clinic in a high-tech savvy Seattle neighborhood, Radesky started noticing how often parents ignored their kids in favor of a mobile device. Radesky was so concerned she decided to study the behavior. This was not a scientific study, Radesky is quick to point out.

Le smartphone des parents est mauvais pour les enfants: ce qui se cache derrière cette étude. Temps de lecture: 7 min Le téléphone des parents est mauvais pour les enfants!

Le smartphone des parents est mauvais pour les enfants: ce qui se cache derrière cette étude

C’est ce que dénonce avec force le docteur Jenny Radesky au micro de la chaîne de radio publique américaine NPR. La pédiatre, spécialiste du développement infantile, a fait une étude anthropologique (en général cela signifie que l’étude est réalisée sur un nombre non significatif d’individus, en l’occurrence il s’agit de 55 cas) et a relevé que de nombreux parents ignoraient tout bonnement leur enfant au profit de leur téléphone mobile.

Et elle fournit un exemple frappant: Le smartphone, une drogue qui touche surtout les enfants. Chiara a 14 ans.

Le smartphone, une drogue qui touche surtout les enfants

Les écrans nuisent au sommeil des bébés. La surexposition aux écrans des tout-petits : un vrai danger. Dans une tribune publiée dans le journal Le Monde, un collectif de professionnels de santé alerte sur les dangers de la surexposition aux écrans pour les bébés et les jeunes enfants. "Nous, professionnels de la santé et de la petite enfance, souhaitons alerter l’opinion publique des graves effets d’une exposition massive et précoce des bébés et des jeunes enfants à tous types d’écrans : smartphone, tablette, ordinateur, console, télévision", indiquent les auteurs de la tribune publiée ce 31 mai dans le journal Le Monde.

"Nous recevons de très jeunes enfants stimulés principalement par les écrans, qui, à 3 ans, ne nous regardent pas quand on s’adresse à eux, ne communiquent pas, ne parlent pas, ne recherchent pas les autres, sont très agités ou très passifs", poursuivent-il. Troubles du comportement. « La surexposition des jeunes enfants aux écrans est un enjeu majeur de santé publique » TRIBUNE. Nous, professionnels de la santé et de la petite enfance, souhaitons alerter l’opinion publique des graves effets d’une exposition massive et précoce des bébés et des jeunes enfants à tous types d’écrans : smartphone, tablette, ordinateur, console, télévision. Nous recevons de très jeunes enfants stimulés principalement par les écrans, qui, à 3 ans, ne nous regardent pas quand on s’adresse à eux, ne communiquent pas, ne parlent pas, ne recherchent pas les autres, sont très agités ou très passifs.

La gravité de ces troubles nous conduit à réinterroger les éléments déjà exposés dans des articles précédents. L’impact des écrans sur les enfants - Comme 3 Pommes. Avant 4 ans, attention à l'impact des écrans chez les petits enfants. Étude : Mamans accros aux smartphones peuvent provoquer le retard ... Étude : Les Mamans accros aux smartphones peuvent provoquer le retard de croissance chez leurs enfants La plupart des parents sont intransigeants concernant l’utilisation des smartphones, des iPads ou des ordinateurs portables par leurs enfants. Nonobstant, ils semblent nier qu’ils utilisent eux-mêmes les smartphones de manière démesurée. Les réseaux sociaux affectent la santé mentale des adolescents. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur complex, Huffington Post, Eureka Alert Il est difficile pour la génération Z et même la génération Y d’imaginer une vie sans Facebook, Snapchat, Instagram et Twitter.

Pour en rester à la génération Z, c’est-à-dire aux adolescents, un sur quatre serait en ligne presque constamment selon une étude récente du Pew Research Center. Et l’essentiel de ce temps en ligne, les adolescents le passeraient sur les réseaux sociaux. Les effets de cette pratique permanente sur la santé mentale des adolescents sont controversés.

Instagram et Snapchat seraient les pires réseaux sociaux pour le bien-être des jeunes. D'après les retours des utilisateurs de réseaux sociaux entre 14 et 24 ans, Instagram et Snapchat sont les pires applis en matière de bien-être et de santé mentale. En cause : le culte de l'image (souvent retouchée) et l'impression de ne pas bénéficier d'une vie aussi animée que celle d'autrui. De tous les réseaux sociaux à la mode, lequel exerce le pire impact sur le bien-être des adolescents ? Instagram est marqué de ce triste attribut — suivi de près par Snapchat — à en croire l’étude menée par la Royal Society for Public Health (RSPH), une association caritative britannique dédiée à la santé publique.

Article final – L'impact des réseaux sociaux sur les jeunes.