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Lousigui

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Guisilou

Salut moi c'est guillaume, salut moi c'est simon, salut moi c'est louis

Accessibilité : les gilets vibrants se démocratisent et... se mutualisent. De plus en plus de salles de spectacle françaises s'équipent de SubPac, qui traduisent la musique en vibrations à destination des sourds et malentendants. Et pas uniquement pour les concerts. A l’origine imaginés pour les producteurs de musique et les joueurs de jeux vidéos, les gilets vibrants séduisent de plus en plus de structures culturelles, qui y voient un moyen de rendre leur offre plus accessible pour les personnes atteintes de handicap auditif.

Commercialisés en France par la marque Timmpi, ces sortes de sac à dos, aussi appelés Subpac, traduisent la musique en vibrations et permettent ainsi aux personnes sourdes d'en ressentir les effets. Dernière en date à s’équiper, la scène nationale Le Volcan, au Havre (76), qui a pu en faire profiter une quinzaine de spectateurs sourds lors des représentations de Teh Dar, du Nouveau Cirque du Vietnam, en janvier dernier. Un investissement à financer Un suivi nécessaire Agnès Lucas Les structures équipées. Comment le streaming a-t-il révolutionné l'industrie musicale ? - Dynam'Hit Webradio & Magazine. Déjà bien implanté dans l’industrie musicale, le streaming n’a fait qu’accroître son avance sur les ventes en physique en 2020.

Même si le Covid y est pour beaucoup, c’est aussi une évolution de la consommation musicale. Le streaming est désormais devenu le mode de consommation musicale dominant. En 2019, le marché de la musique en France était 740 millions d’euros dont plus de la moitié était généré par le marché numérique. Sadikoi te propose aujourd’hui de décrypter les sources du succès du streaming en France. L’arrivée du streaming Dans les années 90, le CD se vend énormément. Dans un premier temps, les maisons de disques ne croient pas au potentiel de la « musique dématérialisée ». En 2002, l’arrivée de la plateforme américaine « Rhapsody » et de « Deezer » confirme cette transition du physique vers le digital.

Mais de quoi se compose véritablement le streaming ? Les autres modes de consommation face au streaming Un modèle économique qui change tout. Doit-on réguler l’industrie du streaming musical ? Le streaming musical semble être maintenant entièrement entré dans les pratiques des Français, son marché est en constante progression et représente en France 70% du chiffre d’affaires du secteur. Mais derrière cette réussite clinquante, qu’en est-il des artistes ? Comment trouvent-ils leur place dans cet écosystème ? Comment survivre dans cette plateformisation et obtenir une rémunération juste et équitable ? Aussi comment déjouer les fraudes multiples qui affolent artificiellement les compteurs.

Pour évoquer ces questions, François Saltiel reçoit Sophian Fanen, journaliste, co-fondateur du média indépendant en ligne LesJours.fr et auteur de Boulevard du stream : du MP3 à Deezer, la musique libérée, Céline Lepage, déléguée générale de la Felin (Fédération Nationale des Labels Indépendants) et administratrice du label Born Bad Records, et Bruno Boutleux, directeur général de l’Adami (Société civile pour l’administration des droits des artistes et musiciens interprètes). Le streaming a-t-il changé notre rapport à la musique ? Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux.

Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. Quand les artistes s'engagent pour la planète, les festivals suivent. Suzane, chanteuse et écolo Nommée dans la catégorie révélation de l'année des prochaines Victoires de la musique, Suzanne vient de publier son premier album sur lequel figure une chanson engagée sur l'avenir de la planète : Il est où le SAV ? Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité. Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt. Invitée de La Terre au carré, la jeune chanteuse a raconté à Mathieu Vidard l'histoire de cette chanson. Il est où le SAV ? Une prise de conscience qui touche de plus en plus d'artistes Coldplay essaye de réduire son impact sur la planète et souhaite faire des concerts avec une neutralité carbone.

Nous allons prendre notre temps, au cours des deux prochaines années, pour faire en sorte que notre tournée soit respectueuse de l’environnement, qu’elle ait un impact positif. Les festivals passent au vert. 50 000 spectateurs, zéro déchet : les secrets du festival le plus green de France - WE DEMAIN. INTERVIEW. Comment organiser un grand événement musical sans énergie fossile et avec le moins de déchets possible ? Entretien avec Marie Sabot, la directrice de We Love Green, dont la quatrième édition a lieu ce week-end à Paris. Parce qu’ils en avaient « marre de voir les gens danser au milieu de bouteilles plastiques et de verre cassé », ils ont voulu démontrer qu’un événement peut rassembler plusieurs dizaines de milliers de personnes tout en n’ayant aucun impact écologique, ou presque.

Nous sommes en 2012, lorsque les membres du collectif parisien We love Art se lancent ce pari un peu fou. We Love Green est né. Samedi 30 et dimanche 31 mai, la quatrième édition de ce festival de musiques électroniques et pop accueillera plus de 50 000 personnes dans le parc de Bagatelle, à la lisière du 16e arrondissement de Paris. We Demain : Comment est née l’idée de We Love Green ? Par quoi commence-t-on, lorsqu’on veut se lancer dans l’écologie sans être issu de ce secteur ? C’est-à-dire ? Non. « La course au gigantisme des festivals de musique français augmente leur impact écologique de manière exponentielle » En novembre 2021, dans le rapport « Décarbonons la culture ! », le think tank Shift Project alertait sur les risques pesant sur les grands festivals s’ils ne changeaient pas certaines de leurs pratiques.

Pour le Hellfest, ces pratiques ont bel et bien changé, mais pour le pire. Pour sa première édition du « monde d’après », le Hellfest s’est organisé sur deux week-ends d’affilée, et sa fréquentation [environ 420 000 entrées payantes] a plus que doublé par rapport à 2019. Celle-ci avait déjà été multipliée par 9 entre 2006 et 2019, à l’image de la « gigantisation » de la plupart des grands festivals de musique français depuis les années 2000 : celui des Vieilles Charrues est passé de 100 000 places vendues en 1998 à plus de 250 000 en 2019, les Eurockéennes de Belfort de 80 000 en 2003 à 130 000 en 2019… Plus les événements grandissent, plus ils doivent attirer de spectateurs et spectatrices venant de loin.